Trois (3) mots pour parler d’enfants, de femmes, d’hommes qui ont souffert, souffrent d’expulsion humaine aux camps oubliés des réfugié(e)s. Sans oublier les nombreux décès des Enfants de la Mauritanie qui ont fermé les yeux, sans revoir leur patrie. Aussi, ces femmes et ces hommes de cœur et de tête qui ont fait le choix de se taire ou de se cacher pour mieux oublier. Ici, je pense à toi, à vous…. À quelque part sur la Terre.
Le frisson m’a habitée lors de l’écoute, sur RFI, de ces hommes qui se sont prononcés sur le retour des réfugiés. Leur voix racontait la douleur, les peines, les frustrations, les injustices, les atrocités. Maintenant je me réfère au dictionnaire qui possède ces mots pour crier toutes les souffrances quotidiennes vécues tout le long de ces années inhumaines.
Humblement, j’écris par mon clavier que je me dois de faire confiance au peuple mauritanien qui a élu Monsieur Sidi Ould Cheikh Abdallahi comme président de la Mauritanie. Monsieur le Président vous avez prêté serment le 19 avril dernier maintenant votre rôle n’est pas facile, entre vos mains le sort des oublié(e)s. Et le sort de tout le peuple mauritanien. Je vous écris bonne chance et courage.
De mon pays, qui vous accueillera l’été prochain, je prie vraiment pour qu’enfin la démocratie chante aux sons de toutes les odeurs et de toutes les couleurs de ce pays qui est dans mon cœur : la Mauritanie.
Ayons confiance à une table qui réunira les vraies personnes, aptes à l’honnêteté. Les yeux du cœur doivent parler et faire en sorte que les journées de concertation ouvriront le chemin de l’égalité, de la compréhension, de la tolérance, surtout de l’Amour.
Sincèrement.
Non à l’oubli
Marie E.
Le frisson m’a habitée lors de l’écoute, sur RFI, de ces hommes qui se sont prononcés sur le retour des réfugiés. Leur voix racontait la douleur, les peines, les frustrations, les injustices, les atrocités. Maintenant je me réfère au dictionnaire qui possède ces mots pour crier toutes les souffrances quotidiennes vécues tout le long de ces années inhumaines.
Humblement, j’écris par mon clavier que je me dois de faire confiance au peuple mauritanien qui a élu Monsieur Sidi Ould Cheikh Abdallahi comme président de la Mauritanie. Monsieur le Président vous avez prêté serment le 19 avril dernier maintenant votre rôle n’est pas facile, entre vos mains le sort des oublié(e)s. Et le sort de tout le peuple mauritanien. Je vous écris bonne chance et courage.
De mon pays, qui vous accueillera l’été prochain, je prie vraiment pour qu’enfin la démocratie chante aux sons de toutes les odeurs et de toutes les couleurs de ce pays qui est dans mon cœur : la Mauritanie.
Ayons confiance à une table qui réunira les vraies personnes, aptes à l’honnêteté. Les yeux du cœur doivent parler et faire en sorte que les journées de concertation ouvriront le chemin de l’égalité, de la compréhension, de la tolérance, surtout de l’Amour.
Sincèrement.
Non à l’oubli
Marie E.