Le choix d’une CENI composée de vétérans âgés au moins de 60 ans est-ce un nouveau coup d’essai qui semble inspirer les autorités dirigeantes au sortir du dialogue politique entre les acteurs de la majorité et ceux de l’ « opposition Out » de la COD ?
L’adoption d’un projet de loi instituant une CENI mandatée pour superviser et assurer le bon déroulement des processus électoraux en Mauritanie avec une part égale entre la Majorité présidentielle consolidée et des partis de l'Opposition inscrits dans le dialogue politique viserait selon les objectifs de cette décision à disposer d’un appareillage fiable.
Mais l’entrée dans la CENI de doyens dont la cooptation ne changera que peu les pratiques politiciennes, ne sera pas sans doute la panacée contre les faux semblants qui se profilent derrière les décisions de notre administration électorale.
Une CENI de jeunes aux cheveux noirs vaut-elle moins que celle de vétérans aux cheveux blancs si dans l’une ou l’autre le manque d’indépendance constitue le dénominateur commun. Cette initiative visant à valoriser l’expérience de la vieillesse classe est en soi soutenable à condition que ceux qui sont désignés soient des sages connus par leur bonne moralité et leur indépendance d’esprit.De telles valeurs existent dans ce pays mais le problème sera dans le choix des personnalités de cette trempe.
Dans ce cadre la bienséance doit consacrer le choix d’un président de la CENI de la génération de retraités disposant de hautes compétences notamment dans l’administration territoriale du pays n’ayant pas été cité en exemple de gabegie. Mais autour de lui doivent graviter des sommités jeunes capables de faire fonctionner le dispositif. Aussi la configuration de cette CENI
Cheikh Tidiane Dia
Source: le renovateur
L’adoption d’un projet de loi instituant une CENI mandatée pour superviser et assurer le bon déroulement des processus électoraux en Mauritanie avec une part égale entre la Majorité présidentielle consolidée et des partis de l'Opposition inscrits dans le dialogue politique viserait selon les objectifs de cette décision à disposer d’un appareillage fiable.
Mais l’entrée dans la CENI de doyens dont la cooptation ne changera que peu les pratiques politiciennes, ne sera pas sans doute la panacée contre les faux semblants qui se profilent derrière les décisions de notre administration électorale.
Une CENI de jeunes aux cheveux noirs vaut-elle moins que celle de vétérans aux cheveux blancs si dans l’une ou l’autre le manque d’indépendance constitue le dénominateur commun. Cette initiative visant à valoriser l’expérience de la vieillesse classe est en soi soutenable à condition que ceux qui sont désignés soient des sages connus par leur bonne moralité et leur indépendance d’esprit.De telles valeurs existent dans ce pays mais le problème sera dans le choix des personnalités de cette trempe.
Dans ce cadre la bienséance doit consacrer le choix d’un président de la CENI de la génération de retraités disposant de hautes compétences notamment dans l’administration territoriale du pays n’ayant pas été cité en exemple de gabegie. Mais autour de lui doivent graviter des sommités jeunes capables de faire fonctionner le dispositif. Aussi la configuration de cette CENI
Cheikh Tidiane Dia
Source: le renovateur