A l’approche de la date anniversaire de la disparition du Professeur Saïdou KANE, le comité préparatoire pour la mise en place de sa fondation s’active pour organiser le 28 septembre 2007 à « La Case » - NOUAKCHOTT- une journée pour rendre un vibrant hommage à ce grand fils de la Mauritanie.
Un premier anniversaire qui coïncide avec un vendredi, en plein mois de ramadan. Ce sont là des signes non anodins en terre d'Islam.
Une occasion pour ceux qui l’ont côtoyé d’apporter leurs témoignages sur cet homme qui a consacré sa vie pour un noble idéal : l’Unité de son pays qu’il aimait tant, mais aussi de l’Afrique toute entière.
Comme s’il savait à l’avance que sa présence parmi nous serait courte, il vivait intensément chaque jour supplémentaire que Dieu lui accordait. Il nous lègue une vie fort remplie.
Il respirait le bien-être. Sa joie contagieuse, il la propageait sans retenue. Quand elle tardait à visiter nos foyers, on scrutait l’horizon dans l’espoir de rencontrer son tendre regard complice, d’être illuminés par son beau sourire.
Son humour et ses bonnes plaisanteries intelligemment adaptées au contexte du moment rapprochaient ses semblables et éloignaient tout risque de conflit.
Voilà ce qui revient tout de suite à l’esprit quand on évoque l’homme de culture, l’historien, sociologue, anthropologue…le savant pour nous résumer. Un homme aussi curieux, vivace d’esprit ne pouvait se cantonner dans une seule discipline. Il voulait tout savoir pour faire savoir.
Une journée pour parler de Saïdou KANE, c’est peu, mais c’est mieux que l’oubli.
Espérons voir ce type d’initiative se multiplier partout en Afrique et dans le monde, tout en s’organisant au fil du temps pour devenir une tradition.
Le Professeur Saïdou KANE fut une chance pour l’Humanité. Sa vie est un modèle, un enseignement à suivre par nos jeunes générations : un esprit critique acceptant la contradiction, une rigueur scientifique hors du commun, une pensée originale tirant ses racines dans ce qui fait l’identité de l’homme dans son environnement, un humanisme au service de la paix et du développement.
Saïdou KANE
C’était le voyageur sans destination finale,
C’était le chercheur sans laboratoire,
C’était le maître sans école,
C’était le politique sans parti...
…C’était la LIBERTE ! C’était le saint pèlerin rassembleur !
Voilà un condensé qui résume maladroitement la vie de ce marathonien de l’espoir de toute une nation, de tout un peuple. Ina lilahi wa ina ileyhi rajioun. Continuons à prier pour lui.
Devrait suivre le planning de la journée du 28 septembre, qui devrait être arrêté demain par le comité préparatoire de la fondation Saïdou KANE.
Un premier anniversaire qui coïncide avec un vendredi, en plein mois de ramadan. Ce sont là des signes non anodins en terre d'Islam.
Une occasion pour ceux qui l’ont côtoyé d’apporter leurs témoignages sur cet homme qui a consacré sa vie pour un noble idéal : l’Unité de son pays qu’il aimait tant, mais aussi de l’Afrique toute entière.
Comme s’il savait à l’avance que sa présence parmi nous serait courte, il vivait intensément chaque jour supplémentaire que Dieu lui accordait. Il nous lègue une vie fort remplie.
Il respirait le bien-être. Sa joie contagieuse, il la propageait sans retenue. Quand elle tardait à visiter nos foyers, on scrutait l’horizon dans l’espoir de rencontrer son tendre regard complice, d’être illuminés par son beau sourire.
Son humour et ses bonnes plaisanteries intelligemment adaptées au contexte du moment rapprochaient ses semblables et éloignaient tout risque de conflit.
Voilà ce qui revient tout de suite à l’esprit quand on évoque l’homme de culture, l’historien, sociologue, anthropologue…le savant pour nous résumer. Un homme aussi curieux, vivace d’esprit ne pouvait se cantonner dans une seule discipline. Il voulait tout savoir pour faire savoir.
Une journée pour parler de Saïdou KANE, c’est peu, mais c’est mieux que l’oubli.
Espérons voir ce type d’initiative se multiplier partout en Afrique et dans le monde, tout en s’organisant au fil du temps pour devenir une tradition.
Le Professeur Saïdou KANE fut une chance pour l’Humanité. Sa vie est un modèle, un enseignement à suivre par nos jeunes générations : un esprit critique acceptant la contradiction, une rigueur scientifique hors du commun, une pensée originale tirant ses racines dans ce qui fait l’identité de l’homme dans son environnement, un humanisme au service de la paix et du développement.
Saïdou KANE
C’était le voyageur sans destination finale,
C’était le chercheur sans laboratoire,
C’était le maître sans école,
C’était le politique sans parti...
…C’était la LIBERTE ! C’était le saint pèlerin rassembleur !
Voilà un condensé qui résume maladroitement la vie de ce marathonien de l’espoir de toute une nation, de tout un peuple. Ina lilahi wa ina ileyhi rajioun. Continuons à prier pour lui.
Devrait suivre le planning de la journée du 28 septembre, qui devrait être arrêté demain par le comité préparatoire de la fondation Saïdou KANE.