C'est dans un bazar de montages et de réchauffés d'accusations, tellement ridicules qu'ils ne font plus rire personne, que le tyran ould Taya tente aujourd'hui de se débarrasser de certains dirigeants de l'opposition.
Seulement voilà derrière ce flot d'absurdités et de scénarios creux, il y a le vide ou plus précisément un pouvoir qui, après avoir enfoncé notre pays, distribue aujourd'hui les rôles d'une vulgaire mise en scène sur fond de purge de l'armée et de tortures calquées sur celles d'Abou Graib.
On peut, peut-être, commencer par rappeler certaines vérités que le grand maître de cérémonie de tous les " complots ", le grabataire Ould Taya, a soigneusement évitées d'évoquer, à savoir les causes qui ont conduit notre pays aux portes du chaos.
Ces causes il faut les chercher dans ces 20 années de misère organisée, d'exclusion, de marginalisation et de division communautaire. 20 années au cours desquelles la redoutable machine à broyer de Taya-la-bétise a anéanti tous les espoirs et livré notre pays aux forces du pillage, de la spéculation et de l'injustice. 20 ans où le géniteur de l'arbitraire s'est appliqué à produire des générations entières de jeunes paumés et de diplômés chômeurs contraints de mendier pour respirer et survivre.
20 ans de dissolution de partis politiques, de censure systématique de la presse, de sabotage des syndicats, de coups montés contre le barreau et les associations de défense des droits de l'homme, de répression aveugle, de torture barbare, d' emprisonnements arbitraires et de procès inventés.
20 ans où toutes les formes de valeurs ou de repères ont été abolis et où nos imams et nos mosquées n'ont pas été épargnés. 20 ans d'une dictature qui a réduit notre pays en une simple dépendance de l'appareil policier et où la logique de la terreur a tout ravagé…
Voilà pourquoi tous ceux qui mettent la raison avant la désinformation et l'opportunisme ont depuis très longtemps établis les causes, désignés les responsabilités et identifiés les véritables auteurs de tous ces dérapages qui ont conduit notre pays aux bords de l'éclatement.
C'est pourquoi aussi ils appellent de tous leurs vœux le départ de ce tyran par des moyens de lutte fondés sur la contestation citoyenne et de la désobéissance civile non violente. Mais pour relever ce défi, ils ont besoin, plus que tout autre moment, de conviction et d'actions non violentes mobilisatrices capables de défaire, puis d'enrayer définitivement ce pouvoir crapuleux. Une lutte pour une cause juste, avec des moyens justes.
Le dictateur est aujourd'hui isolé, son pouvoir diminué, sa puissance réduite à un mirage lointain. Il tire ses dernières cartouches sous forme d'une vaste agitation menée tambours battants par des " cyber-collabos " qui servent, courtisent ou incarnent son système mafieux.
D'ailleurs ces " cyber-flics " ne sont motivés que par le profit qui, pour eux, appelle et justifie toutes les provocations et les bassesses qu'ils débitent à longueur de journée, toujours dans le sens du vent. Tout comme leurs " associations " domestiquées et leur " collectif " de la 25eme heure, nourris et logés par le dictateur, ils doivent se méfier de ces retours de manivelle qui peuvent faire trop mal quand on a choisi de trahir son peuple pour une gamelle.
On savait déjà que les tartuferies de ces épouvantails et leur révérence à l'écholalie n'étaient pas nouvelles, mais jamais on n'a imaginé l'acharnement avec lequel ils ont déversé autant de haine sur les associations de défense des Droits de l'Homme (AMDH, SOS ESCLAVES, OMDH, FIDH et autres associations et organisations militantes …), ces associations qui sont à l'avant-garde de la lutte pour les droits sociaux, politiques et économiques des mauritaniens, quand on sait que dans ce pays, la terreur et la compromission ont tout ravagé et pétrifié les consciences.
Et à moins qu'il n'y ait parmi ces illuminés des gens qui s'attardent sur la réalité et pour commencer comprennent déjà de quoi il s'agit, au lieu de projeter leur médiocrité sur ces symboles du militantisme, nous leur disons une bonne fois pour toute, que ni Slobodan Ould Taya, ni sa police politique, ni les tartuferies des mégas bouffons du Hizb Banava (Parti de la gamelle PRDS) ne pourront vaincre le rêve de liberté et de justice des mauritaniens.
Rêve qui est porté par ces hommes et ces femmes de l'AMDH, de SOS ESCLAVES, du Collectif des Avocats défenseurs infatigables de la justice, de l'OMDH, et de toutes les autres organisations militantes et démocrates et qui en sont l'incarnation vivante.
Quant à Maouya-la-bétise il semble avoir choisi le mois de novembre, mois où la Mauritanie est censée fêter son indépendance, pour liquider des innocents.
En 1990 28 négros africains ont été pendus et en 2004 plus d'une centaine de militaires mauritaniens attendent la jubilation sanguinaire de ce criminel patenté.
Nous l'avions déjà dit cet individu n'a aucun lien avec l'espèce humaine, c'est un danger qui doit être neutraliser le plus vite possible.
En attendant la délivrance de notre peuple, nous tenons ici à exprimer notre solidarité agissante à tous les détenus qui s'apprêtent à comparaître devant les tribunaux du criminel Ould Taya. Tout comme nous assurons leurs familles et leurs amis de toute notre sympathie.
