Nouakchott, Mauritanie (PANA) - La Coordination des victimes de répression (COVIRE) de 1986 à 1991 en Mauritanie exprime sa satisfaction devant les dispositions du président Sidi Mohamed Ould Cheikh à discuter dans un climat "convivial et serein", rapporte un communiqué de presse de l'association publié vendredi.
Le communiqué souligne "la nécessité de reconnaître les faits de violation des droits humains par les agents du pouvoir de l'époque", le souci de l'implication en amont et en aval des victimes, le règlement de la question dans un délai acceptable.
La Mauritanie, rappelle-t-on, a vécu un cycle de violence à caractère ethnique entre 1986 et 1991 avec des déportations, des exécutions extra-judiciaires de militaires et civils noirs.
La période 1989-1991 étant la plus trouble. Le nombre des victimes n'a jamais été établi en dehors du cas des 502 militaires généralement évoqués.
Le communiqué souligne "la nécessité de reconnaître les faits de violation des droits humains par les agents du pouvoir de l'époque", le souci de l'implication en amont et en aval des victimes, le règlement de la question dans un délai acceptable.
La Mauritanie, rappelle-t-on, a vécu un cycle de violence à caractère ethnique entre 1986 et 1991 avec des déportations, des exécutions extra-judiciaires de militaires et civils noirs.
La période 1989-1991 étant la plus trouble. Le nombre des victimes n'a jamais été établi en dehors du cas des 502 militaires généralement évoqués.