L’Afrique terre mère et de l’avenir. Une terre où tout reste à exploiter, à condition de bien le faire. Et si retourner vivre en Afrique relevait plus de l’opportunité plutôt qu’une aventure ? Vous avez mille et une raisons de le faire. La fuite des cerveaux d’Afrique vers d’autres destinations, notamment l’Europe ou l’Amérique est souvent pointée du doigt comme cause du recul politique et économique du continent. Aujourd’hui, la diaspora africaine est la plus importante dans le monde. Une diaspora composée d’hommes d’affaires, experts en tous genres, étudiants, sportifs et hommes influents. Leur retour en Afrique est attendu comme le vrai déclenchement de la croissance économique et du développement du continent-mère. Prendre une telle décision ne relève pas de la facilité pour nombreuses personnes originaires du continent, pourtant, il y a de quoi y songer. Voici de bonnes raisons qui font que l’Afrique reste la terre du futur, et surtout d’accueil.
Une bonne qualité de vie
L’indice HPI (Hapy Planet Index) mesure le niveau de bonheur d’un pays. Dans ce classement, on se rend vite compte que les pays les plus heureux ne sont pas forcément les plus développés. Un paradoxe qui joue en faveur de l’Afrique. Ces mesures publiées par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), prend en compte l’espérance de vie, l’environnement, mais aussi des critères objectifs d’éducation, hissent certaines villes africaines plus haut que des capitales occidentales. Bien que cela soit étonnant, Madagascar serait plus heureuse que la France, malgré la pauvreté et une crise politique qui secoue le pays depuis 2009. Ce cas illustre bien la particularité de nombreuses villes d’Afrique. Et si on enlevait les troubles politiques et autres, le baromètre ne ferait qu’augmenter à une vitesse phénoménale.
La qualité de vie est en nette progression, avec un taux prévisionnel de croissance de 5,5% en 2013. Dans le classement des villes à qualité de vie évidente, on trouve plusieurs grandes villes et capitales africaines. Parmi les villes africaines où il fait bon vire, on trouve Port-Louis (Île Maurice), Cape Town et Johannesburg (Afrique du Sud), Victoria (Seychelles), Tunis (Tunisie), Rabat et Casablanca (Maroc), Windhoek (Namibie), Gaborone (Botswana), Lusaka (Zambie), le Caire (Egypte), Dakar (Sénégal) et Libreville (Gabon). D’autres villes méritent aussi d’être citées.
La politique en progression
Pendant longtemps, la corruption et les détournements de fonds publics avaient été érigés en mode de gestion en Afrique, la tendance affiche un meilleur profil. On assiste aujourd’hui à des dénonciations jamais connues auparavant. Regardez l’ex super ministre sénégalais, Karim Wade, aujourd’hui inculpé pour enrichissement illicite pendant la présidence de son redoutable et célèbre père, Abdoulaye Wade. Il semblerait que plusieurs Présidents africains ont rompu avec le cordon ombilical et les pratiques ancestrales, qui menaient la politique à tort et à travers. Macky Sall (Président sénégalais) a donné à la Cour de justice le droit d’enquêter pour mettre la lumière sur cette affaire. Aux Comores, il y a quelques mois, un ministre a été contraint à la démission et de comparaître en justice pour des faits similaires. Du jamais vu dans cet archipel de l’océan indien. En Côte d’Ivoire, c’est l’ « affaire Bolloré » dans la session du 2ème terminal à conteneurs qui a secoué l’exécutif. Le ministre du Commerce, Jean-Louis Billon, avait ouvert les hostilités en contestant l’attribution en mars dernier du contrat de plus de 400 millions d’euros au groupe français Bolloré Africa Logistics. Le ministre avait alors voulu se servir de sa qualité de membre du gouvernement, pour imposer une décision qui ne serait pas conforme à une démocratie. Une affaire qui a suscité les questions sur la bonne gouvernance, et qui nous mène à conclure sur une bonne note en matière de politique et de justice. Aujourd’hui, c’est devant le tribunal des affaires de l’UEMOA (Union monétaire Ouest africain) qu’on connaîtra l’épilogue de cet épisode.
