La Mauritanie a ratifié, le 3 octobre dernier, la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées et le Protocole facultatif se rapportant à la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
Elle devient le 36ème Etat partie à la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées, qui qualifie de crime contre l’humanité la pratique généralisée ou systématique de la disparition forcée, renforce les garanties de mise en détention et ouvre aux familles et aux proches un droit à connaître la vérité sur le sort des personnes qui en sont victimes.
La Mauritanie est également devenue le 64ème Etat partie au Protocole facultatif se rapportant à la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, qui permet au Sous-comité de prévention de la torture des Nations Unies d’effectuer des visites et demande à l’Etat partie d’établir un mécanisme national de prévention de la torture et des mauvais traitements.
La France appelle à la ratification universelle de ces deux textes.
France Diplomatie
Source : cridem
Elle devient le 36ème Etat partie à la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées, qui qualifie de crime contre l’humanité la pratique généralisée ou systématique de la disparition forcée, renforce les garanties de mise en détention et ouvre aux familles et aux proches un droit à connaître la vérité sur le sort des personnes qui en sont victimes.
La Mauritanie est également devenue le 64ème Etat partie au Protocole facultatif se rapportant à la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, qui permet au Sous-comité de prévention de la torture des Nations Unies d’effectuer des visites et demande à l’Etat partie d’établir un mécanisme national de prévention de la torture et des mauvais traitements.
La France appelle à la ratification universelle de ces deux textes.
France Diplomatie
Source : cridem