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Le bureau exécutif de l'AVOMM

"L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu'on a fait de nous." Jean-Paul Sartre

"L'Association d'aides aux veuves et aux orphelins de mauritanie (AVOMM) qui nous rassemble, a été créée le 25/12/95 à PARIS par d'ex-militaires mauritaniens ayant fui la terreur, l'oppression, la barbarie du colonel Mawiya o/ sid'ahmed Taya ......
Ces rescapés des geôles de ould Taya, et de l'arbitraire, décidèrent, pour ne jamais oublier ce qui leur est arrivé, pour garder aussi la mémoire des centaines de martyrs, de venir en aide aux veuves, aux orphelins mais aussi d'engager le combat contre l'impunité décrétée par le pouvoir de Mauritanie."
E-mail : avommavomm@yahoo.fr

Bureau exécutif

*Ousmane SARR, président
*Demba Niang, secrétaire général
*Secrétaire général Adjt; Demba Fall
*Alousseyni SY, Chargé des relations extérieures
*Mme Rougui Dia, trésorière
*Chargé de l’organisation Mariame Diop
*adjoint Ngolo Diarra
*Mme Mireille Hamelin, chargée de la communication
*Chargé de mission Bathily Amadou Birama
Conseillers:
*Kane Harouna
*Hamdou Rabby SY










AVOMM

VIDEO : Le président-candidat Wade vote sous les huées


A l'issue d'une campagne particulièrement violente, qui a fait au moins 6 morts en un mois, 5,3 millions de Sénégalais sont appelés à voter dimanche pour le premier tour de l'élection présidentielle. Alors que la Constitution le lui interdit, Abdoulaye Wade se présente malgré tout pour un troisième mandat. L'opposition a d'ores et déjà appelé à un nouveau scrutin, sans sa participation, s'il devait être réélu.

L'ex-président nigérian Olusegun Obasanjo, chef de la mission d'observation de l'Union africaine au Sénégal, a même appelé samedi à «échapper au chaos» en limitant à deux ans le mandat du président sortant âgé de 85 ans, dont 12 au pouvoir.

A la mi-journée, bien qu'aucun taux de participation officiel n'ait été publié, journalistes et observateurs ont pu constater que de longues files d'attente s'étaient formées devant les bureaux de vote, tant à Dakar et ses banlieues, que dans plusieurs villes de province. Le vote se déroulait sans incident majeur, selon eux.

Wade : «Une révolte des Sénégalais contre moi n’est pas pensable !»

Le chef de l'Etat sénégalais a voté à Dakar sous les huées de plusieurs centaines de personnes. Wade, accompagné de son fils Karim et de sa fille Sindiély, ainsi que du ministre de l'Intérieur Ousmane Ngom, s'est rendu dans un bureau du quartier du Point E, où il possède une résidence privée. Il en est très vite reparti après avoir accompli son devoir électoral.

Dans une interview au Journal du Dimanche, il assure : «Ma majorité est si écrasante que je pense être élu avec un fort pourcentage dès le premier tour.»
A la question «Redoutez-vous des débordements ?», le chef de l'Etat rétorque : «Non, l’opposition est incapable d’organiser de telles choses. Une révolte des Sénégalais contre moi n’est pas pensable !».
«Il n'y aura pas d'état d'urgence, poursuit-il, sauf si des mercenaires sortent dans la rue pour tirer sur les gens. À ce moment-là, je déclarerai l'état de siège. Mais cela n'arrivera pas», affirme le président sénégalais.

«Nicolas Sarkozy n'est pas mon adversaire, enfin, je crois»

Alors que le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, a jugé dans un entretien à «Jeune Afrique» que «la durée excessive de l'exercice du pouvoir peut poser problème», le président sénégalais répond : «Ce n'est pas aux Européens de décider (...) Mais je sais que les Français et les Américains cherchent à m'embêter, parce que je ne suis pas docile. Je répondrai comme (l'ancien président Leopold Sedar) Senghor : Je ne suis pas le nègre de service.» Quant au président français Nicolas Sarkozy, il n'est pas mon adversaire, enfin, je crois. Je pense qu'il ne partage pas le point de vue de M. Juppé ».

L'opposition veut empêcher «un coup d'Etat électoral»

Face à Wade, 13 candidats, dont trois de ses anciens Premiers ministres, Moustapha Niasse, Idrissa Seck et Macky Sall, ainsi que le patron du Parti socialiste, Ousmane Tanor Dieng.

Le Mouvement du 23 juin (M23) - coalition de partis d'opposition et d'organisations de la société civile - a proposé l'organisation d'une nouvelle élection présidentielle, «dans un délai de six à neuf mois», «à laquelle le président Wade s'engage à ne pas se présenter». Il s'agit d'empêcher «un coup d'Etat électoral», que serait, selon lui, la proclamation de la victoire d'Abdoulaye Wade dès le premier tour de l'élection.


Source: Le Parisien
Dimanche 26 Février 2012 - 17:21
Dimanche 26 Février 2012 - 17:29
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