200 instituteurs absents de leur poste depuis la rentrée scolaire en octobre dernier. Un chiffre éloquent révélateur d’un malaise profond au sein de l’Éducation nationale.
Cette pléthore d’enseignants absents à leur poste est le fruit d’une mauvaise réforme du système éducatif de 2023 qui poussent beaucoup d’instituteurs à abandonner leur classe notamment pour les enseignants francisant qui n’ont plus leur place dans l’enseignement des matières scientifiques désormais en arabe.
L’autre partie émergée de l’iceberg ce sont les mauvaises conditions de vie et de travail. Les enseignants ne sont pas bien payés d’où des absences répétées et de multiples grèves qui sont mal entendues par le ministère de tutelle malgré de fortes mobilisations des syndicats représentatifs.
Face à cette situation des enseignants choisissent le privé ou prennent le chemin de l’immigration illégale aux Etats-Unis ou dans les pays voisins Mali et Sénégal. Les observateurs s’interrogent sur une mise en demeure après sept mois d’absence. Une anomalie administrative qui relance le laxisme du ministère de l’Education nationale et au-delà la complaisance exacerbée par des complicités dans la gestion des fonctionnaires.
Cherif Kane
Source : Kassataya
Cette pléthore d’enseignants absents à leur poste est le fruit d’une mauvaise réforme du système éducatif de 2023 qui poussent beaucoup d’instituteurs à abandonner leur classe notamment pour les enseignants francisant qui n’ont plus leur place dans l’enseignement des matières scientifiques désormais en arabe.
L’autre partie émergée de l’iceberg ce sont les mauvaises conditions de vie et de travail. Les enseignants ne sont pas bien payés d’où des absences répétées et de multiples grèves qui sont mal entendues par le ministère de tutelle malgré de fortes mobilisations des syndicats représentatifs.
Face à cette situation des enseignants choisissent le privé ou prennent le chemin de l’immigration illégale aux Etats-Unis ou dans les pays voisins Mali et Sénégal. Les observateurs s’interrogent sur une mise en demeure après sept mois d’absence. Une anomalie administrative qui relance le laxisme du ministère de l’Education nationale et au-delà la complaisance exacerbée par des complicités dans la gestion des fonctionnaires.
Cherif Kane
Source : Kassataya