Les observateurs reviennent ce début de semaine sur le débat relancé par le professeur Moustapha Ely de l’Université de Nouakchott sur le racisme d’Etat . Un système de gouvernance de Moktar Ould Dadah à Ould Ghazouani qui opprime les deux composantes nationales, les négro-africains et les harratins.
La réponse négative sur leur présence dans le système militaro-industriel, l’oligarchie militaro-industriel n’est plus à démonter après 64 ans d’indépendance. Et l’écart entre ces riches et les compsantes négro-africaine et harratine est tellement grand que rien n’arrête cette injustice basée sur le racisme d’Etat. Le système banco-financier et économico-industriel est entre les mains d’une seule communauté qui gouverne le pays depuis le premier coup d’Etat militaire en 1978.
Cette gouvernance militaire de commandement décisionnel et stratégique empêche toute prise de pouvoir par les civils et à fortiori ces deux composantes nationales pourtant qui représentent plus de la moitié de la population. Même aujourd’hui le système de la haute bureaucratie fait que les nominations pour les hauts postes sont monocolores dans l’administration. L
es négro-africains et les harratins sont absents dans les structures de pilotage des grands projets de développement et dans les décisions des grandes entreprises publiques et commerciales. Pour les observateurs ce système ressemble fort à un apartheid déguisé. À un mois de la présidentielle cette triste réalité interpelle l’opposition qui face à un parrainage à double vitesse.
Cherif Kane
Source : Kassataya
La réponse négative sur leur présence dans le système militaro-industriel, l’oligarchie militaro-industriel n’est plus à démonter après 64 ans d’indépendance. Et l’écart entre ces riches et les compsantes négro-africaine et harratine est tellement grand que rien n’arrête cette injustice basée sur le racisme d’Etat. Le système banco-financier et économico-industriel est entre les mains d’une seule communauté qui gouverne le pays depuis le premier coup d’Etat militaire en 1978.
Cette gouvernance militaire de commandement décisionnel et stratégique empêche toute prise de pouvoir par les civils et à fortiori ces deux composantes nationales pourtant qui représentent plus de la moitié de la population. Même aujourd’hui le système de la haute bureaucratie fait que les nominations pour les hauts postes sont monocolores dans l’administration. L
es négro-africains et les harratins sont absents dans les structures de pilotage des grands projets de développement et dans les décisions des grandes entreprises publiques et commerciales. Pour les observateurs ce système ressemble fort à un apartheid déguisé. À un mois de la présidentielle cette triste réalité interpelle l’opposition qui face à un parrainage à double vitesse.
Cherif Kane
Source : Kassataya