En tête avec seulement 32,17% des voix devant son ex-ministre et ex-président de l’Assemblée nationale Macky Sall, le président sortant sénégalais Abdoulaye Wade, candidait à sa propre succession à près de 86 ans pour un troisième mandat consécutif, a reconnu lundi à Dakar n’avoir pu être réélu dès le premier tour de la présidentielle de dimache.
Cette déclaration remet en cause la victoire revendiquée dans la nuit de dimanche à lundi par son ministre conseiller et porte-parole Serigne Mbacké Ndiaye et apaise le climat politique apparu lourd au sujet de l’issue de ce scrutin où Wade était opposé à treize autres candidats parmi lesquels ses anciens collaborateurs tels que Sall.
D’après les premières tendances disponibles, il devant ce dernier avec un écart réduit par 32,17% des suffrages contre 25,24% . "Tout est donc possible pour une victoire au second tour", a-t-il dit dans une déclaration lundi soir à la présidence ajoutant que dans cette perspective, le Parti démocratique sénégalais (PDS) et ses alliés oeuvront pour la victoire finale.
"On va naturellement explorer toutes les possibilités d’entente avec d’autres forces politiques, selon les modalités à convenir ensemble pour élargir notre électorat et nous assurer les conditions d’une victoire finale", a avancé Abdoulaye Wade.
Selon lui, "le scrutin du 26 février confirme que notre pays reste solidement ancré dans le cercle restreint des démocraties modernes majeures et apaisées". "Ensemble, nous avons par un acte citoyen apporté par la plus belle manière un démenti à tous les oiseaux de mauvais augure qui s’étaient empressés d’appeler au chevey d’un Sénégal agonisant".
En outre, le dirigeant sénégalais s’est félicité d’avoir relevé "le défi du respect du calendrier républicain en tenant l’élection sans changement à la date prévue, ensuite le défi de la transparence et de la maîtrise du fichier électoral contradictoirement contrôlé avec l’assistance internationale". Et enfin "le défi d’un scrutin transparent, démocratique et participatif ".
Source: afriscoop
Cette déclaration remet en cause la victoire revendiquée dans la nuit de dimanche à lundi par son ministre conseiller et porte-parole Serigne Mbacké Ndiaye et apaise le climat politique apparu lourd au sujet de l’issue de ce scrutin où Wade était opposé à treize autres candidats parmi lesquels ses anciens collaborateurs tels que Sall.
D’après les premières tendances disponibles, il devant ce dernier avec un écart réduit par 32,17% des suffrages contre 25,24% . "Tout est donc possible pour une victoire au second tour", a-t-il dit dans une déclaration lundi soir à la présidence ajoutant que dans cette perspective, le Parti démocratique sénégalais (PDS) et ses alliés oeuvront pour la victoire finale.
"On va naturellement explorer toutes les possibilités d’entente avec d’autres forces politiques, selon les modalités à convenir ensemble pour élargir notre électorat et nous assurer les conditions d’une victoire finale", a avancé Abdoulaye Wade.
Selon lui, "le scrutin du 26 février confirme que notre pays reste solidement ancré dans le cercle restreint des démocraties modernes majeures et apaisées". "Ensemble, nous avons par un acte citoyen apporté par la plus belle manière un démenti à tous les oiseaux de mauvais augure qui s’étaient empressés d’appeler au chevey d’un Sénégal agonisant".
En outre, le dirigeant sénégalais s’est félicité d’avoir relevé "le défi du respect du calendrier républicain en tenant l’élection sans changement à la date prévue, ensuite le défi de la transparence et de la maîtrise du fichier électoral contradictoirement contrôlé avec l’assistance internationale". Et enfin "le défi d’un scrutin transparent, démocratique et participatif ".
Source: afriscoop