Communiqué: droit de réponse
Dans un communiqué publié le 03 Septembre dans le site d' Al akhbar, la police raciste, en réponse à la déclaration de "Touche pas à ma nationalité" s'est montrée une fois de plus mesquine et dépourvue de tout sens de l'honneur en niant ce qui est pourtant une évidence. Ce communiqué montre que la police raciste , au lieu de corriger cette discrimination continue d'afficher un mépris total à l'égard des négro-mauritaniens.
C'est en ces termes : "les cadres de la communauté à laquelle le communiqué fait allusion occupent tous actuellement d'importants postes de responsabilité dans ce secteur"que la police raciste a tenté de rejeter ce qui est une réalité . Qui sont ces cadres dont parle la police? des généraux nègres de service qui doivent leur nomination à leur collaboration avec le système raciste, un de ces généraux n'a-t-il pas torturé ses frères en 1987?ils ne peuvent aucunement prétendre représenter la communauté noire. Les chiffres parlent, dans les onze arrondissements de Nouakchott et dans les douze régions le nombre de commissaires négro-mauritaniens ne dépasse pas deux, c'est ça l'égalité dont parle la police?. Un noir n'a aucune chance de dépasser le grade de brigadier chef alors que pour un arabo-berbère toutes les portes sont ouvertes pour une belle carrière, ce malaise est ressenti même par les policiers noirs qui malheureusement ne peuvent s'exprimer, où est la différence avec l'Apartheid? Le nombre de noirs reste important seulement dans les brigades d'intervention où la force physique est requise.
Nous rappelons que cette discrimination devient générale, il suffit de voir ce qui se passe au lycée militaire national ouvert pour former juste des enfants maures. Quant à l'armée, entièrement béydanisée elle ne mérite que l’appellation de milice.
"Touche pas à ma nationalité" défie la police raciste et lui demande de publier ces statistiques qui permettront de voir combien les noirs sont marginalisé dans ce qui est devenue une force de répression des noirs.
Touche pas à ma nationalité appelle les noirs à se mobiliser pour dire non à leur exclusion et rappelle au régime raciste que son attitude ne fait que radicaliser la jeunesse noire.
Source: Abdoul Birane Wane
Dans un communiqué publié le 03 Septembre dans le site d' Al akhbar, la police raciste, en réponse à la déclaration de "Touche pas à ma nationalité" s'est montrée une fois de plus mesquine et dépourvue de tout sens de l'honneur en niant ce qui est pourtant une évidence. Ce communiqué montre que la police raciste , au lieu de corriger cette discrimination continue d'afficher un mépris total à l'égard des négro-mauritaniens.
C'est en ces termes : "les cadres de la communauté à laquelle le communiqué fait allusion occupent tous actuellement d'importants postes de responsabilité dans ce secteur"que la police raciste a tenté de rejeter ce qui est une réalité . Qui sont ces cadres dont parle la police? des généraux nègres de service qui doivent leur nomination à leur collaboration avec le système raciste, un de ces généraux n'a-t-il pas torturé ses frères en 1987?ils ne peuvent aucunement prétendre représenter la communauté noire. Les chiffres parlent, dans les onze arrondissements de Nouakchott et dans les douze régions le nombre de commissaires négro-mauritaniens ne dépasse pas deux, c'est ça l'égalité dont parle la police?. Un noir n'a aucune chance de dépasser le grade de brigadier chef alors que pour un arabo-berbère toutes les portes sont ouvertes pour une belle carrière, ce malaise est ressenti même par les policiers noirs qui malheureusement ne peuvent s'exprimer, où est la différence avec l'Apartheid? Le nombre de noirs reste important seulement dans les brigades d'intervention où la force physique est requise.
Nous rappelons que cette discrimination devient générale, il suffit de voir ce qui se passe au lycée militaire national ouvert pour former juste des enfants maures. Quant à l'armée, entièrement béydanisée elle ne mérite que l’appellation de milice.
"Touche pas à ma nationalité" défie la police raciste et lui demande de publier ces statistiques qui permettront de voir combien les noirs sont marginalisé dans ce qui est devenue une force de répression des noirs.
Touche pas à ma nationalité appelle les noirs à se mobiliser pour dire non à leur exclusion et rappelle au régime raciste que son attitude ne fait que radicaliser la jeunesse noire.
Source: Abdoul Birane Wane