Croissance économique
Avec une croissance stable de 4,9% depuis 2009, l’Afrique est en progression. Les finances internationales ; Banque mondiale et FMI, prévoient même une hausse de taux de 5 à 5,5%. Alors qu’à l’inverse, de nombreux pays développés sont pris dans une spirale descendante ; chômage élevé, une faiblesse de la demande globale exacerbée de l’austérité budgétaire, un endettement public élevé et un système financier toujours fragile. La croissance économique en Afrique est due notamment à la hausse de l’exploitation des ressources pétrolières, minières et gazières et à un assainissement de la gestion économique. Ce qui laisse prévoir une croissance à deux chiffres d’ici à l’horizon 2020.
Hausse du pouvoir d’achat
La hausse de la classe moyenne, qui a triplé en trente ans pour représenter le tiers de la population (soit un peu plus de 350 millions de personnes), d’après des sources de la Banque africaine de développement (BAD), concorde avec la hausse du pouvoir d’achat des Africains. D’autres analystes du McKinsey Global Institute estiment que les dépenses générales en consommation à travers le continent vont dépasser la barre des 1 000 milliards de dollars pour cette année 2013. Une aubaine pour les investisseurs.
Absence de concurrence
L’Afrique est un continent à fort potentiel de croissance, mais sans concurrence. Ce qui laisse de la marge aux probables investisseurs. On dit que les Chinois auraient tout compris en renforçant de plus en plus leur présence sur le continent, il n’est pas trop tard pour que la diaspora fasse de même.
D’autres éléments viennent renforcer ces critères qui font de l’Afrique un continent riche et bon à vivre. Par les Infrastructures économiques ; routes, aéroports, bâtiments officiels, hôpitaux, aujourd’hui, nombreux dirigeants africains ont enfin compris l’importance à accorder aux infrastructures. Une clef primordiale pour passer d’un pays pauvre à un pays émergent. On assiste aujourd’hui au développement de l’énergie, les télécommunications en Guinée Equatoriale, au Tchad, au Congo, au Cameroun, entre autres. L’agriculture constitue aussi une référence de la croissance. Et l’Afrique tient une majeure partie de cette production. « Le continent abrite actuellement 60% du total mondial des terres arables et non cultivées », selon McKinsey Global Institute. Le Happy Planet Index, place plusieurs pays africains dans une bonne perspective de l’empreinte écologique.
Avec des secteurs d’activités insolites et basiques, le continent offre l’authenticité et la beauté de ses paysages. Des produits certes en manque d’une touche technologique, mais simples, efficaces et peu chers. Ajouter à cela, une facilité pour les visiteurs et la diaspora de rencontrer les autorités, l’Afrique vous offre des bonnes raisons d’aller faire un tour, et invite sa diaspora entre autres, à saisir leur part d’opportunité sur le continent.
Source: afrik.com
Une bonne qualité de vie
L’indice HPI (Hapy Planet Index) mesure le niveau de bonheur d’un pays. Dans ce classement, on se rend vite compte que les pays les plus heureux ne sont pas forcément les plus développés. Un paradoxe qui joue en faveur de l’Afrique. Ces mesures publiées par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), prend en compte l’espérance de vie, l’environnement, mais aussi des critères objectifs d’éducation, hissent certaines villes africaines plus haut que des capitales occidentales. Bien que cela soit étonnant, Madagascar serait plus heureuse que la France, malgré la pauvreté et une crise politique qui secoue le pays depuis 2009. Ce cas illustre bien la particularité de nombreuses villes d’Afrique. Et si on enlevait les troubles politiques et autres, le baromètre ne ferait qu’augmenter à une vitesse phénoménale.
La qualité de vie est en nette progression, avec un taux prévisionnel de croissance de 5,5% en 2013. Dans le classement des villes à qualité de vie évidente, on trouve plusieurs grandes villes et capitales africaines. Parmi les villes africaines où il fait bon vire, on trouve Port-Louis (Île Maurice), Cape Town et Johannesburg (Afrique du Sud), Victoria (Seychelles), Tunis (Tunisie), Rabat et Casablanca (Maroc), Windhoek (Namibie), Gaborone (Botswana), Lusaka (Zambie), le Caire (Egypte), Dakar (Sénégal) et Libreville (Gabon). D’autres villes méritent aussi d’être citées.
