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Le bureau exécutif de l'AVOMM

"L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu'on a fait de nous." Jean-Paul Sartre

"L'Association d'aides aux veuves et aux orphelins de mauritanie (AVOMM) qui nous rassemble, a été créée le 25/12/95 à PARIS par d'ex-militaires mauritaniens ayant fui la terreur, l'oppression, la barbarie du colonel Mawiya o/ sid'ahmed Taya ......
Ces rescapés des geôles de ould Taya, et de l'arbitraire, décidèrent, pour ne jamais oublier ce qui leur est arrivé, pour garder aussi la mémoire des centaines de martyrs, de venir en aide aux veuves, aux orphelins mais aussi d'engager le combat contre l'impunité décrétée par le pouvoir de Mauritanie."
E-mail : avommavomm@yahoo.fr

Bureau exécutif

*Ousmane SARR, président
*Demba Niang, secrétaire général
*Secrétaire général Adjt; Demba Fall
*Alousseyni SY, Chargé des relations extérieures
*Mme Rougui Dia, trésorière
*Chargé de l’organisation Mariame Diop
*adjoint Ngolo Diarra
*Mme Mireille Hamelin, chargée de la communication
*Chargé de mission Bathily Amadou Birama
Conseillers:
*Kane Harouna
*Hamdou Rabby SY










AVOMM

Une loi pour sanctionner l'esclavage


Une loi pour sanctionner l'esclavage
Le Parlement mauritanien, qui a entamé une session extraordinaire ce lundi, va examiner un projet de loi criminalisant les pratiques esclavagistes.

Ce projet de loi adopté en juin dernier par le gouvernement, sera soumis à l’approbation de l’Assemblée nationale et du Sénat, à l’occasion d’une session dont la durée prévue est un mois.

Le nouveau texte prévoit de lourdes peines à l’encontre de ceux qui s’adonneraient à cette pratique sociale trés ancienne en Mauritanie, longtemps dénoncée par les organisations de défense des droits humains, et qui a été souvent au centre d’une vive polémique entre celles-ci et l’ancien pouvoir renversé le 3 août 2005.

Tout en acceptant la nouvelle loi comme "une avancée", un collectif d’ONG anti-esclavagistes parmi lesquelles SOS Esclaves, la jugent "insuffisantes" pour, entre autres raisons, absence de définition de l’esclave, absence de prise en compte du référentiel de la législation pénale internationale qui fait de cette pratique un crime contre l’humanité.

Ces ONG réclament également la possibilité de se constituer partie civile en cas de poursuites pour pratiques esclavagistes.

On rappelle qu'une loi de 1981 avait, pour la première fois, aboli l'esclavage en Mauritanie, sans jamais avoir été suivie d’un décret d’application, qui prévoyait "une indemnité" pour les anciens maîtres d’esclaves.
(pana)




Source: Africatime
(M)
Mardi 24 Juillet 2007 - 19:21
Mardi 24 Juillet 2007 - 19:30
INFOS AVOMM
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