Les images diffusées par la chaine satellitaire El Alem sont sans équivoque. La chaine iranienne en langue arabe diffusant de Bierut montre bien un bâtiment entouré de barbelés et jouissant d’une protection particulière. Un vigile en tenue de sécurité américaine veuille à la porte et d’une façon très étrange il regarde dans toutes les directions. Il est clair que ce qui se passe dans ce bâtiment est tenu secret par les occupants de la maison ainsi que par les autorités mauritaniennes.
La question facile et prévisible est pourquoi donc ? Certains confirment qu’il s’agit bel et bien d’une prison secrète américaine en Mauritanie. D’autres, et pas les moindres car parmi eux figurent le ministre de la justice et celui de la défense, confirment au contraire qu’ils n’y a pas des prisons secrètes en Mauritanie.
Moralité entre les journalistes et nos ministres il y a bien des menteurs. Ce mensonge qui est de l’ordre de la criminalité pour les journalistes vu le préjudice qu’ils portent à l’image de notre pays est aussi répressible pour les ministres dans le cas qu’ils auraient menti à nos députés dans une cession parlementaire. Ce qui oblige dans toutes les démocraties à la démission immédiate.
La responsabilité de ce mystère entretenu incombe à tout le monde : état, élus, citoyens. Et par conséquence :
Honte à nos dirigeants qui n’ont pas encore ouvert ce maudit lieu devant tout le monde pour vérifier la véracité de la version officielle, une version largement mise à mal par des journalistes réputés sérieux dans le monde entier.
Honte à nos élus qui ne se sont pas présenter à la porte de ce bâtiment avec le sésame que le peuple les a confiés, a savoir la députation qui leur permet de tout contrôler et tout verifier au nom du peuple mauritanien.
Honte, enfin, aux citoyens mauritaniens qui n’ont pas encore exigé de connaitre la vérité toute la vérité sur la nature de ce qui se passe dans cette mystérieuse maison quitte à manifester jours et nuit dans les entourages de ce bâtiment pour couper l’accès à ses occupants jusqu'à que la vérité soit connue.
Il est évident que le divorce sera totalement consommé avec le président Sidioca et son premier ministre Zeine si ces derniers ne prennent pas cette affaire avec tout l’intérêt qu’elle mérite. Une réévaluation de la période de transition sera faite pour revoir la responsabilité des officiers de la transition dans cette histoire, pour savoir a qui au juste les mauritaniens avaient affaire ? Un ATT libérateur ou un Pinochet comploteur ?
source : cide via cridem
La question facile et prévisible est pourquoi donc ? Certains confirment qu’il s’agit bel et bien d’une prison secrète américaine en Mauritanie. D’autres, et pas les moindres car parmi eux figurent le ministre de la justice et celui de la défense, confirment au contraire qu’ils n’y a pas des prisons secrètes en Mauritanie.
Moralité entre les journalistes et nos ministres il y a bien des menteurs. Ce mensonge qui est de l’ordre de la criminalité pour les journalistes vu le préjudice qu’ils portent à l’image de notre pays est aussi répressible pour les ministres dans le cas qu’ils auraient menti à nos députés dans une cession parlementaire. Ce qui oblige dans toutes les démocraties à la démission immédiate.
La responsabilité de ce mystère entretenu incombe à tout le monde : état, élus, citoyens. Et par conséquence :
Honte à nos dirigeants qui n’ont pas encore ouvert ce maudit lieu devant tout le monde pour vérifier la véracité de la version officielle, une version largement mise à mal par des journalistes réputés sérieux dans le monde entier.
Honte à nos élus qui ne se sont pas présenter à la porte de ce bâtiment avec le sésame que le peuple les a confiés, a savoir la députation qui leur permet de tout contrôler et tout verifier au nom du peuple mauritanien.
Honte, enfin, aux citoyens mauritaniens qui n’ont pas encore exigé de connaitre la vérité toute la vérité sur la nature de ce qui se passe dans cette mystérieuse maison quitte à manifester jours et nuit dans les entourages de ce bâtiment pour couper l’accès à ses occupants jusqu'à que la vérité soit connue.
Il est évident que le divorce sera totalement consommé avec le président Sidioca et son premier ministre Zeine si ces derniers ne prennent pas cette affaire avec tout l’intérêt qu’elle mérite. Une réévaluation de la période de transition sera faite pour revoir la responsabilité des officiers de la transition dans cette histoire, pour savoir a qui au juste les mauritaniens avaient affaire ? Un ATT libérateur ou un Pinochet comploteur ?
source : cide via cridem