Temps Forts - Le Bureau exécutif de l’Union des Forces de Progrès s’est réuni les 27, 28, 29 et 30 mars dernier, dans d’assises ordinaire de cette instance supervisée par le président du parti Dr Mohamed ould Maouloud.
Trois résolutions ont été prises au terme de ces travaux dont la plus importante est cette dénonciation faite par l’UFP aux opérations d’enrôlement qualifiées par le parti de discriminatoire.
Au cours de cette session qui avait réuni la majorité des membres du Bureau exécutif, les débats « francs et sérieux » ont permis d’analyser la situation politique actuelle et la crise dans laquelle se débat la Mauritanie ainsi que les luttes des forces de l’opposition contre « la dictature » et d’examiner en plus, la situation politique au plan régional et international.
Les discussions avaient porté également sur l’évaluation de la position du parti par rapport aux dernières élections municipales et législatives. Dans leurs interventions, les membres du B.E. ont été unanimes à appeler à la préservation de l’unité du parti et à œuvrer pour son élargissement.
Cette session a été couronnée par l’adoption d’une résolution sur la situation politique et les perspectives du parti pour la période à venir. Le B.E. a, en outre adopté trois (3) résolutions. La première porte sur les opérations d’enrôlement qui caractérisent selon l’UFP par leur « caractère chauvin et discriminatoire » aussi bien à l’intérieur du pays qu’à l’extérieur.
Le parti estime qu’en Europe de nombreux mauritaniens privés d’enrôlement sont devenus apatrides et se retrouvent, dans l’impossibilité de renouveler leurs titres de séjour, leur passeport et donc privés de voyage, déplorant t" des obstacles à caractère discriminatoire posés par l’Administration en charge de l’enrôlement".
Il a exigé par ailleurs l’enrôlement de tous les citoyens mauritaniens à travers des procédures claires, simples et identiques pour tous, tout en prenant en compte les situations particulières de certains citoyens, notamment en faisant preuve de souplesse pour permettre à ces citoyens de s’enrôler.
Les autres résolutions ont quant à elles concerné ce que le parti a appelé à l’instrumentalisation de la justice égyptienne qui vient de condamner à mort 528 personnes opposés au pouvoir en place » et « les actes d’épuration ethnique à l’encontre des musulmans en République Centrafricaine qui ont touché des groupes de ressortissants mauritaniens ».
Amadou Diaara
Temps Forts (Mauritanie)
Source:cridem
Trois résolutions ont été prises au terme de ces travaux dont la plus importante est cette dénonciation faite par l’UFP aux opérations d’enrôlement qualifiées par le parti de discriminatoire.
Au cours de cette session qui avait réuni la majorité des membres du Bureau exécutif, les débats « francs et sérieux » ont permis d’analyser la situation politique actuelle et la crise dans laquelle se débat la Mauritanie ainsi que les luttes des forces de l’opposition contre « la dictature » et d’examiner en plus, la situation politique au plan régional et international.
Les discussions avaient porté également sur l’évaluation de la position du parti par rapport aux dernières élections municipales et législatives. Dans leurs interventions, les membres du B.E. ont été unanimes à appeler à la préservation de l’unité du parti et à œuvrer pour son élargissement.
Cette session a été couronnée par l’adoption d’une résolution sur la situation politique et les perspectives du parti pour la période à venir. Le B.E. a, en outre adopté trois (3) résolutions. La première porte sur les opérations d’enrôlement qui caractérisent selon l’UFP par leur « caractère chauvin et discriminatoire » aussi bien à l’intérieur du pays qu’à l’extérieur.
Le parti estime qu’en Europe de nombreux mauritaniens privés d’enrôlement sont devenus apatrides et se retrouvent, dans l’impossibilité de renouveler leurs titres de séjour, leur passeport et donc privés de voyage, déplorant t" des obstacles à caractère discriminatoire posés par l’Administration en charge de l’enrôlement".
Il a exigé par ailleurs l’enrôlement de tous les citoyens mauritaniens à travers des procédures claires, simples et identiques pour tous, tout en prenant en compte les situations particulières de certains citoyens, notamment en faisant preuve de souplesse pour permettre à ces citoyens de s’enrôler.
Les autres résolutions ont quant à elles concerné ce que le parti a appelé à l’instrumentalisation de la justice égyptienne qui vient de condamner à mort 528 personnes opposés au pouvoir en place » et « les actes d’épuration ethnique à l’encontre des musulmans en République Centrafricaine qui ont touché des groupes de ressortissants mauritaniens ».
Amadou Diaara
Temps Forts (Mauritanie)
Source:cridem