Une fois encore, qu’il me soit permis de lever ici tout équivoque sur les propos qui vont suivre : il ne s’agit pas d’un procès d’intention orchestré par tel parti, mouvement ou organisation politiques. Dans la vie d’un homme, avoir une posture basée sur une position au sens de Gramsci me semble essentiel dans le combat contre l’arbitraire. Les bienséances relèvent de l’espace privé, un homme public est jugé sur ses actes et ses paroles. C’est cette vision qui prédestine à mes propos et j’en assume l’entière responsabilité comme par le passé à chaque fois quand il s’est agi d’énoncer sans complaisance les réalités politiques de la Mauritanie….
Ahmed Ould Daddah c’est la métamorphose éternelle du trublion. Porté par l’obsession du Pouvoir, le président du RFD caresse le rêve de diriger la Mauritanie. Ce rêve justifie les moyens pour y parvenir et ses déclarations dans une livraison récente du journal Jeune Afrique en est la preuve patente. L’impunité est érigée en stratégie de conquête du pouvoir. Aujourd’hui, pour ceux qui en doutent ( par la grâce de nos ancêtres ils ne sont pas nombreux), la face cachée de cet homme a été démasquée ; et les militants supposés de son parti seraient inspirés d’en tirer les conséquences qui s’imposent.
En tout cas les mauritaniens dans leur écrasante majorité ne prendront pas le risque de lui confier leur destinée. Si « le diable est dans les détails » comme il l’affirme avec une dose de révisionnisme confortée par la banalisation des déportations, du passif humanitaire et de l’impunité, il faut dire que qu’Ahmed Ould Daddah dépose là une souillure de plus sur la mémoire de ceux qui ont subis l’arbitraire : la victime gémit quand le bourreau l’écrase davantage !
Le patron du RFD, l’astérix du Trarza traverse une période où il livre plus que jamais son dernier combat politique à l’instar de ses principaux concurrents à qui il a toujours dénié le droit d’avoir une ambition politique. Mieux l’hypothèse de son élection même si elle paraît improbable et absurde doit être anéantie du rayon des possibles. Nous en appelons aux mauritaniens soucieux de donner une chance à ce pays d’envoyer ce personnage public à une retraite politique….
A l’heure de présenter un programme, Ahmed Ould Daddah propose son nom comme offre à la demande de changement politique et ses origines comme marqueur divin pour l’exercice du pouvoir…Le label de l’internationale Socialiste, la référence aux grands principes démocratiques ne feront pas oublier que l’ambition d’Ahmed Ould Daddah justifie toutes ses trahisons au premier rang desquelles figure l’intérêt de la Mauritanie.
On croit tout savoir de lui, on pense avoir tout vu de sa tragi-comédie obsessionnelle du pouvoir mais, la sagesse politique voudrait que les mauritaniens l’écartent définitivement de leurs choix comme remède au pays : c’est cela la chirurgie lourde que nous espérons dans les prochains jours au lieu d’une cosmétique à dose négationniste. Le changement en Mauritanie ne concerne pas seulement la gestion politique et économique du pays mais surtout un personnel politique fossilisé. L’avenir de notre peuple en dépend pour que notre génération trouve enfin les remèdes à administrer au patient Mauritanie, une autre manière de le servir durablement…
Dr El Arby OULD SALECK
Paris , France
Ahmed Ould Daddah c’est la métamorphose éternelle du trublion. Porté par l’obsession du Pouvoir, le président du RFD caresse le rêve de diriger la Mauritanie. Ce rêve justifie les moyens pour y parvenir et ses déclarations dans une livraison récente du journal Jeune Afrique en est la preuve patente. L’impunité est érigée en stratégie de conquête du pouvoir. Aujourd’hui, pour ceux qui en doutent ( par la grâce de nos ancêtres ils ne sont pas nombreux), la face cachée de cet homme a été démasquée ; et les militants supposés de son parti seraient inspirés d’en tirer les conséquences qui s’imposent.
En tout cas les mauritaniens dans leur écrasante majorité ne prendront pas le risque de lui confier leur destinée. Si « le diable est dans les détails » comme il l’affirme avec une dose de révisionnisme confortée par la banalisation des déportations, du passif humanitaire et de l’impunité, il faut dire que qu’Ahmed Ould Daddah dépose là une souillure de plus sur la mémoire de ceux qui ont subis l’arbitraire : la victime gémit quand le bourreau l’écrase davantage !
Le patron du RFD, l’astérix du Trarza traverse une période où il livre plus que jamais son dernier combat politique à l’instar de ses principaux concurrents à qui il a toujours dénié le droit d’avoir une ambition politique. Mieux l’hypothèse de son élection même si elle paraît improbable et absurde doit être anéantie du rayon des possibles. Nous en appelons aux mauritaniens soucieux de donner une chance à ce pays d’envoyer ce personnage public à une retraite politique….
A l’heure de présenter un programme, Ahmed Ould Daddah propose son nom comme offre à la demande de changement politique et ses origines comme marqueur divin pour l’exercice du pouvoir…Le label de l’internationale Socialiste, la référence aux grands principes démocratiques ne feront pas oublier que l’ambition d’Ahmed Ould Daddah justifie toutes ses trahisons au premier rang desquelles figure l’intérêt de la Mauritanie.
On croit tout savoir de lui, on pense avoir tout vu de sa tragi-comédie obsessionnelle du pouvoir mais, la sagesse politique voudrait que les mauritaniens l’écartent définitivement de leurs choix comme remède au pays : c’est cela la chirurgie lourde que nous espérons dans les prochains jours au lieu d’une cosmétique à dose négationniste. Le changement en Mauritanie ne concerne pas seulement la gestion politique et économique du pays mais surtout un personnel politique fossilisé. L’avenir de notre peuple en dépend pour que notre génération trouve enfin les remèdes à administrer au patient Mauritanie, une autre manière de le servir durablement…
Dr El Arby OULD SALECK
Paris , France