Le président du Regroupement des Victimes des Evènements de 89/91 «REVE 89/91» a récusé la dissolution jeudi 21 mars de l’Agence Nationale d’Appui et d’Insertion des Réfugiés (ANAIR).
Invité lundi 25 mars du meeting du Mouvement Touche pas à ma nationalité, à El Mina, Souleymane Lô a estimé que la création de l’Agence Nationale de Lutte contre les Séquelles de l'Esclavage, de l'Insertion et de Lutte contre la Pauvreté (ANLSESILP) était un «amalgame».
Il souhaite que les pouvoirs publics revoient leur copie sur la dissolution de l’Agence Nationale d’Appui et d’Insertion des Réfugiés (ANAIR) «qui a défendu les intérêts des réfugiés».
«Les réfugiés ne sont pas toujours rentrés. Il y en a toujours qui sont toujours au Sénégal. Il y a, aujourd’hui, au Mali, 20.000 réfugiés mauritaniens. Parmi les réfugiés qui sont revenus, il y en a toujours qui sont toujours réfugiés dans leur propre pays. Leurs problèmes ne sont pas toujours réglés. La page des réfugiés n’est pas encore tournée», a affirmé Souleymane Lô.
«Nous allons continuer le combat jusqu’à obtenir tous nos droits», a-t-il dit avant d’ajouter : «Nous ne baisserons pas les bras».
Babacar Baye Ndiaye
Source: CRIDEM
Invité lundi 25 mars du meeting du Mouvement Touche pas à ma nationalité, à El Mina, Souleymane Lô a estimé que la création de l’Agence Nationale de Lutte contre les Séquelles de l'Esclavage, de l'Insertion et de Lutte contre la Pauvreté (ANLSESILP) était un «amalgame».
Il souhaite que les pouvoirs publics revoient leur copie sur la dissolution de l’Agence Nationale d’Appui et d’Insertion des Réfugiés (ANAIR) «qui a défendu les intérêts des réfugiés».
«Les réfugiés ne sont pas toujours rentrés. Il y en a toujours qui sont toujours au Sénégal. Il y a, aujourd’hui, au Mali, 20.000 réfugiés mauritaniens. Parmi les réfugiés qui sont revenus, il y en a toujours qui sont toujours réfugiés dans leur propre pays. Leurs problèmes ne sont pas toujours réglés. La page des réfugiés n’est pas encore tournée», a affirmé Souleymane Lô.
«Nous allons continuer le combat jusqu’à obtenir tous nos droits», a-t-il dit avant d’ajouter : «Nous ne baisserons pas les bras».
Babacar Baye Ndiaye
Source: CRIDEM