La politique en progression
Pendant longtemps, la corruption et les détournements de fonds publics avaient été érigés en mode de gestion en Afrique, la tendance affiche un meilleur profil. On assiste aujourd’hui à des dénonciations jamais connues auparavant. Regardez l’ex super ministre sénégalais, Karim Wade, aujourd’hui inculpé pour enrichissement illicite pendant la présidence de son redoutable et célèbre père, Abdoulaye Wade. Il semblerait que plusieurs Présidents africains ont rompu avec le cordon ombilical et les pratiques ancestrales, qui menaient la politique à tort et à travers. Macky Sall (Président sénégalais) a donné à la Cour de justice le droit d’enquêter pour mettre la lumière sur cette affaire. Aux Comores, il y a quelques mois, un ministre a été contraint à la démission et de comparaître en justice pour des faits similaires. Du jamais vu dans cet archipel de l’océan indien. En Côte d’Ivoire, c’est l’ « affaire Bolloré » dans la session du 2ème terminal à conteneurs qui a secoué l’exécutif. Le ministre du Commerce, Jean-Louis Billon, avait ouvert les hostilités en contestant l’attribution en mars dernier du contrat de plus de 400 millions d’euros au groupe français Bolloré Africa Logistics. Le ministre avait alors voulu se servir de sa qualité de membre du gouvernement, pour imposer une décision qui ne serait pas conforme à une démocratie. Une affaire qui a suscité les questions sur la bonne gouvernance, et qui nous mène à conclure sur une bonne note en matière de politique et de justice. Aujourd’hui, c’est devant le tribunal des affaires de l’UEMOA (Union monétaire Ouest africain) qu’on connaîtra l’épilogue de cet épisode.
Croissance économique
Avec une croissance stable de 4,9% depuis 2009, l’Afrique est en progression. Les finances internationales ; Banque mondiale et FMI, prévoient même une hausse de taux de 5 à 5,5%. Alors qu’à l’inverse, de nombreux pays développés sont pris dans une spirale descendante ; chômage élevé, une faiblesse de la demande globale exacerbée de l’austérité budgétaire, un endettement public élevé et un système financier toujours fragile. La croissance économique en Afrique est due notamment à la hausse de l’exploitation des ressources pétrolières, minières et gazières et à un assainissement de la gestion économique. Ce qui laisse prévoir une croissance à deux chiffres d’ici à l’horizon 2020.
Hausse du pouvoir d’achat
La hausse de la classe moyenne, qui a triplé en trente ans pour représenter le tiers de la population (soit un peu plus de 350 millions de personnes), d’après des sources de la Banque africaine de développement (BAD), concorde avec la hausse du pouvoir d’achat des Africains. D’autres analystes du McKinsey Global Institute estiment que les dépenses générales en consommation à travers le continent vont dépasser la barre des 1 000 milliards de dollars pour cette année 2013. Une aubaine pour les investisseurs.
Absence de concurrence
L’Afrique est un continent à fort potentiel de croissance, mais sans concurrence. Ce qui laisse de la marge aux probables investisseurs. On dit que les Chinois auraient tout compris en renforçant de plus en plus leur présence sur le continent, il n’est pas trop tard pour que la diaspora fasse de même.
D’autres éléments viennent renforcer ces critères qui font de l’Afrique un continent riche et bon à vivre. Par les Infrastructures économiques ; routes, aéroports, bâtiments officiels, hôpitaux, aujourd’hui, nombreux dirigeants africains ont enfin compris l’importance à accorder aux infrastructures. Une clef primordiale pour passer d’un pays pauvre à un pays émergent. On assiste aujourd’hui au développement de l’énergie, les télécommunications en Guinée Equatoriale, au Tchad, au Congo, au Cameroun, entre autres. L’agriculture constitue aussi une référence de la croissance. Et l’Afrique tient une majeure partie de cette production. « Le continent abrite actuellement 60% du total mondial des terres arables et non cultivées », selon McKinsey Global Institute. Le Happy Planet Index, place plusieurs pays africains dans une bonne perspective de l’empreinte écologique.
Avec des secteurs d’activités insolites et basiques, le continent offre l’authenticité et la beauté de ses paysages. Des produits certes en manque d’une touche technologique, mais simples, efficaces et peu chers. Ajouter à cela, une facilité pour les visiteurs et la diaspora de rencontrer les autorités, l’Afrique vous offre des bonnes raisons d’aller faire un tour, et invite sa diaspora entre autres, à saisir leur part d’opportunité sur le continent.
Source: afrik.com