"moulaye dioum" <dioumoulaye@yahoo.fr>
Le peuple mauritanien a le droit de connaître les circonstances qui ont présidé à la candidature de b[Ould Sidi Abdallah. En effet après avoir été limogé par Ould Sidi Ahmed Taaya]b pour cause de détournement de deniers publics, l’actuel candidat du système de la corruption s’est retrouvé au Niger pour servir le Fonds Kowetien du Développement.
Accueilli par Ould Chaffi senior dont le fils fut conseiller pour les affaires maghrébines de Blaise Compaoré et actuellement conseiller politique de Ould Abdallah, et poursuivant la même idée nous rappelons qu’il a facilité l’introduction du candidat en lice auprès des autorités nigériennes. En outre, Ould Chaffi senior a établi de bonne relation avec les autorités nigériennes. D’ailleurs, fort de ces appuis, le candidat du pouvoir de transition n’a pas tardé à être couronné d’un passeport diplomatique, en réponse à sa grande capacité d’adaptation aux affaires louches. De plus il a vite bénéficié d’un carnet d’adresses et d’un réseau très efficace, spécialisé dans le trafic d’armes et de montage de coups d’Etats, soutenu par les autorités du Burkina, de la Libye et du Niger. C’est d’ailleurs ce réseau qui soutenait les Cavaliers du Changement avant de les trahir. Sinon comment se fait-il que les anciens soutiens de Saleh Hannana se retrouvent aujourd’hui dans le camp qu’ils combattaient hier? Et tous les Mauritaniens savent que c’est Ould Chaffi junior qui avait pris en charge le retour triomphal des Cavaliers du Changement après le coup d’Etat du 3 Août et peu après la déclaration de Dakar. C’est ce groupe également qui avait porté Baré Maïnassara au pouvoir avant de s’en prendre à lui quelques temps après son investiture, par le canal du commandant Wanké, chef de la garde présidentielle au Niger. C’est aussi ce même réseau qui avait accueilli Ould Sidi Mohamed Taaya au Niger, financé son séjour avant de lui trouver un refuge au Qatar.
On peut constater que dans aucun de ses discours, le Mauritano-nigerien n’a dressé le bilan de l’ancien système et que son staff de campagne n’est composé que d’anciens éléments de la garde rapprochée de Taaya. Le même Ould Teïss qui avait représenté le PRDS lors du débat africain qui l’opposait à Lô Gourmo, Jemal Ould Yessa et celui qui était délégué pour défendre le programme Ould Sidi Abdallah devant le président Ibrahima Sarr et le professeur Ould Salah.
Pour revenir à l’espace du réseau très présent en Mauritanie nous précisons un dernier élément : depuis plus d’une décennie, il finance Messoud Ould Boulkheir, que l’on voit aujourd’hui choisir le camp des voleurs en série. Un ralliement des plus surprenants du XXIe siècle Mauritanien et qui traduit l’absence de morale et d’un vide idéologique et doctrinal de certains de nos élus.
Des sommes colossales, en provenance de la Libye, du Burkina-Faso et du Niger, circulent en ce moment dans notre pays. Elles sont destinées principalement à acheter les voix de l’électorat négro-africain et haratin, électorat qui subit le plus la terreur de la pauvreté.
Aujourd’hui à Boghé, une carte d’électeurs se vend à raison de 6000 UM et ce sont les partisans de Ould Sidi Abdallah qui en organisent le « marché ». Certains de nos parents les plus proches sont pris dans l’engrenage de cette entreprise malsaine ayant pou but de monnayer les consciences dont la basse morale serait « la fin justifie les moyens ».
Ould Sidi Abdallah prétend détenir les clés du progrès mauritanien, mais nous souhaiterions qu’il nous apporte quelques réponses à ces différentes questions :
- Où était-il lorsque les progressistes se battaient contre la dictature de Taaya ?
- Pourquoi refuse-t-il de dresser le bilan de l’ancien régime ?
- Quelle est sa position quant aux relations avec l’Etat Hébreu ?
- Acceptera-t-il de rester en Mauritanie en cas de défaite pour être à la tête de l’opposition ?
L’enjeu aujourd’hui est notre souveraineté nationale. Nous sommes devant un lobby et un candidat qui pour réaliser ses desseins obscurs est prêt à vendre notre pays aux Khadaffi et Blaise Compaoré. Et leur premier contrat a été signé avec l’assassinat politique de Messoud, que tous les Mauritaniens admiraient pour ses positions courageuses, que malheureusement les nasseristes pro-libyens de son camp viennent sacrifier à un autre Khadaffiste.
Contre la marchandisation de notre souveraineté nationale nous devons barrer la route à Ould Sidi Abdallah, le candidat de l’arrivisme, de la méconnaissance de la Mauritanie, des nasseristes de la Libye et de la criminalité financière du Sahel.
La voie la plus sûre est de voter pour Ahmed Ould Dadadah, le candidat de l’expérience, du patriotisme, du changement tranquille et de la sécurité.
Comité de continuité de l’œuvre du président Ibrahima Sarr :
Mourtodo Diop
Amadou Alpha Bâ
Haby Zakaria : 06 99 04 54 04
Mamadou Bâ : 06 68 13 37 81
Dr Ousmane Chérif Touré : 06 26 11 82 28
Jemal Sow : 06 23 20 76 67
Moulaye Dioum : 06 67 94 06 75
source :"moulaye dioum"
<dioumoulaye@yahoo.fr
Le peuple mauritanien a le droit de connaître les circonstances qui ont présidé à la candidature de b[Ould Sidi Abdallah. En effet après avoir été limogé par Ould Sidi Ahmed Taaya]b pour cause de détournement de deniers publics, l’actuel candidat du système de la corruption s’est retrouvé au Niger pour servir le Fonds Kowetien du Développement.
