La grogne des enseignants contractuels à Nouakchott depuis 2019 exacerbée par la politique de sourde oreille de l’Education nationale aux revendications légitimes de cette catégorie malléable et corvéable à cause de leur statut précaire, est révélatrice d’un système éducatif à double vitesses.
Ce paradoxe de l’Education nationale souffrant de déficits permanents d’enseignants notamment dans les régions résulte des promesses et engagements de l’Education nationale non tenus aux enseignants contractuels. Vent debout depuis 2019 contre cette injustice par rapport à leurs collègues enseignants, ces derniers sont arrivés à bout de leurs forces. Sans salaires depuis des mois, leurs conditions de vie s’empirent et ils ne peuvent plus faire face aux dépenses quotidiennes.
Ils sont aujourd’hui 500 enseignants contractuels du primaire et 130 du secondaire à vivre ce calvaire. C’est également la fonction publique qui est pointée du doigt avec la création de ce statut précaire qui perdure. C’est une situation révélatrice d’un système éducatif à double vitesse. Les observateurs ne s’attendent pas à un changement dans un pays où la nouvelle réforme du système éducatif les enfonce davantage dans une situation précaire avec l’arabisation à outrance.
Source : Kassataya
Ce paradoxe de l’Education nationale souffrant de déficits permanents d’enseignants notamment dans les régions résulte des promesses et engagements de l’Education nationale non tenus aux enseignants contractuels. Vent debout depuis 2019 contre cette injustice par rapport à leurs collègues enseignants, ces derniers sont arrivés à bout de leurs forces. Sans salaires depuis des mois, leurs conditions de vie s’empirent et ils ne peuvent plus faire face aux dépenses quotidiennes.
Ils sont aujourd’hui 500 enseignants contractuels du primaire et 130 du secondaire à vivre ce calvaire. C’est également la fonction publique qui est pointée du doigt avec la création de ce statut précaire qui perdure. C’est une situation révélatrice d’un système éducatif à double vitesse. Les observateurs ne s’attendent pas à un changement dans un pays où la nouvelle réforme du système éducatif les enfonce davantage dans une situation précaire avec l’arabisation à outrance.
Source : Kassataya