L’ancien président Ould Aziz condamné à cinq de prison ferme en attendant que la justice statue sur son appel est entrain de faire le buzz sur les réseaux sociaux avec le dépôt de sa candidature au conseil constitutionnel à la présidentielle de juin prochain.
Ce dernier rebondissement après l’annonce qu’il n’avait pas le parrainage nécessaire suscite des polémiques sur les réseaux sociaux mais pour les observateurs surtout des craintes pour Ould Ghazouani si le dossier serait validé par le conseil constitutionnel. Les Mauritaniens ont l’impression que ce n’est pas encore fini entre les deux hommes qui avaient longtemps cheminé ensemble avant de se séparer après de profondes divergences sur la gouvernance du parti de la majorité présidentielle UPR devenu INSAV.
C’est une partie de revanche qui se profile ainsi à l’horizon sur cette apparence de candidature d’un prisonnier qui attend les suites de son appel sur sa condamnation à cinq ans de prison ferme pour enrichissement illicite et blanchiment d’argent alors que le code pénal prévoyait au moins plus de 10 ans. Pour les observateurs cette partie d’échec est une diversion destinée à l’opposition avec la partition de la cour d’appel autorisant son déplacement pour le dépôt de candidature. Ce coup médiatique de l’ancien président Ould Aziz est encore une de ses stratégies dont il a le secret pour faire parler de lui.
Source : Kassataya
Ce dernier rebondissement après l’annonce qu’il n’avait pas le parrainage nécessaire suscite des polémiques sur les réseaux sociaux mais pour les observateurs surtout des craintes pour Ould Ghazouani si le dossier serait validé par le conseil constitutionnel. Les Mauritaniens ont l’impression que ce n’est pas encore fini entre les deux hommes qui avaient longtemps cheminé ensemble avant de se séparer après de profondes divergences sur la gouvernance du parti de la majorité présidentielle UPR devenu INSAV.
C’est une partie de revanche qui se profile ainsi à l’horizon sur cette apparence de candidature d’un prisonnier qui attend les suites de son appel sur sa condamnation à cinq ans de prison ferme pour enrichissement illicite et blanchiment d’argent alors que le code pénal prévoyait au moins plus de 10 ans. Pour les observateurs cette partie d’échec est une diversion destinée à l’opposition avec la partition de la cour d’appel autorisant son déplacement pour le dépôt de candidature. Ce coup médiatique de l’ancien président Ould Aziz est encore une de ses stratégies dont il a le secret pour faire parler de lui.
Source : Kassataya