L'avenue Gamal Abdennasser, au centre ville de Nouakchott, a été rebaptisée «Avenue Lamine Mangane» par le Mouvement Touche pas à ma nationalité. C’était le jeudi 27 septembre lors de la commémoration, à Nouakchott, de la mort du jeune Mangane.
Lamine Mangane a été tué le 27 septembre 2011 d’une balle par la Gendarmerie à Maghama (Sud Mauritanie) lors des manifestations de TPMN contre l’Enrôlement au Registre des Populations et des Titres Sécurisés, lancé le 5 mai 2011 par le gouvernement. Lamine Mangane était alors âgé de 21 ans.
«Si vous prenez le bus, un taxi ou quelconque autre moyen de transport, pour aller à L'avenue Gamal Abdennasser, indiquez-lui que vous descendez dans l’Avenue Lamine Mangane. L’histoire doit retenir le nom de ce martyr. Son nom doit rester inoubliable pour tout Mauritanien militant pour l'égalité dans ce pays», a déclaré Abdoul Birane Wane, coordinateur de TPMN.
Le mouvement a rappelé que l'avenue Gamal Abdennasser a abrité plusieurs marches de TMPN pour dénoncer l’Enrôlement "discriminatoire".
Des marches qui ont abouti à l'arrestation de ses membres, d’hommes politiques et de journalistes. Parfois, des blessés graves sont enregistrés. Et sur cette même avenue TPMN se rappelle encore avoir remis aux sénateurs sa lettre de protestation contre l’enrôlement.
Source: Alakhbar
Lamine Mangane a été tué le 27 septembre 2011 d’une balle par la Gendarmerie à Maghama (Sud Mauritanie) lors des manifestations de TPMN contre l’Enrôlement au Registre des Populations et des Titres Sécurisés, lancé le 5 mai 2011 par le gouvernement. Lamine Mangane était alors âgé de 21 ans.
«Si vous prenez le bus, un taxi ou quelconque autre moyen de transport, pour aller à L'avenue Gamal Abdennasser, indiquez-lui que vous descendez dans l’Avenue Lamine Mangane. L’histoire doit retenir le nom de ce martyr. Son nom doit rester inoubliable pour tout Mauritanien militant pour l'égalité dans ce pays», a déclaré Abdoul Birane Wane, coordinateur de TPMN.
Le mouvement a rappelé que l'avenue Gamal Abdennasser a abrité plusieurs marches de TMPN pour dénoncer l’Enrôlement "discriminatoire".
Des marches qui ont abouti à l'arrestation de ses membres, d’hommes politiques et de journalistes. Parfois, des blessés graves sont enregistrés. Et sur cette même avenue TPMN se rappelle encore avoir remis aux sénateurs sa lettre de protestation contre l’enrôlement.
Source: Alakhbar