Ce 28 janvier 2013, Souleymane KANE, Président du Conseil National de l‘Alliance pour la Justice et la Démocratie /Mouvement pour la Rénovation (AJD/MR) quittait Ould Yenge (Guidimakha) pour se rendre à son village natal.
A bord il y a son fils et deux femmes. En cours de chemin ils sont arrêtés par la gendarmerie pour un contrôle durant lequel le ton monte entre les hommes en tenue et son fils. Ce dernier est alors débarqué manu militari et les gendarmes reconduisent le véhicule avec le reste de ses passagers à Ould Yengé.
C’est là que les gendarmes, pour couronner leur mépris de la liberté de circuler inscrite dans la constitution, trouvent l’idée saugrenue de les enfermer dans la voiture.
L’AJD/MR proteste vivement contre ce traitement humiliant à l’endroit du Président de son Conseil et ses accompagnants. Elle exige dans un premier temps des excuses de la part des autorités pour ces attitudes liberticides qui ne cessent de se multiplier et dont les victimes sont, curieusement, les négro-mauritaniens.
Au moment où notre sécurité est menacée par la guerre au Mali, la Mauritanie a besoin d’un front intérieur uni et fort. Traiter inégalement nos concitoyens ou accréditer par ces agissements maladroits l’existence de citoyens de seconde zone lézarderait dangereusement notre unité.
Nouakchott, le 28 janvier 2013
Communication AJD/MR
Source: AJD/MR
A bord il y a son fils et deux femmes. En cours de chemin ils sont arrêtés par la gendarmerie pour un contrôle durant lequel le ton monte entre les hommes en tenue et son fils. Ce dernier est alors débarqué manu militari et les gendarmes reconduisent le véhicule avec le reste de ses passagers à Ould Yengé.
C’est là que les gendarmes, pour couronner leur mépris de la liberté de circuler inscrite dans la constitution, trouvent l’idée saugrenue de les enfermer dans la voiture.
L’AJD/MR proteste vivement contre ce traitement humiliant à l’endroit du Président de son Conseil et ses accompagnants. Elle exige dans un premier temps des excuses de la part des autorités pour ces attitudes liberticides qui ne cessent de se multiplier et dont les victimes sont, curieusement, les négro-mauritaniens.
Au moment où notre sécurité est menacée par la guerre au Mali, la Mauritanie a besoin d’un front intérieur uni et fort. Traiter inégalement nos concitoyens ou accréditer par ces agissements maladroits l’existence de citoyens de seconde zone lézarderait dangereusement notre unité.
Nouakchott, le 28 janvier 2013
Communication AJD/MR
Source: AJD/MR