Citation : " la puissance des méchants se nourrit de la lâcheté des bons. "
Jean Bosco
Mohamed Dogui
Le 21/11/2004
Source: avomm.com
Seulement voilà derrière ce flot d'absurdités et de scénarios creux, il y a le vide ou plus précisément un pouvoir qui, après avoir enfoncé notre pays, distribue aujourd'hui les rôles d'une vulgaire mise en scène sur fond de purge de l'armée et de tortures calquées sur celles d'Abou Graib.
On peut, peut-être, commencer par rappeler certaines vérités que le grand maître de cérémonie de tous les " complots ", le grabataire Ould Taya, a soigneusement évitées d'évoquer, à savoir les causes qui ont conduit notre pays aux portes du chaos.
Ces causes il faut les chercher dans ces 20 années de misère organisée, d'exclusion, de marginalisation et de division communautaire. 20 années au cours desquelles la redoutable machine à broyer de Taya-la-bétise a anéanti tous les espoirs et livré notre pays aux forces du pillage, de la spéculation et de l'injustice. 20 ans où le géniteur de l'arbitraire s'est appliqué à produire des générations entières de jeunes paumés et de diplômés chômeurs contraints de mendier pour respirer et survivre.
20 ans de dissolution de partis politiques, de censure systématique de la presse, de sabotage des syndicats, de coups montés contre le barreau et les associations de défense des droits de l'homme, de répression aveugle, de torture barbare, d' emprisonnements arbitraires et de procès inventés.
20 ans où toutes les formes de valeurs ou de repères ont été abolis et où nos imams et nos mosquées n'ont pas été épargnés. 20 ans d'une dictature qui a réduit notre pays en une simple dépendance de l'appareil policier et où la logique de la terreur a tout ravagé…
Voilà pourquoi tous ceux qui mettent la raison avant la désinformation et l'opportunisme ont depuis très longtemps établis les causes, désignés les responsabilités et identifiés les véritables auteurs de tous ces dérapages qui ont conduit notre pays aux bords de l'éclatement.
C'est pourquoi aussi ils appellent de tous leurs vœux le départ de ce tyran par des moyens de lutte fondés sur la contestation citoyenne et de la désobéissance civile non violente. Mais pour relever ce défi, ils ont besoin, plus que tout autre moment, de conviction et d'actions non violentes mobilisatrices capables de défaire, puis d'enrayer définitivement ce pouvoir crapuleux. Une lutte pour une cause juste, avec des moyens justes.
Le dictateur est aujourd'hui isolé, son pouvoir diminué, sa puissance réduite à un mirage lointain. Il tire ses dernières cartouches sous forme d'une vaste agitation menée tambours battants par des " cyber-collabos " qui servent, courtisent ou incarnent son système mafieux.
D'ailleurs ces " cyber-flics " ne sont motivés que par le profit qui, pour eux, appelle et justifie toutes les provocations et les bassesses qu'ils débitent à longueur de journée, toujours dans le sens du vent. Tout comme leurs " associations " domestiquées et leur " collectif " de la 25eme heure, nourris et logés par le dictateur, ils doivent se méfier de ces retours de manivelle qui peuvent faire trop mal quand on a choisi de trahir son peuple pour une gamelle.
On savait déjà que les tartuferies de ces épouvantails et leur révérence à l'écholalie n'étaient pas nouvelles, mais jamais on n'a imaginé l'acharnement avec lequel ils ont déversé autant de haine sur les associations de défense des Droits de l'Homme (AMDH, SOS ESCLAVES, OMDH, FIDH et autres associations et organisations militantes …), ces associations qui sont à l'avant-garde de la lutte pour les droits sociaux, politiques et économiques des mauritaniens, quand on sait que dans ce pays, la terreur et la compromission ont tout ravagé et pétrifié les consciences.
Et à moins qu'il n'y ait parmi ces illuminés des gens qui s'attardent sur la réalité et pour commencer comprennent déjà de quoi il s'agit, au lieu de projeter leur médiocrité sur ces symboles du militantisme, nous leur disons une bonne fois pour toute, que ni Slobodan Ould Taya, ni sa police politique, ni les tartuferies des mégas bouffons du Hizb Banava (Parti de la gamelle PRDS) ne pourront vaincre le rêve de liberté et de justice des mauritaniens.
Rêve qui est porté par ces hommes et ces femmes de l'AMDH, de SOS ESCLAVES, du Collectif des Avocats défenseurs infatigables de la justice, de l'OMDH, et de toutes les autres organisations militantes et démocrates et qui en sont l'incarnation vivante.
Quant à Maouya-la-bétise il semble avoir choisi le mois de novembre, mois où la Mauritanie est censée fêter son indépendance, pour liquider des innocents.
En 1990 28 négros africains ont été pendus et en 2004 plus d'une centaine de militaires mauritaniens attendent la jubilation sanguinaire de ce criminel patenté.
Nous l'avions déjà dit cet individu n'a aucun lien avec l'espèce humaine, c'est un danger qui doit être neutraliser le plus vite possible.
En attendant la délivrance de notre peuple, nous tenons ici à exprimer notre solidarité agissante à tous les détenus qui s'apprêtent à comparaître devant les tribunaux du criminel Ould Taya. Tout comme nous assurons leurs familles et leurs amis de toute notre sympathie.
Citation : " la puissance des méchants se nourrit de la lâcheté des bons. "
Jean Bosco
Mohamed Dogui
Le 21/11/2004
Source: avomm.com