Barack Obama a déclaré mercredi qu'il souhaitait un projet de loi sur la réglementation des armes à feu d'ici le mois de janvier, estimant que les États-Unis avaient «l'obligation» d'agir après la fusillade meurtrière de Newtown la semaine passée.
Dans le même temps, M. Obama, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse depuis la Maison-Blanche, a défendu le droit des citoyens à porter des armes «dans des limites responsables».
«Nous devons stopper l'épidémie de violences commises par armes à feu», a déclaré le président Obama. La réflexion nationale pour contrer la violence imputable aux armes à feu sera chapeauter par son vice-président Joe Biden.
Cette introspection nationale est annoncée quatre jours après le terrifiant épisode de Newtown, au Connecticut, où Adam Lanza a abattu 26 personnes, dont 20 enfants, dans l'école élémentaire Sandy Hook.
Le numéro 2 de l'administration Obama est connu pour être un partisan d'un contrôle modéré de la vente des armes à feu.
Le groupe de travail gouvernemental, piloté par Biden, se penchera notamment sur les questions de la vente de fusils d'assaut et de chargeurs à forte capacité.
Comme l'a mentionné la Maison-Blanche, hier, par la bouche de son porte-parole Jay Carney, le président Obama est favorable à un changement politique sur la question des armes à feu, mais les mesures spécifiques pour arriver à un tel changement ne seront pas dictées du bureau ovale d'Obama.
M. Carney avait également avancé que le 44e président des État-Unis souhaitait «combler le vide juridique» qui permet aux Américains d'acheter des armes à feu à des vendeurs privés, sans être soumis à un processus de vérification.
La tuerie de Newtown, l'une des pires de l'histoire des États-Unis, a particulièrement ébranlé les Américains et remis en question l'inébranlable relation que nos voisins du sud entretiennent avec les armes à feu. Plus de 270 millions de fusils sont en circulation au pays de l'oncle Sam, où le second amendement à la Constitution garantit le droit d'être armé aux Américains.
Le président Obama avait déjà annoncé, hier, «soutenir activement» les efforts de la sénatrice démocrate de Californie Diane Feinstein qui souhaite réintroduire un projet de loi visant à bannir les fusils d'assaut.
Quelque 57 % des Américains se sont d'ailleurs dits en faveur d'un renforcement des lois sur le contrôle des armes à feu, selon un sondage publié hier par CBS.
L'auteur de la tuerie, Adam Lanza, 20 ans, était armé notamment d'un fusil d'assaut Bushmaster de calibre .223 quand il est entré dans l'école Sandy Hook, vendredi. Le Bushmaster .223 est une version civile du fusil d'assaut M-16 utilisé par les soldats américains.
Source: AFP
Dans le même temps, M. Obama, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse depuis la Maison-Blanche, a défendu le droit des citoyens à porter des armes «dans des limites responsables».
«Nous devons stopper l'épidémie de violences commises par armes à feu», a déclaré le président Obama. La réflexion nationale pour contrer la violence imputable aux armes à feu sera chapeauter par son vice-président Joe Biden.
Cette introspection nationale est annoncée quatre jours après le terrifiant épisode de Newtown, au Connecticut, où Adam Lanza a abattu 26 personnes, dont 20 enfants, dans l'école élémentaire Sandy Hook.
Le numéro 2 de l'administration Obama est connu pour être un partisan d'un contrôle modéré de la vente des armes à feu.
Le groupe de travail gouvernemental, piloté par Biden, se penchera notamment sur les questions de la vente de fusils d'assaut et de chargeurs à forte capacité.
Comme l'a mentionné la Maison-Blanche, hier, par la bouche de son porte-parole Jay Carney, le président Obama est favorable à un changement politique sur la question des armes à feu, mais les mesures spécifiques pour arriver à un tel changement ne seront pas dictées du bureau ovale d'Obama.
M. Carney avait également avancé que le 44e président des État-Unis souhaitait «combler le vide juridique» qui permet aux Américains d'acheter des armes à feu à des vendeurs privés, sans être soumis à un processus de vérification.
La tuerie de Newtown, l'une des pires de l'histoire des États-Unis, a particulièrement ébranlé les Américains et remis en question l'inébranlable relation que nos voisins du sud entretiennent avec les armes à feu. Plus de 270 millions de fusils sont en circulation au pays de l'oncle Sam, où le second amendement à la Constitution garantit le droit d'être armé aux Américains.
Le président Obama avait déjà annoncé, hier, «soutenir activement» les efforts de la sénatrice démocrate de Californie Diane Feinstein qui souhaite réintroduire un projet de loi visant à bannir les fusils d'assaut.
Quelque 57 % des Américains se sont d'ailleurs dits en faveur d'un renforcement des lois sur le contrôle des armes à feu, selon un sondage publié hier par CBS.
L'auteur de la tuerie, Adam Lanza, 20 ans, était armé notamment d'un fusil d'assaut Bushmaster de calibre .223 quand il est entré dans l'école Sandy Hook, vendredi. Le Bushmaster .223 est une version civile du fusil d'assaut M-16 utilisé par les soldats américains.
Source: AFP