A Touba, la Coordination des Organisations des Réfugiés Mauritaniens au Sénégal (CORMS) a été reçue lundi par Serigne Mountakha Mbacké, Khalife Général des Mourides, l’une des plus grandes confréries musulmanes du Sénégal.
Serigne Mountakha Bassirou Mbacké, après avoir écouté le coordonnateur, Mamadou Lamine Ba et sa délégation qui ont évoqué les problèmes des Réfugiés au Sénégal (problèmes liés à la documentation, la situation en Mauritanie et les conditions de vie difficiles au Sénégal), le guide religieux a promis de faire quelque chose pour essayer de trouver des solutions.
Cette réception intervient à une semaine de la célébration de la journée internationale du Réfugié prévue le 20 juin.
En 1989, un conflit intercommunautaire éclate dans la région frontalière entre le Sénégal et la Mauritanie. Environ 60.000 personnes avaient fui de la Mauritanie vers le Sénégal et le Mali, selon le HCR. En 2021, la majorité d’entre eux vivent toujours au Sénégal.
Apatrides, sans emplois ni revenus stables, sans domiciles fixes et souvent hébergés dans des maisons en délabrement ou en construction, les réfugiés mauritaniens vivant au Sénégal vivent au jour le jour.
Salif SAKHANOKHO
Source : PressAfrik - Sénégal
Serigne Mountakha Bassirou Mbacké, après avoir écouté le coordonnateur, Mamadou Lamine Ba et sa délégation qui ont évoqué les problèmes des Réfugiés au Sénégal (problèmes liés à la documentation, la situation en Mauritanie et les conditions de vie difficiles au Sénégal), le guide religieux a promis de faire quelque chose pour essayer de trouver des solutions.
Cette réception intervient à une semaine de la célébration de la journée internationale du Réfugié prévue le 20 juin.
En 1989, un conflit intercommunautaire éclate dans la région frontalière entre le Sénégal et la Mauritanie. Environ 60.000 personnes avaient fui de la Mauritanie vers le Sénégal et le Mali, selon le HCR. En 2021, la majorité d’entre eux vivent toujours au Sénégal.
Apatrides, sans emplois ni revenus stables, sans domiciles fixes et souvent hébergés dans des maisons en délabrement ou en construction, les réfugiés mauritaniens vivant au Sénégal vivent au jour le jour.
Salif SAKHANOKHO
Source : PressAfrik - Sénégal