Un journal sénégalais attribue au docteur Watson le «Nobel de racisme»
La première sanction est tombée. Un institut de recherche de Long Island (nord-est des Etats-Unis) a suspendu de son conseil d'administration le Dr James Watson, prix Nobel de médecine américain qui, la semaine dernière dans le Sunday Times, avait tenu des propos racistes en affirmant que les Africains étaient moins intelligents que les blancs.
James Watson, âgé de 79 ans, a été lauréat du Prix Nobel de médecine en 1962 pour ses recherches sur la structure de l’ADN. «Le conseil d’administration s’est réuni et a décidé jeudi soir de suspendre le Dr Watson de toutes ses responsabilité s administratives» , a déclaré dans un communiqué Bruce Stillman, PDG du laboratoire situé à Long Island, à moins de 50 kilomètres de New York. «Les commentaires attribués au Dr James Watson et publiés dans le Sunday Times le 14 octobre n’appartiennent qu’à lui et ne reflètent en aucun cas la mission, les objectifs ou les principes du conseil d’administration du Laboratoire de Cold Spring Harbor, de son institut de recherche et de sa faculté de biologie», précise Stillman.
La faculté de biologie qui se trouve sur le territoire du laboratoire porte le nom d’«E cole Watson de sciences biologiques» mais «M. Watson n’est pas le doyen», a indiqué à l’AFP un porte-parole du laboratoire, David Lucs. Le généticien a tenté vendredi d’apaiser la controverse, se disant dans un communiqué «mortifié» par l’émotion créée par ses propos, et assurant avoir été «mal compris».
En Afrique, le quotidien privé sénégalais Le Populaire a dénoncé vendredi les propos du prix Nobel de médecine (1962) américain James Watson, qu’il a qualifié de «Nobel de racisme» pour avoir affirmé que les Africains étaient moins intelligents que les Blancs. Par ses déclarations, le Dr Watson, co-découvreur de l’ADN, montre qu’il «(déteste) génétiquement les Africains», affirme Le Populaire, qui lui décerne trois fois le «Nobel de racisme». Le journal accuse le scientifique américain d’être un «raciste multirécidiviste» , en exprimant des doutes sur sa santé mentale. «A 79 ans, il pourrait ne plus avoir toute sa tête, même s’il a des activités professionnelles intenses», écrit-il.
Source : Rewmi via flamnet
La première sanction est tombée. Un institut de recherche de Long Island (nord-est des Etats-Unis) a suspendu de son conseil d'administration le Dr James Watson, prix Nobel de médecine américain qui, la semaine dernière dans le Sunday Times, avait tenu des propos racistes en affirmant que les Africains étaient moins intelligents que les blancs.
James Watson, âgé de 79 ans, a été lauréat du Prix Nobel de médecine en 1962 pour ses recherches sur la structure de l’ADN. «Le conseil d’administration s’est réuni et a décidé jeudi soir de suspendre le Dr Watson de toutes ses responsabilité s administratives» , a déclaré dans un communiqué Bruce Stillman, PDG du laboratoire situé à Long Island, à moins de 50 kilomètres de New York. «Les commentaires attribués au Dr James Watson et publiés dans le Sunday Times le 14 octobre n’appartiennent qu’à lui et ne reflètent en aucun cas la mission, les objectifs ou les principes du conseil d’administration du Laboratoire de Cold Spring Harbor, de son institut de recherche et de sa faculté de biologie», précise Stillman.
La faculté de biologie qui se trouve sur le territoire du laboratoire porte le nom d’«E cole Watson de sciences biologiques» mais «M. Watson n’est pas le doyen», a indiqué à l’AFP un porte-parole du laboratoire, David Lucs. Le généticien a tenté vendredi d’apaiser la controverse, se disant dans un communiqué «mortifié» par l’émotion créée par ses propos, et assurant avoir été «mal compris».
En Afrique, le quotidien privé sénégalais Le Populaire a dénoncé vendredi les propos du prix Nobel de médecine (1962) américain James Watson, qu’il a qualifié de «Nobel de racisme» pour avoir affirmé que les Africains étaient moins intelligents que les Blancs. Par ses déclarations, le Dr Watson, co-découvreur de l’ADN, montre qu’il «(déteste) génétiquement les Africains», affirme Le Populaire, qui lui décerne trois fois le «Nobel de racisme». Le journal accuse le scientifique américain d’être un «raciste multirécidiviste» , en exprimant des doutes sur sa santé mentale. «A 79 ans, il pourrait ne plus avoir toute sa tête, même s’il a des activités professionnelles intenses», écrit-il.
Source : Rewmi via flamnet