Eh oui, je croyais en avoir finit avec les sempiternelles polémiques avec mes « amis » des FLAM- canal historique. Sept ans après avoir « croisé le fer », avec l’un de leurs idéologues les plus dogmatiques, je croyais avoir planté définitivement le décor. Me voici de nouveau en face a face avec l’une de leurs plumes à la gâchette facile.
Entre temps les FLAM se sont « rénové », perdu des plumes beaucoup de plumes et repris langue avec la violence verbale, signe d’une nervosité certaine, et comme le dit la sagesse ; la violence quelle soit physique ou verbale, est l’apanage des faibles. Un homme fort aux convictions inébranlables, ne doit pas descendre dans les caniveaux des injures et des comparaisons « bestiales », je laisse aux lecteurs le loisir de juger de la pertinence de ce procédé.
Dans ma chronique du Calame, la seule occurrence sur les FLAM est qu’avec les nationalistes arabes ils ont faillit précipiter le pays dans le chaos. Je ne pense ni injurieuse ni infondé cette assertion. Demandez a toute la classe politique mauritanienne, aux limiers de l’ambassade de France et celle des USA ou du Sénégal, ils vous diront que la tentative ethnique et unilatérale de coup d’état de 1987, dont mon contradicteur du moment l’ex capitaine est l’un des instigateurs, était le véritable déclencheur de tous le domino qui a suivit.
J’ai toujours pensé et écris que ce coup d’Etat a donné un alibi a un dictateur en mal de légitimité et que tous les malheurs de la question nationale ont commencé a cette époque. Mais le véritable problème de fond, qui provoqua cette nervosité injustifiée, le nœud gordien, la quadrature du cercle, l’équation a X inconnu que le FLAM n’arrive et n’arrivera peut être plus jamais a résoudre est la lancinante question de la REPRESENTATIVITE POLITIQUE, des lors ou Sidi leur enleva leur cheval de Troie des refugiés.
Que faire alors ? Essayer de faire monter les enchères politiques, instaurer la loi du tout ou rien, on juge tout, tous et tout de suite. Mais les réfugiés ne veulent plus être l’otage de grands cadres bourgeois qui préfèrent l’asile doré de Cincinati-Ohio, les rives du Hudson rives ou les bords de Seine, a l’harmattan brulant de mon fouta natal de dodel, n’gourdiane, ando, m’bagne ou haeré golleré.
Lors de ma dernière discussion avec l’un des cadres des FLAM, je lui disais que le bon sens politique veut qu’ils acceptent la résolution d’un seul des trois volets de la question nationale a savoir le retour des refugiés. A défaut, on risque de braquer les militaires et on se retrouvera au mieux à la case de départ au pire dans celle de la prison. Pour cette raison, je suis fondé a croire que la réussite de Sidi dans ce registre, doit être notre souci a tous, nonobstant les divergences politiques qu’on peut avoir avec lui.
Si jamais ce président butte sur ce dossier, la Mauritanie risque de rentrer dans une nouvelle zone de turbulences. Les civils auraient échoué et le retour aux bruits des bottes ne sera plus qu’une simple formalité que ne manquera pas d’accomplir un de ces soldats assoiffé de pouvoir et parée de toutes les bonnes intentions. Vous n’avez et vous ne devez pas vous arroger le monopole de la souffrance des refugiés. Nous les avons tous défendu et continueront à le faire.
Et pour éclairer leurs lanternes aux lecteurs, voici un petit aperçu historique. Lorsque le vieux Wade accéda au pouvoir en 2000 et que Taya lui sorti l’histoire des vallées fossiles, le premier accepta comme condition au retour a la normale, d’aider a l’exil volontaire de centaines de familles de refugiés négros mauritaniennes aux USA et en Europe. Comme par hasard presque la totalité de ces familles étaient affilés aux FLAM. Tout compte fait je crois avoir été plus dans les camps des refugiés que mes contradicteurs.
Je ne répondrai jamais aux injures mais, mon cœur et mon esprit sont aux aguets et vous l'invitent a un débat serein et dépassionné ou seule la conviction est maitre du jeu. Certes la passion est parfois utile pour convaincre un auditoire d’incrédules, mais a en abuser, la plume exhale la haine suivit de près du ridicule.
J’invite les FLAM à éclairer l’opinion sur leur choix du retour.
Vont-ils continuer à manifester advitaem-aeternam de Trocadéro a l’ambassade, ou acceptent ils de descendre dans cette arène qu’ils redoutent tant. Vont-ils avoir le courage de venir continuer la bataille auprès de ceux qu’ils prétendent défendre ?
Pourtant la dictature jusque la, était sensée être le seul frein au retour. Elle est aux poubelles de l’histoire.
Dans quelques jours la majorité des réfugiés seront chez eux et tant mieux, quelques centaines ne reviendront plus, soit parce qu’ils ce sont naturalisé dans le pays d’accueil ou parce qu’ils ont réussit une insertion meilleur que celle qui les attend de l’autre coté du fleuve.
Je ne crois plus à la capacité de mobiliser l’opinion internationale autour des cendres de cette question…
Enfin, comme le dit l’adage politique : pour être audible il faut être crédible.