Accueilli par Ould Chaffi senior dont le fils fut conseiller pour les affaires maghrébines de Blaise Compaoré et actuellement conseiller politique de Ould Abdallah, et poursuivant la même idée nous rappelons qu’il a facilité l’introduction du candidat en lice auprès des autorités nigériennes. En outre, Ould Chaffi senior a établi de bonne relation avec les autorités nigériennes. D’ailleurs, fort de ces appuis, le candidat du pouvoir de transition n’a pas tardé à être couronné d’un passeport diplomatique, en réponse à sa grande capacité d’adaptation aux affaires louches. De plus il a vite bénéficié d’un carnet d’adresses et d’un réseau très efficace, spécialisé dans le trafic d’armes et de montage de coups d’Etats, soutenu par les autorités du Burkina, de la Libye et du Niger. C’est d’ailleurs ce réseau qui soutenait les Cavaliers du Changement avant de les trahir. Sinon comment se fait-il que les anciens soutiens de Saleh Hannana se retrouvent aujourd’hui dans le camp qu’ils combattaient hier? Et tous les Mauritaniens savent que c’est Ould Chaffi junior qui avait pris en charge le retour triomphal des Cavaliers du Changement après le coup d’Etat du 3 Août et peu après la déclaration de Dakar. C’est ce groupe également qui avait porté Baré Maïnassara au pouvoir avant de s’en prendre à lui quelques temps après son investiture, par le canal du commandant Wanké, chef de la garde présidentielle au Niger. C’est aussi ce même réseau qui avait accueilli Ould Sidi Mohamed Taaya au Niger, financé son séjour avant de lui trouver un refuge au Qatar.
On peut constater que dans aucun de ses discours, le Mauritano-nigerien n’a dressé le bilan de l’ancien système et que son staff de campagne n’est composé que d’anciens éléments de la garde rapprochée de Taaya. Le même Ould Teïss qui avait représenté le PRDS lors du débat africain qui l’opposait à Lô Gourmo, Jemal Ould Yessa et celui qui était délégué pour défendre le programme Ould Sidi Abdallah devant le président Ibrahima Sarr et le professeur Ould Salah.
Pour revenir à l’espace du réseau très présent en Mauritanie nous précisons un dernier élément : depuis plus d’une décennie, il finance Messoud Ould Boulkheir, que l’on voit aujourd’hui choisir le camp des voleurs en série. Un ralliement des plus surprenants du XXIe siècle Mauritanien et qui traduit l’absence de morale et d’un vide idéologique et doctrinal de certains de nos élus.
Des sommes colossales, en provenance de la Libye, du Burkina-Faso et du Niger, circulent en ce moment dans notre pays. Elles sont destinées principalement à acheter les voix de l’électorat négro-africain et haratin, électorat qui subit le plus la terreur de la pauvreté.
Aujourd’hui à Boghé, une carte d’électeurs se vend à raison de 6000 UM et ce sont les partisans de Ould Sidi Abdallah qui en organisent le « marché ». Certains de nos parents les plus proches sont pris dans l’engrenage de cette entreprise malsaine ayant pou but de monnayer les consciences dont la basse morale serait « la fin justifie les moyens ».
Ould Sidi Abdallah prétend détenir les clés du progrès mauritanien, mais nous souhaiterions qu’il nous apporte quelques réponses à ces différentes questions :
- Où était-il lorsque les progressistes se battaient contre la dictature de Taaya ?
- Pourquoi refuse-t-il de dresser le bilan de l’ancien régime ?
- Quelle est sa position quant aux relations avec l’Etat Hébreu ?
- Acceptera-t-il de rester en Mauritanie en cas de défaite pour être à la tête de l’opposition ?
L’enjeu aujourd’hui est notre souveraineté nationale. Nous sommes devant un lobby et un candidat qui pour réaliser ses desseins obscurs est prêt à vendre notre pays aux Khadaffi et Blaise Compaoré. Et leur premier contrat a été signé avec l’assassinat politique de Messoud, que tous les Mauritaniens admiraient pour ses positions courageuses, que malheureusement les nasseristes pro-libyens de son camp viennent sacrifier à un autre Khadaffiste.
Contre la marchandisation de notre souveraineté nationale nous devons barrer la route à Ould Sidi Abdallah, le candidat de l’arrivisme, de la méconnaissance de la Mauritanie, des nasseristes de la Libye et de la criminalité financière du Sahel.
La voie la plus sûre est de voter pour Ahmed Ould Dadadah, le candidat de l’expérience, du patriotisme, du changement tranquille et de la sécurité.
Comité de continuité de l’œuvre du président Ibrahima Sarr :
Mourtodo Diop
Amadou Alpha Bâ
Haby Zakaria : 06 99 04 54 04
Mamadou Bâ : 06 68 13 37 81
Dr Ousmane Chérif Touré : 06 26 11 82 28
Jemal Sow : 06 23 20 76 67
Moulaye Dioum : 06 67 94 06 75
source :"moulaye dioum"
<dioumoulaye@yahoo.fr