APA – Nouakchott (Mauritanie) La société qatarie du fer et de l’acier « Qatar Steel » a porté de 15% à 49,9% sa participation au capital du projet « El Aouj » d’exploitation des mines de fer dans la région nord de la Mauritanie, Tiris Zemmour, a appris APA mercredi de source sûre à Nouakchott.
L’annonce a été faite mardi par le directeur général de Qatar Steel, Cheikh Nasser Ben Hamed Al Thani, à la sortie d’une audience, à Nouakchott, avec le président mauritanien Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi.
Le projet « El Aouj » avait fait l’objet, en mars, d’une convention de financement d’un milliard et demie de dollars, signée par la société saoudienne pour les industries essentielles (SABIK) aux côtés de Qatar Steel et de la société australienne SPHERE.
Mais les Saoudiens se sont rétractés il y a quelques jours en annonçant le retrait de ce consortium international pour cause, disent ils, de « non rentabilité économique ».
Soulignant l’aspect dynamique et stratégique du projet « El Aouj » pour toutes les parties qui y sont impliquées, M. Hamed Al Thani a précisé que sa visite en Mauritanie représente « la consécration d’une longue étape de négociations sur le partenariat dans ce projet ».
Le directeur de la société SPHERE, Alexandre Burns, a également assisté à l’entretien du membre du conseil d’administration, directeur général de Qatar Steel avec le chef de l’Etat mauritanien.
La production prévue du gisement d’Al Aouj qui doit démarrer en 2010 est de 7 millions de tonnes de fer par an, pour un coût d’investissement de plus d’un milliard de dollars.
Le projet qui devra créer 2000 emplois et 3000 opportunités d’emploi indirect prévoit la construction d’une cité minière à F’Dérick (700 Km au nord de Nouakchott), l’acquisition d’équipements d’extraction du minerai, l’installation d’une usine de traitement, la mise en place d’un centre de formation et la construction d’une centrale électrique d’une capacité de 140 Mégawatts.
source : APA
L’annonce a été faite mardi par le directeur général de Qatar Steel, Cheikh Nasser Ben Hamed Al Thani, à la sortie d’une audience, à Nouakchott, avec le président mauritanien Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi.
Le projet « El Aouj » avait fait l’objet, en mars, d’une convention de financement d’un milliard et demie de dollars, signée par la société saoudienne pour les industries essentielles (SABIK) aux côtés de Qatar Steel et de la société australienne SPHERE.
Mais les Saoudiens se sont rétractés il y a quelques jours en annonçant le retrait de ce consortium international pour cause, disent ils, de « non rentabilité économique ».
Soulignant l’aspect dynamique et stratégique du projet « El Aouj » pour toutes les parties qui y sont impliquées, M. Hamed Al Thani a précisé que sa visite en Mauritanie représente « la consécration d’une longue étape de négociations sur le partenariat dans ce projet ».
Le directeur de la société SPHERE, Alexandre Burns, a également assisté à l’entretien du membre du conseil d’administration, directeur général de Qatar Steel avec le chef de l’Etat mauritanien.
La production prévue du gisement d’Al Aouj qui doit démarrer en 2010 est de 7 millions de tonnes de fer par an, pour un coût d’investissement de plus d’un milliard de dollars.
Le projet qui devra créer 2000 emplois et 3000 opportunités d’emploi indirect prévoit la construction d’une cité minière à F’Dérick (700 Km au nord de Nouakchott), l’acquisition d’équipements d’extraction du minerai, l’installation d’une usine de traitement, la mise en place d’un centre de formation et la construction d’une centrale électrique d’une capacité de 140 Mégawatts.
source : APA