Banjul - Neuf personnes qui avaient été condamnées à mort en Gambie, dont une femme, ont été fusillées dimanche, a annoncé le ministère gambien de l'Intérieur dans un communiqué lundi, en précisant qu'il s'agissait de détenus ayant épuisé tous les moyens légaux de recours.
Après leur jugement et leur condamnation à mort par les tribunaux gambiens de juridiction compétente et à la suite de l'épuisement de leurs voies de recours, le ministère de l'Intérieur souhaite informer le public que les condamnés suivants ont été fusillés par un peloton d'exécution le dimanche 26 août 2012, est-il écrit dans le communiqué qui publie une liste de neuf personnes, dont une femme et trois anciens militaires.
Cette annonce officielle intervient trois jours après l'annonce par Amnesty International de l'exécution de neuf condamnés à mort tard le jeudi 23 août, sur la foi d'informations crédibles, suivant une promesse faite le 20 août par le président gambien Yahya Jammeh.
L'AFP avait joint plusieurs sources en Gambie à ce sujet, mais aucune n'avait jusqu'alors confirmé ces exécutions.
Les informations d'Amnesty International avaient suscité l'émoi en Gambie et à l'étranger, et plusieurs pays et institutions, dont l'Union africaine (UA) et l'Union européenne (UE), avaient exhorté les autorités gambiennes à renoncer aux exécutions programmées.
La République de Gambie est un Etat souverain qui, comme d'autres Etats souverains dans lesquels la peine de mort est appliquée, a le droit de mettre en oeuvre ses lois nationales tel que stipulé par sa Constitution, ajoute le ministère de l'Intérieur.
Il prévient l'opinion publique que la règle de droit ne sera compromise pour aucune raison concernant la paix, la stabilité, la protection des vies, des biens et de la liberté.
Aucun acte de violence, aucune activité criminelle et d'indiscipline se traduisant par l'assassinat, de la trahison, de l'incendie criminel, du trafic de drogue et du trafic des être humains et toutes autres infractions passibles de peine de mort ne sera toléré. Par conséquent, toutes les peines prescrites par la loi seront appliquées à la lettre, y compris la peine de mort, prévient le ministère de l'Intérieur.
Source : AFP
via cridem
Après leur jugement et leur condamnation à mort par les tribunaux gambiens de juridiction compétente et à la suite de l'épuisement de leurs voies de recours, le ministère de l'Intérieur souhaite informer le public que les condamnés suivants ont été fusillés par un peloton d'exécution le dimanche 26 août 2012, est-il écrit dans le communiqué qui publie une liste de neuf personnes, dont une femme et trois anciens militaires.
Cette annonce officielle intervient trois jours après l'annonce par Amnesty International de l'exécution de neuf condamnés à mort tard le jeudi 23 août, sur la foi d'informations crédibles, suivant une promesse faite le 20 août par le président gambien Yahya Jammeh.
L'AFP avait joint plusieurs sources en Gambie à ce sujet, mais aucune n'avait jusqu'alors confirmé ces exécutions.
Les informations d'Amnesty International avaient suscité l'émoi en Gambie et à l'étranger, et plusieurs pays et institutions, dont l'Union africaine (UA) et l'Union européenne (UE), avaient exhorté les autorités gambiennes à renoncer aux exécutions programmées.
La République de Gambie est un Etat souverain qui, comme d'autres Etats souverains dans lesquels la peine de mort est appliquée, a le droit de mettre en oeuvre ses lois nationales tel que stipulé par sa Constitution, ajoute le ministère de l'Intérieur.
Il prévient l'opinion publique que la règle de droit ne sera compromise pour aucune raison concernant la paix, la stabilité, la protection des vies, des biens et de la liberté.
Aucun acte de violence, aucune activité criminelle et d'indiscipline se traduisant par l'assassinat, de la trahison, de l'incendie criminel, du trafic de drogue et du trafic des être humains et toutes autres infractions passibles de peine de mort ne sera toléré. Par conséquent, toutes les peines prescrites par la loi seront appliquées à la lettre, y compris la peine de mort, prévient le ministère de l'Intérieur.
Source : AFP
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