Le président du Forum national des organisations de droits humains (FONADH), Sarr Mamadou, plaide en faveur d’un dialogue national inclusif, pour sortir la Mauritanie d’une crise politique et institutionnelle, dans un entretien exclusif avec la PANA dimanche.
Ce dialogue "doit impliquer le pouvoir, toute la classe politique (majorité, opposition dite radicale et modérée) ainsi que les organisations de la Société civile, en vue de discuter toutes les questions qui touchent à la vie de nation et déboucher sur l’organisation d’élections législatives et municipales libres, démocratiques et transparentes", explique le responsable du FONADH.
Ainsi, le collectif soutient l’initiative du président de l’Assemblée nationale, Messaoud Ould Boulkheir, par ailleurs leader de l’Alliance populaire progressiste (APP- opposition modérée), dont l’objectif est d’instaurer un large dialogue national, prélude à l’organisation de nouvelles consultations électorales.
En Mauritanie, le mandat du Parlement et celui des conseils municipaux, tel que prévu par les textes est arrivé à expiration depuis plus d’une année.
Une Coordination de l’opposition démocratique (COD), regroupant une douzaine de partis politiques, investit régulièrement la rue et les places publiques pour réclamer le départ du président Mohamed Ould Abdel Aziz et l’organisation d’une transition consensuelle devant déboucher sur de nouvelles élections.
Non représenté au sein de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), le collectif de l’opposition radicale rejette toute idée de participation à des élections organisées de manière unilatérale "dont les résultats seraient connus d’avance".
PANA
Source: Kassataya
Ce dialogue "doit impliquer le pouvoir, toute la classe politique (majorité, opposition dite radicale et modérée) ainsi que les organisations de la Société civile, en vue de discuter toutes les questions qui touchent à la vie de nation et déboucher sur l’organisation d’élections législatives et municipales libres, démocratiques et transparentes", explique le responsable du FONADH.
Ainsi, le collectif soutient l’initiative du président de l’Assemblée nationale, Messaoud Ould Boulkheir, par ailleurs leader de l’Alliance populaire progressiste (APP- opposition modérée), dont l’objectif est d’instaurer un large dialogue national, prélude à l’organisation de nouvelles consultations électorales.
En Mauritanie, le mandat du Parlement et celui des conseils municipaux, tel que prévu par les textes est arrivé à expiration depuis plus d’une année.
Une Coordination de l’opposition démocratique (COD), regroupant une douzaine de partis politiques, investit régulièrement la rue et les places publiques pour réclamer le départ du président Mohamed Ould Abdel Aziz et l’organisation d’une transition consensuelle devant déboucher sur de nouvelles élections.
Non représenté au sein de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), le collectif de l’opposition radicale rejette toute idée de participation à des élections organisées de manière unilatérale "dont les résultats seraient connus d’avance".
PANA
Source: Kassataya