Le gouverneur du district de Nouakchott a décidé d’interdire l’entrée à pieds des rapatriés venus de Boghé et qui attendent, depuis ce samedi, à 16 km pour entrer dans la ville, demain matin, à 9 heures, affirment les membres du comité d’accueil, au sortir de la réunion tenu, ce soir à Nouakchott avec le Wali et le directeur de la sûreté.
Les responsables de l’état disent redouter des débordent et préconisent par conséquent de les transporter en voiture jusqu’à la place Ibn Abass.
Les membres du comité d’accueil qui ont prévu un service de sécurité pour encadrer les marcheurs et ceux qui viennent les soutenir ont opposé, au cours de cette réunion devenue houleuse, un refus catégorique à cette proposition, ils ont mis le DGSN et le Wali devant leur responsabilité pour tout ce qui adviendra.
Certains n’ont pas hésité à dénoncer la politique de deux poids deux mesures. Pourquoi refuser aux rapatries, ce qu’on a accepté pour les Haratines, s’est interrogé un membre du comité d’accueil.
Que fera le pouvoir face à la détermination des marcheurs et de leurs soutiens ? Va-t-on vers une épreuve de force ? On le saura, d’ici quelques heures.
Les responsables de l’état disent redouter des débordent et préconisent par conséquent de les transporter en voiture jusqu’à la place Ibn Abass.
Les membres du comité d’accueil qui ont prévu un service de sécurité pour encadrer les marcheurs et ceux qui viennent les soutenir ont opposé, au cours de cette réunion devenue houleuse, un refus catégorique à cette proposition, ils ont mis le DGSN et le Wali devant leur responsabilité pour tout ce qui adviendra.
Certains n’ont pas hésité à dénoncer la politique de deux poids deux mesures. Pourquoi refuser aux rapatries, ce qu’on a accepté pour les Haratines, s’est interrogé un membre du comité d’accueil.
Que fera le pouvoir face à la détermination des marcheurs et de leurs soutiens ? Va-t-on vers une épreuve de force ? On le saura, d’ici quelques heures.