Faits divers : 4 mauritaniens écroués pour viol collectif sur une marocaine
Le juge du 3é cabinet d'instruction du tribunal de Nouakchott a placé en détention préventive quatre (4) jeunes mauritaniens, pour un viol collectif sur une dame de nationalité marocaine, rapporte mardi le site d'informations continues « Nouakchott- Info ».
La victime marocaine répondant au nom KH, était mariée à un gendarme mauritanien, avant de divorcer depuis 4 mois, selon la même source.
Il y a quelques semaines, elle a fait la connaissance d'un jeune mauritanien, AR, qui déclarait vouloir l'épouser.
Prétextant montrer à la marocaine le lieu qui devait servir de demeure au futur couple après le mariage, dans un quartier de la banlieue de Nouakchott, AR a attiré sa victime dans un traquenard avant de la livrer à une bande d'amis (AR, SM, MS et FA) pour une douloureuse séance de viol collectif.
Les présumés auteurs du forfait ont été arrêtés par un poste de gendarmerie situé à la sortie Est de la capitale mauritanienne, placés en garde à vue dans un commissariat de la banlieue puis déférés devant la justice qui les a finalement écroués.
Ce fait est rapporté par la presse locale alors que la Mauritanie , à l'instar de la communauté internationale vient de célébrer la journée internationale contre la violence faite aux femmes. Un fait qui prend un caractère particulièrement grave quand il est d'ordre sexuel.
Des militants de la cause féminine et membres d'organisations de défense des droits humains ont entrepris ces dernières années une croisade pour lever le voile d'injustice et de fausse pudeur qui entoure la violence sexuelle contre les femmes en Mauritanie. Ainsi, ces pionniers ont progressivement gagné à leur noble cause des décideurs, des élus, des magistrats, des avocats et des religieux pour sortir le problème de l'ombre et amener les victimes à dénoncer leurs bourreaux qui peuvent être parfois des proches.
Amadou Seck
Le juge du 3é cabinet d'instruction du tribunal de Nouakchott a placé en détention préventive quatre (4) jeunes mauritaniens, pour un viol collectif sur une dame de nationalité marocaine, rapporte mardi le site d'informations continues « Nouakchott- Info ».
La victime marocaine répondant au nom KH, était mariée à un gendarme mauritanien, avant de divorcer depuis 4 mois, selon la même source.
Il y a quelques semaines, elle a fait la connaissance d'un jeune mauritanien, AR, qui déclarait vouloir l'épouser.
Prétextant montrer à la marocaine le lieu qui devait servir de demeure au futur couple après le mariage, dans un quartier de la banlieue de Nouakchott, AR a attiré sa victime dans un traquenard avant de la livrer à une bande d'amis (AR, SM, MS et FA) pour une douloureuse séance de viol collectif.
Les présumés auteurs du forfait ont été arrêtés par un poste de gendarmerie situé à la sortie Est de la capitale mauritanienne, placés en garde à vue dans un commissariat de la banlieue puis déférés devant la justice qui les a finalement écroués.
Ce fait est rapporté par la presse locale alors que la Mauritanie , à l'instar de la communauté internationale vient de célébrer la journée internationale contre la violence faite aux femmes. Un fait qui prend un caractère particulièrement grave quand il est d'ordre sexuel.
Des militants de la cause féminine et membres d'organisations de défense des droits humains ont entrepris ces dernières années une croisade pour lever le voile d'injustice et de fausse pudeur qui entoure la violence sexuelle contre les femmes en Mauritanie. Ainsi, ces pionniers ont progressivement gagné à leur noble cause des décideurs, des élus, des magistrats, des avocats et des religieux pour sortir le problème de l'ombre et amener les victimes à dénoncer leurs bourreaux qui peuvent être parfois des proches.
Amadou Seck