Lexeiba sans électricité et Amourj sans eau. Deux calvaires récurrents des populations à la veille de la fin du mois béni du Ramadan. Cette mal gouvernance dans la gestion de l’électricité et de l’eau est une alerte à Ould Ghazouani à moins de cinq mois de la fin du quinquennat.
Cette médiocrité des services de base qui perdure à l’intérieur du pays est révélatrice de lenteur d’un changement qualitatif et quantitatif de l’électrification des zones rurales et de l’alimentation en eau potable. Deux priorités pourtant des engagements et priorités de Ould Ghazouani depuis 2019. Au lieu de dépenser encore de l’argent du contribuable à des déplacements fréquents à l’étranger, cet argent public peut servir à étancher la soif des populations soulager leurs misères et les sortir de l’obscurité surtout dans un contexte de fin de Ramadan où la chaleur est encore suffocante surtout pour les personnes âgées et les enfants.
Les milliards d’ouguiyas investis dans ces deux secteurs sont considérables mais avec peu de résultats qui résultent de la mauvaise gestion des deux sociétés d’Etat SOMELEC et SNDE qui gèrent l’électricité et l’eau. Lexeiba, Amourj, Bababé Bassikounou, Rosso, Sélibaby, Atar, Akjoujt ; La liste est longue. Même Nouakchott et Nouadhibou ne sont pas épargnées par les délestages et coupures d’eau. Ces pénuries récurrentes de l’énergie sont considérées comme une mal gouvernance du service public. Les inaugurations récentes de réseau d’alimentation en eau potable à l’intérieur du pays par le chef de l’Etat constituent une partie visible du parachèvement de certains travaux accélérés grâce à la tolérance zéro aux manquements des exécutants ; Et par ailleurs l’exemple du scandale retentissant du projet Aftout Echargui qui éclabousse le président du patronat dont sa société Bis T5 a porté plainte contre le président de l’ONG nationale Transparence Inclusive, illustre une des facettes de la corruption au sein des marchés publics..
Source : Kassataya
Cette médiocrité des services de base qui perdure à l’intérieur du pays est révélatrice de lenteur d’un changement qualitatif et quantitatif de l’électrification des zones rurales et de l’alimentation en eau potable. Deux priorités pourtant des engagements et priorités de Ould Ghazouani depuis 2019. Au lieu de dépenser encore de l’argent du contribuable à des déplacements fréquents à l’étranger, cet argent public peut servir à étancher la soif des populations soulager leurs misères et les sortir de l’obscurité surtout dans un contexte de fin de Ramadan où la chaleur est encore suffocante surtout pour les personnes âgées et les enfants.
Les milliards d’ouguiyas investis dans ces deux secteurs sont considérables mais avec peu de résultats qui résultent de la mauvaise gestion des deux sociétés d’Etat SOMELEC et SNDE qui gèrent l’électricité et l’eau. Lexeiba, Amourj, Bababé Bassikounou, Rosso, Sélibaby, Atar, Akjoujt ; La liste est longue. Même Nouakchott et Nouadhibou ne sont pas épargnées par les délestages et coupures d’eau. Ces pénuries récurrentes de l’énergie sont considérées comme une mal gouvernance du service public. Les inaugurations récentes de réseau d’alimentation en eau potable à l’intérieur du pays par le chef de l’Etat constituent une partie visible du parachèvement de certains travaux accélérés grâce à la tolérance zéro aux manquements des exécutants ; Et par ailleurs l’exemple du scandale retentissant du projet Aftout Echargui qui éclabousse le président du patronat dont sa société Bis T5 a porté plainte contre le président de l’ONG nationale Transparence Inclusive, illustre une des facettes de la corruption au sein des marchés publics..
Source : Kassataya