6 décembre 1987 – 6 décembre 2012, voilà exactement un quart de siècle que les militaires Sarr Amadou, Sy Saidou et Ba Seydi ont été exécutés pour une fictive tentative de coup d’Etat, un prétexte trouvé par un Etat raciste pour épurer son armée de sa composante négro-africaine.
Ce projet macabre atteindra son paroxysme en 90/91 avec plus de cinq cent militaires noirs assassinés.
Après le deuil du 28 novembre en mémoire des 28 soldats peulhs pendus le 28 novembre 1990 par leurs frères d'armes arabes à Inal (Nord de la Mauritanie), le 6 décembre est aussi un jour de tristesse, de prières et de recueillement pour le repos des trois martyrs tués à Jreïda.
L‘Alliance pour la Justice et la Démocratie /Mouvement pour la Rénovation (AJD/MR) continuera à se battre pour leur réhabilitation et la reconnaissance par l’Etat du génocide perpétré contre les non arabes en Mauritanie. Le devoir de justice exige l’abrogation de la loi d’amnistie de juin 1993 afin de poursuivre sur notre territoire les présumés tortionnaires et criminels qui circulent en toute impunité et exiger l’extradition de Maaouiya Ouls Sid’Ahmed Ould Taya, principal responsable de ce génocide.
Nouakchott, le 6 décembre 2012
Communication AJD/MR
Ce projet macabre atteindra son paroxysme en 90/91 avec plus de cinq cent militaires noirs assassinés.
Après le deuil du 28 novembre en mémoire des 28 soldats peulhs pendus le 28 novembre 1990 par leurs frères d'armes arabes à Inal (Nord de la Mauritanie), le 6 décembre est aussi un jour de tristesse, de prières et de recueillement pour le repos des trois martyrs tués à Jreïda.
L‘Alliance pour la Justice et la Démocratie /Mouvement pour la Rénovation (AJD/MR) continuera à se battre pour leur réhabilitation et la reconnaissance par l’Etat du génocide perpétré contre les non arabes en Mauritanie. Le devoir de justice exige l’abrogation de la loi d’amnistie de juin 1993 afin de poursuivre sur notre territoire les présumés tortionnaires et criminels qui circulent en toute impunité et exiger l’extradition de Maaouiya Ouls Sid’Ahmed Ould Taya, principal responsable de ce génocide.
Nouakchott, le 6 décembre 2012
Communication AJD/MR