Sans rancune et que le débat continu
Md Mahmoud Ould Maloum
Source: FLAMNET
(M)
Entre temps les FLAM se sont « rénové », perdu des plumes beaucoup de plumes et repris langue avec la violence verbale, signe d’une nervosité certaine, et comme le dit la sagesse ; la violence quelle soit physique ou verbale, est l’apanage des faibles. Un homme fort aux convictions inébranlables, ne doit pas descendre dans les caniveaux des injures et des comparaisons « bestiales », je laisse aux lecteurs le loisir de juger de la pertinence de ce procédé.
Dans ma chronique du Calame, la seule occurrence sur les FLAM est qu’avec les nationalistes arabes ils ont faillit précipiter le pays dans le chaos. Je ne pense ni injurieuse ni infondé cette assertion. Demandez a toute la classe politique mauritanienne, aux limiers de l’ambassade de France et celle des USA ou du Sénégal, ils vous diront que la tentative ethnique et unilatérale de coup d’état de 1987, dont mon contradicteur du moment l’ex capitaine est l’un des instigateurs, était le véritable déclencheur de tous le domino qui a suivit.
J’ai toujours pensé et écris que ce coup d’Etat a donné un alibi a un dictateur en mal de légitimité et que tous les malheurs de la question nationale ont commencé a cette époque. Mais le véritable problème de fond, qui provoqua cette nervosité injustifiée, le nœud gordien, la quadrature du cercle, l’équation a X inconnu que le FLAM n’arrive et n’arrivera peut être plus jamais a résoudre est la lancinante question de la REPRESENTATIVITE POLITIQUE, des lors ou Sidi leur enleva leur cheval de Troie des refugiés.
Que faire alors ? Essayer de faire monter les enchères politiques, instaurer la loi du tout ou rien, on juge tout, tous et tout de suite. Mais les réfugiés ne veulent plus être l’otage de grands cadres bourgeois qui préfèrent l’asile doré de Cincinati-Ohio, les rives du Hudson rives ou les bords de Seine, a l’harmattan brulant de mon fouta natal de dodel, n’gourdiane, ando, m’bagne ou haeré golleré.
Lors de ma dernière discussion avec l’un des cadres des FLAM, je lui disais que le bon sens politique veut qu’ils acceptent la résolution d’un seul des trois volets de la question nationale a savoir le retour des refugiés. A défaut, on risque de braquer les militaires et on se retrouvera au mieux à la case de départ au pire dans celle de la prison. Pour cette raison, je suis fondé a croire que la réussite de Sidi dans ce registre, doit être notre souci a tous, nonobstant les divergences politiques qu’on peut avoir avec lui.
Si jamais ce président butte sur ce dossier, la Mauritanie risque de rentrer dans une nouvelle zone de turbulences. Les civils auraient échoué et le retour aux bruits des bottes ne sera plus qu’une simple formalité que ne manquera pas d’accomplir un de ces soldats assoiffé de pouvoir et parée de toutes les bonnes intentions. Vous n’avez et vous ne devez pas vous arroger le monopole de la souffrance des refugiés. Nous les avons tous défendu et continueront à le faire.
Et pour éclairer leurs lanternes aux lecteurs, voici un petit aperçu historique. Lorsque le vieux Wade accéda au pouvoir en 2000 et que Taya lui sorti l’histoire des vallées fossiles, le premier accepta comme condition au retour a la normale, d’aider a l’exil volontaire de centaines de familles de refugiés négros mauritaniennes aux USA et en Europe. Comme par hasard presque la totalité de ces familles étaient affilés aux FLAM. Tout compte fait je crois avoir été plus dans les camps des refugiés que mes contradicteurs.
Je ne répondrai jamais aux injures mais, mon cœur et mon esprit sont aux aguets et vous l'invitent a un débat serein et dépassionné ou seule la conviction est maitre du jeu. Certes la passion est parfois utile pour convaincre un auditoire d’incrédules, mais a en abuser, la plume exhale la haine suivit de près du ridicule.
J’invite les FLAM à éclairer l’opinion sur leur choix du retour.
Vont-ils continuer à manifester advitaem-aeternam de Trocadéro a l’ambassade, ou acceptent ils de descendre dans cette arène qu’ils redoutent tant. Vont-ils avoir le courage de venir continuer la bataille auprès de ceux qu’ils prétendent défendre ?
Pourtant la dictature jusque la, était sensée être le seul frein au retour. Elle est aux poubelles de l’histoire.
Dans quelques jours la majorité des réfugiés seront chez eux et tant mieux, quelques centaines ne reviendront plus, soit parce qu’ils ce sont naturalisé dans le pays d’accueil ou parce qu’ils ont réussit une insertion meilleur que celle qui les attend de l’autre coté du fleuve.
Je ne crois plus à la capacité de mobiliser l’opinion internationale autour des cendres de cette question…
Enfin, comme le dit l’adage politique : pour être audible il faut être crédible.
Sans rancune et que le débat continu
Md Mahmoud Ould Maloum
Source: FLAMNET
(M)