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Le bureau exécutif de l'AVOMM

"L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu'on a fait de nous." Jean-Paul Sartre

"L'Association d'aides aux veuves et aux orphelins de mauritanie (AVOMM) qui nous rassemble, a été créée le 25/12/95 à PARIS par d'ex-militaires mauritaniens ayant fui la terreur, l'oppression, la barbarie du colonel Mawiya o/ sid'ahmed Taya ......
Ces rescapés des geôles de ould Taya, et de l'arbitraire, décidèrent, pour ne jamais oublier ce qui leur est arrivé, pour garder aussi la mémoire des centaines de martyrs, de venir en aide aux veuves, aux orphelins mais aussi d'engager le combat contre l'impunité décrétée par le pouvoir de Mauritanie."
E-mail : avommavomm@yahoo.fr

Bureau exécutif

*Ousmane SARR, président
*Demba Niang, secrétaire général
*Secrétaire général Adjt; Demba Fall
*Alousseyni SY, Chargé des relations extérieures
*Mme Rougui Dia, trésorière
*Chargé de l’organisation Mariame Diop
*adjoint Ngolo Diarra
*Mme Mireille Hamelin, chargée de la communication
*Chargé de mission Bathily Amadou Birama
Conseillers:
*Kane Harouna
*Hamdou Rabby SY










AVOMM

Mali: les troupes françaises prennent le contrôle de l'aéroport de Gao


Mali: les troupes françaises prennent le contrôle de l'aéroport de Gao
Les forces françaises ont pris le contrôle de l'aéroport et d'un pont à Gao, une ville dans le nord-est du Mali sous le joug des islamistes, a annoncé samedi le ministre de la Défense de la France.

Cette avancée significative sur le territoire tenu par l'organisation affiliée à Al-Qaïda survient deux semaines après que la France eut amorcé une offensive militaire visant à chasser les extrémistes du pouvoir dans le nord du Mali.

Les islamistes avaient mis la main sur Gao et deux autres capitales provinciales, Tombouctou et Kidal, en avril dernier à la faveur du chaos ayant suivi un coup d'État perpétré à Bamako, la capitale malienne, dans le sud du pays.

Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a indiqué dans un communiqué publié samedi que les troupes françaises et maliennes avaient détruit les moyens de transport et les sites logistiques des combattants du djihad.

Selon un porte-parole de l'armée française, le colonel Thierry Burkhard, l'intervention aérienne et terrestre à Gao s'est déroulée durant la nuit. Il a ajouté que les extrémistes avaient ouvert le feu le matin et continué à tirer sporadiquement sur les forces françaises et maliennes au cours de l'après-midi.

M. Burkhard a affirmé qu'il n'avait pour le moment aucune information sur le nombre de victimes.

Depuis le début de l'intervention dirigée par la France, les islamistes ont abandonné trois importantes villes du centre du Mali, soit Diabali, Konna et Douentza.

Environ 2500 soldats français se trouvent actuellement au Mali et la France a affirmé qu'ils resteraient dans son ancienne colonie aussi longtemps qu'il le faudrait. Quelque 1750 militaires provenant des pays voisins, dont le Togo, le Nigeria et le Sénégal, sont aussi sur place.

Par ailleurs, des résidants de Konna ont raconté samedi aux journalistes les conséquences des frappes aériennes effectuées par la France pour déloger les extrémistes de la ville.

C'était la première fois que l'armée malienne permettait aux reporters internationaux d'entrer à Konna depuis l'intervention militaire qui s'est déroulée il y a deux semaines sous le commandement des forces françaises.

Souleymane Maiga a déclaré à l'Associated Press que trois femmes et un enfant étaient décédés le 11 janvier lors de la destruction de leur cour arrière par un bombardement. Les enfants de l'une des femmes ont survécu à l'attaque.

Le maire de Konna a confirmé qu'au moins 11 civils étaient morts durant l'opération.

L'armée française a lancé l'offensive un jour après que les islamistes eurent envahi Konna. La ville est maintenant sous le contrôle des troupes maliennes.

***

L'Afrique de l'Ouest veut déployer 6 000 de ses soldats au Mali

L'Afrique de l'Ouest a l'intention de déployer près de 6 000 hommes dans le cadre de sa force d'intervention au Mali (Misma), auquel s'ajouteront les 2 000 militaires promis par le Tchad, a annoncé samedi le chef d'état-major ivoirien, le général Soumaïla Bakayoko.

Lors d'une réunion d'urgence à Abidjan, les chefs d'état-major de la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) ont décidé de «relever» le volume de leurs effectifs promis au Mali, pour qu'ils atteignent «5 700 hommes», a déclaré à la clôture le général Bakayoko, dont le pays préside actuellement la Cédéao.

Jusque-là, l'Afrique de l'Ouest visait le déploiement d'environ 4 000 militaires.

Le Tchad s'est engagé à fournir de son côté 2 000 soldats, qui ne font pas partie de la Misma mais agissent en coordination avec elle.

Selon une source proche de l'état-major ivoirien, N'Djamena pourrait au final déployer autour de «2 250 hommes» pour l'opération au Mali, où les troupes africaines doivent prendre le relais des armées française et malienne sur le terrain face aux groupes islamistes du nord du pays.

Le Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l'Union africaine (UA) a décidé vendredi à Addis Abeba d'augmenter les effectifs de la force africaine au Mali - sans fournir d'objectif chiffré - et a pressé le Conseil de sécurité de l'ONU de fournir une aide logistique «temporaire» d'urgence pour accélérer son déploiement.

Selon la Cédéao, seulement un millier de troupes africaines sont actuellement présentes au Mali. Le déploiement de la Misma est ralenti par de sérieux problèmes de financement et de logistique pour les pays contributeurs.

Source: AFP
Samedi 26 Janvier 2013 - 23:43
Samedi 26 Janvier 2013 - 23:46
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