L’Indice de perception de la corruption (CPI) reste élevé en Mauritanie (2,6), ce pays occupant la 123ème place mondiale sur un total de 179, selon le dernier rapport de Transparancy International.
Cette position est un recul en comparaison au rapport précédent de l’année 2006, avec un indice de 3,2 et la 84ème place mondiale.
Sur la base des révélations du rapport de l’organisation internationale de lutte contre la corruption, le quotidien privé "l’Authentique" du jeudi tire par ailleurs la sonnette d’alarme, sous le titre "La corruption gangrène la Mauritanie".
Le même journal assimile les conclusions du rapport "à un nouveau revers" pour le gouvernement de l’ancien Premier ministre, Zeine Ould Zeidane, limogé début avril 2008 et recommande la mise en oeuvre "urgente de réformes indispensables au renforcement de l’intégrité et de la transparence dans la gestion de la vie publique".
Dès son entrée en fonction en avril 2007, le chef de l'Etat Sidi Ould Cheikh Abdalahi a proclamé sa volonté de lutter contre la corruption.
Plusieurs membres du Parlement, généralement issus de l’opposition, ont également formé une structure de lutte contre le phénomène.
Nouakchott - 19/06/2008
_________________________
Source: Pana via afriquenligne
(M) avomm
Cette position est un recul en comparaison au rapport précédent de l’année 2006, avec un indice de 3,2 et la 84ème place mondiale.
Sur la base des révélations du rapport de l’organisation internationale de lutte contre la corruption, le quotidien privé "l’Authentique" du jeudi tire par ailleurs la sonnette d’alarme, sous le titre "La corruption gangrène la Mauritanie".
Le même journal assimile les conclusions du rapport "à un nouveau revers" pour le gouvernement de l’ancien Premier ministre, Zeine Ould Zeidane, limogé début avril 2008 et recommande la mise en oeuvre "urgente de réformes indispensables au renforcement de l’intégrité et de la transparence dans la gestion de la vie publique".
Dès son entrée en fonction en avril 2007, le chef de l'Etat Sidi Ould Cheikh Abdalahi a proclamé sa volonté de lutter contre la corruption.
Plusieurs membres du Parlement, généralement issus de l’opposition, ont également formé une structure de lutte contre le phénomène.
Nouakchott - 19/06/2008
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Source: Pana via afriquenligne
(M) avomm