L'homme, un quinquagénaire, avait réduit en esclavage deux jeunes garçons de moins de 14 ans, qu'il utilisait pour des tâches pastorales, notamment la garde de troupeaux dans une zone située prés d'Aleg, à plus de 250 km de la capitale.
Ce cas d'esclavage a été mis à jour et dénoncé par les militants anti-esclavagistes mauritaniens actifs dans la province d'Aleg, avant d'être porté devant la justice à Nouakchott.
La cour a également prononcé deux de prison avec sursis, pour « complicité », aux autres membres de la famille du principal accusé.
Sur la question de l'esclavage en Mauritanie, les avis sont partagés. Alors que les organisations de droits humains dénoncent l'existence de cette pratique, la version officielle n'en reconnait que les séquelles circonscrites dans des zones dites « poches de pauvreté ».
L'Etat mauritanien a mis en oeuvre des projets visant les populations de ces zones pour éradiquer les séquelles du servage.
Source: afriqueinfos
Ce cas d'esclavage a été mis à jour et dénoncé par les militants anti-esclavagistes mauritaniens actifs dans la province d'Aleg, avant d'être porté devant la justice à Nouakchott.
La cour a également prononcé deux de prison avec sursis, pour « complicité », aux autres membres de la famille du principal accusé.
Sur la question de l'esclavage en Mauritanie, les avis sont partagés. Alors que les organisations de droits humains dénoncent l'existence de cette pratique, la version officielle n'en reconnait que les séquelles circonscrites dans des zones dites « poches de pauvreté ».
L'Etat mauritanien a mis en oeuvre des projets visant les populations de ces zones pour éradiquer les séquelles du servage.
Source: afriqueinfos