La Haute Autorité de la Presse et de l'Audiovisuelle (HAPA) a rendu sa copie ce dimanche, 21 novembre. Elle n'a pas eu une main légère, c'est le moins qu'on puisse dire puisque sur 23 dossiers déposés, le gendarme des médias n'a retenu que 5 radios et seulement deux TV. Et au vu des résultats, aucun négro mauritanien n'a bénéficié d'une autorisation.
Pourtant affirment certains, le député Kane Hamidou Baba, connu pour avoir investi dans la presse, depuis les premiers pas de notre démocratie octroyée en 1991, avait concocté un dossier « convaincant», mais à l'arrivée, il doit attendre la deuxième vague pour postuler. Tout comme Kassataya, la radio qui émet sur le web depuis quelques années. Un fait que les négro-mauritaniens ont du mal à comprendre dans la mesure où le député a été l'un des premiers soutiens de Mohamed Ould Abdel Aziz depuis un certain 6 août 2008.
D'ici là, les heureux bénéficiaires auront démarré. Espérons tout simplement qu'ils ne réserveront pas à la composante négro-mauritanienne la portion congrue dans leurs programmes, comme le fait si bien Radio Mauritanie et la TVM. Des médias publics qui ne manqueront certainement pas de souffrir de la concurrence des nouvelles stations. S'adapter ou disparaître, ce qui leur reste. La libération des ondes est un évènement important pour une jeune démocratie ; on se rappelle du rôle combien important ont joué les radios privés dans l'avènement d'une alternance au Sénégal en 2000. Au Mali et au Burkina, l'ouverture des médias a fortement contribué au développement contribué au développement à la base. Les nôtres sauront-ils s'acquitter de leur mission?
Source: le calame
Pourtant affirment certains, le député Kane Hamidou Baba, connu pour avoir investi dans la presse, depuis les premiers pas de notre démocratie octroyée en 1991, avait concocté un dossier « convaincant», mais à l'arrivée, il doit attendre la deuxième vague pour postuler. Tout comme Kassataya, la radio qui émet sur le web depuis quelques années. Un fait que les négro-mauritaniens ont du mal à comprendre dans la mesure où le député a été l'un des premiers soutiens de Mohamed Ould Abdel Aziz depuis un certain 6 août 2008.
D'ici là, les heureux bénéficiaires auront démarré. Espérons tout simplement qu'ils ne réserveront pas à la composante négro-mauritanienne la portion congrue dans leurs programmes, comme le fait si bien Radio Mauritanie et la TVM. Des médias publics qui ne manqueront certainement pas de souffrir de la concurrence des nouvelles stations. S'adapter ou disparaître, ce qui leur reste. La libération des ondes est un évènement important pour une jeune démocratie ; on se rappelle du rôle combien important ont joué les radios privés dans l'avènement d'une alternance au Sénégal en 2000. Au Mali et au Burkina, l'ouverture des médias a fortement contribué au développement contribué au développement à la base. Les nôtres sauront-ils s'acquitter de leur mission?
Source: le calame