Le ministère mauritanien de la Santé a fermé une soixantaine de structures sanitaires « illégales » dans la capitale Nouakchott, a appris APA dimanche de source sûre dans cette ville.
« Il a été procédé à Nouakchott à la fermeture de toutes les structures, une soixantaine au total, qui ne sont pas conformes avec la réglementation », a indiqué le ministère dans un communiqué parvenu à APA dimanche.
Le texte précise que dans le cadre de la « politique d’assainissement du secteur de la santé, le département entreprend depuis plusieurs mois des campagnes à travers l’Inspection générale de la santé contre l’exercice illégal de la médecine, de la pharmacie et de l’art dentaire ».
Selon la réglementation en vigueur en Mauritanie, « l’exercice à titre privé de la profession de la médecine, de la pharmacie ou de la chirurgie dentaire, sous quelque forme que ce soit, est subordonné à l’obtention d’une autorisation délivrée à cet effet par le ministre de la Santé après avis du conseil de l’Ordre des médecins, pharmaciens et chirurgiens dentistes, aux personnes qui remplissent » des conditions bien définies.
Au titre de ces conditions, il est exigé d’être de nationalité mauritanienne, d’être titulaire du diplôme de doctorat en médecine, pharmacie ou chirurgie dentaire délivré par une faculté de médecine ou de pharmacie ou d’un titre ou diplôme reconnu équivalent conformément à la réglementation en vigueur. Il faut également être inscrit à l’Ordre des médecins, pharmaciens et chirurgiens dentistes et de n’avoir encouru aucune condamnation pour des faits contraires à l’honneur, à la dignité ou à la probité.
S’agissant de la première condition, une dérogation est cependant accordée aux ressortissants d’un Etat ayant conclu avec la Mauritanie un accord par lequel les médecins, pharmaciens et chirurgiens dentistes de cet Etat peuvent s’installer sur le territoire mauritanien pour y exercer leur profession.
Cette même opération est en cours dans la deuxième ville du pays, Nouadhibou (470 km au nord de Nouakchott), et sera étendue aux autres wilayas (régions), souligne le ministère dans son communiqué tout en laissant la porte ouverte aux structures fermées pour l’obtention de toute information de nature à régulariser leur situation.
Source: APA
(M)
« Il a été procédé à Nouakchott à la fermeture de toutes les structures, une soixantaine au total, qui ne sont pas conformes avec la réglementation », a indiqué le ministère dans un communiqué parvenu à APA dimanche.
Le texte précise que dans le cadre de la « politique d’assainissement du secteur de la santé, le département entreprend depuis plusieurs mois des campagnes à travers l’Inspection générale de la santé contre l’exercice illégal de la médecine, de la pharmacie et de l’art dentaire ».
Selon la réglementation en vigueur en Mauritanie, « l’exercice à titre privé de la profession de la médecine, de la pharmacie ou de la chirurgie dentaire, sous quelque forme que ce soit, est subordonné à l’obtention d’une autorisation délivrée à cet effet par le ministre de la Santé après avis du conseil de l’Ordre des médecins, pharmaciens et chirurgiens dentistes, aux personnes qui remplissent » des conditions bien définies.
Au titre de ces conditions, il est exigé d’être de nationalité mauritanienne, d’être titulaire du diplôme de doctorat en médecine, pharmacie ou chirurgie dentaire délivré par une faculté de médecine ou de pharmacie ou d’un titre ou diplôme reconnu équivalent conformément à la réglementation en vigueur. Il faut également être inscrit à l’Ordre des médecins, pharmaciens et chirurgiens dentistes et de n’avoir encouru aucune condamnation pour des faits contraires à l’honneur, à la dignité ou à la probité.
S’agissant de la première condition, une dérogation est cependant accordée aux ressortissants d’un Etat ayant conclu avec la Mauritanie un accord par lequel les médecins, pharmaciens et chirurgiens dentistes de cet Etat peuvent s’installer sur le territoire mauritanien pour y exercer leur profession.
Cette même opération est en cours dans la deuxième ville du pays, Nouadhibou (470 km au nord de Nouakchott), et sera étendue aux autres wilayas (régions), souligne le ministère dans son communiqué tout en laissant la porte ouverte aux structures fermées pour l’obtention de toute information de nature à régulariser leur situation.
Source: APA
(M)