NETTALI - Bertrand Diamacoune se dit intéressé par un des deux postes que le président Wade aurait promis au Mfdc, rapporte Sud Fm. Il y a une dizaine de jours, c’est Première Fm qui annonçait que Jean Marie François Biagui, Secrétaire général du Mfdc, avait été reçu par la président Wade qui lui aurait promis d’accorder deux postes de sénateurs au mouvement rebelle.
Bertrand Diamacoune Senghor est donc candidat au Sénat. Il veut une des deux places qui seraient accordées par le chef de l’Etat au Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc). « Je pense qu’être sénateur du mouvement, c’est pour mieux construire la paix. J’ai entendu parler que le président a choisi deux postes de sénateurs pour le Mfdc, mais, pour le moment, ils ne m’ont jamais appelé, personne ne m’a appelé pour me dire ça. Les gens m’ont demandé si je suis intéressé, j’ai dit que je suis partant », a déclaré le Secrétaire à l’organisation du mouvement irrédentiste, par ailleurs frère de feu Abbé Diamacoune.
Pour rappel, au moment où l’annonce avait été faite de l’octroi par le président Wade de deux postes de sénateurs au Mfdc, les cadres casamançais avaient réagi, surtout qu’il se susurrait que les deux postes étaient destinés à des proches du Secrétaire général du Mfdc, Jean Marie François Biagui. « S’il y a deux postes octroyés, que ce soient deux postes octroyés au Mfdc. Maintenant, le Mfdc, dans sa diversité, pourra voir qui vont occuper ces deux postes. Je pense que cela est préférable. Il vaut mieux qu’il y ait un débat démocratique au sein du Mfdc pour savoir à qui attribuer ces deux postes », avait soutenu Boubacar Mbodj, Secrétaire général du Collectif des cadres casamançais.
La libération des prisonniers détenus en Gambie est pour lui tout aussi importante aux yeux de Bertrand Diamacoune. « On ne peut pas négocier tant qu’il y a certains combattants qui sont pris par la Gambie. Parce que actuellement les combattants veulent l’unité, mais je pense bien qu’il ne peut pas y avoir d’unité tant que des frères sont en prison. Je préférerai que le président de la République puisse nous aider pour que le président Yaya relâche les combattants. Je pense qu’alors la paix reviendra rapidement, l’unité aussi », a dit Bertrand Diamacoune.
Auteur: Nettali
Bertrand Diamacoune Senghor est donc candidat au Sénat. Il veut une des deux places qui seraient accordées par le chef de l’Etat au Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc). « Je pense qu’être sénateur du mouvement, c’est pour mieux construire la paix. J’ai entendu parler que le président a choisi deux postes de sénateurs pour le Mfdc, mais, pour le moment, ils ne m’ont jamais appelé, personne ne m’a appelé pour me dire ça. Les gens m’ont demandé si je suis intéressé, j’ai dit que je suis partant », a déclaré le Secrétaire à l’organisation du mouvement irrédentiste, par ailleurs frère de feu Abbé Diamacoune.
Pour rappel, au moment où l’annonce avait été faite de l’octroi par le président Wade de deux postes de sénateurs au Mfdc, les cadres casamançais avaient réagi, surtout qu’il se susurrait que les deux postes étaient destinés à des proches du Secrétaire général du Mfdc, Jean Marie François Biagui. « S’il y a deux postes octroyés, que ce soient deux postes octroyés au Mfdc. Maintenant, le Mfdc, dans sa diversité, pourra voir qui vont occuper ces deux postes. Je pense que cela est préférable. Il vaut mieux qu’il y ait un débat démocratique au sein du Mfdc pour savoir à qui attribuer ces deux postes », avait soutenu Boubacar Mbodj, Secrétaire général du Collectif des cadres casamançais.
La libération des prisonniers détenus en Gambie est pour lui tout aussi importante aux yeux de Bertrand Diamacoune. « On ne peut pas négocier tant qu’il y a certains combattants qui sont pris par la Gambie. Parce que actuellement les combattants veulent l’unité, mais je pense bien qu’il ne peut pas y avoir d’unité tant que des frères sont en prison. Je préférerai que le président de la République puisse nous aider pour que le président Yaya relâche les combattants. Je pense qu’alors la paix reviendra rapidement, l’unité aussi », a dit Bertrand Diamacoune.
Auteur: Nettali