L'interview de M. Ould Abdel Aziz accordée au journal Le Monde a donné une nouvelle image d’une certaine « presse » mauritanienne obnubilée par les « statistiques ».
L’interview en question n'est disponible en ligne que pour les seuls abonnés du journal Le Monde. Kassataya l'a mise à la disposition des lecteurs en citant la source. Nous remercions d’ailleurs M. Sy Boubacar du site www.ajd-mr.org qui témoigne d’un esprit de collaboration exemplaire et qui, sur ce coup, nous a mis sur la piste.
Certains sites prenant des libertés avec les règles de l’art l'ont reprise sans citer le média de transit (en l’occurrence kassataya) y compris en reprenant un titre qui est de kassataya. Nous leur rappelons qu’il n’y a aucune honte à citer sa source et ça n’écorche pas la langue. Nous serions curieux de savoir où ils ont trouvé un article avec un titre pareil parce que même le monde ne l’a pas titré ainsi. C’est pour contextualiser que la rédaction de kassataya a rajouté « Ould Abdel Aziz au journal Le Monde ».
Ce n'est pas la première fois que nous constatons ce genre de pratiques. Depuis 2009, Taqadoumy version française avait été également victime des mêmes pratiques qui n’ont hélas pas cessé depuis.
Nous nous efforçons de partager avec vous nos lectures et tout ce que nous trouvons intéressant sur le net. Nous mettons un point d'honneur non seulement à citer nos sources mais à donner le lien de renvoie pour que vous puissiez y aller directement si vous le souhaitez. Bien sûr, nous n'en faisons pas assez: la règle de la netiquette voudrait que nous ne mettions qu'une partie du texte et la suite à lire sur le site d'origine. Mais dans la jungle du net mauritanien, nous ne désespérons pas de voir les pratiques et l'éthique faire des progrès.
Mais en la matière, la palme revient "au journal" multirécidiviste Biladi. Si nous en parlons aujourd'hui publiquement c'est que nous avons alerté son directeur de publication à plusieurs reprises sans succès. Nous découvrons avec surprise nos textes publiés sur ce site et dans leur version papier sans aucune mention ni de kassataya, ni de l’auteur : disparus, volatilisés ; comme si Biladi en était la source. Ce n'est même plus du plagiat. C'est du braconnage. D'autres ne vont pas jusqu'à ce niveau: quelques uns se sont permis de modifier nos textes (différent d’une modification de titre) en les citant quand même comme productions de kassataya (c’est ça de pris). D'autres reprennent nos articles (souvent des interviews) en se contentant de dire: "dans une interview" (sans dire sur quel site elle a été publiée), ou "selon un site internet" (sans plus de précision). Au nom de la transparence et de la relation de confiance établie avec le lecteur, un site n’a pas le droit de prendre ces libertés avec la déontologie. Même pour la course à on-ne-sait-trop-quoi d’ailleurs ! Le peshmerguisme a plusieurs facettes. Il y a vraiment de la marge. Avis donc aux lecteurs : méfiez-vous des contrefacteurs !
Kassataya
Source: KASSATAYA
L’interview en question n'est disponible en ligne que pour les seuls abonnés du journal Le Monde. Kassataya l'a mise à la disposition des lecteurs en citant la source. Nous remercions d’ailleurs M. Sy Boubacar du site www.ajd-mr.org qui témoigne d’un esprit de collaboration exemplaire et qui, sur ce coup, nous a mis sur la piste.
Certains sites prenant des libertés avec les règles de l’art l'ont reprise sans citer le média de transit (en l’occurrence kassataya) y compris en reprenant un titre qui est de kassataya. Nous leur rappelons qu’il n’y a aucune honte à citer sa source et ça n’écorche pas la langue. Nous serions curieux de savoir où ils ont trouvé un article avec un titre pareil parce que même le monde ne l’a pas titré ainsi. C’est pour contextualiser que la rédaction de kassataya a rajouté « Ould Abdel Aziz au journal Le Monde ».
Ce n'est pas la première fois que nous constatons ce genre de pratiques. Depuis 2009, Taqadoumy version française avait été également victime des mêmes pratiques qui n’ont hélas pas cessé depuis.
Nous nous efforçons de partager avec vous nos lectures et tout ce que nous trouvons intéressant sur le net. Nous mettons un point d'honneur non seulement à citer nos sources mais à donner le lien de renvoie pour que vous puissiez y aller directement si vous le souhaitez. Bien sûr, nous n'en faisons pas assez: la règle de la netiquette voudrait que nous ne mettions qu'une partie du texte et la suite à lire sur le site d'origine. Mais dans la jungle du net mauritanien, nous ne désespérons pas de voir les pratiques et l'éthique faire des progrès.
Mais en la matière, la palme revient "au journal" multirécidiviste Biladi. Si nous en parlons aujourd'hui publiquement c'est que nous avons alerté son directeur de publication à plusieurs reprises sans succès. Nous découvrons avec surprise nos textes publiés sur ce site et dans leur version papier sans aucune mention ni de kassataya, ni de l’auteur : disparus, volatilisés ; comme si Biladi en était la source. Ce n'est même plus du plagiat. C'est du braconnage. D'autres ne vont pas jusqu'à ce niveau: quelques uns se sont permis de modifier nos textes (différent d’une modification de titre) en les citant quand même comme productions de kassataya (c’est ça de pris). D'autres reprennent nos articles (souvent des interviews) en se contentant de dire: "dans une interview" (sans dire sur quel site elle a été publiée), ou "selon un site internet" (sans plus de précision). Au nom de la transparence et de la relation de confiance établie avec le lecteur, un site n’a pas le droit de prendre ces libertés avec la déontologie. Même pour la course à on-ne-sait-trop-quoi d’ailleurs ! Le peshmerguisme a plusieurs facettes. Il y a vraiment de la marge. Avis donc aux lecteurs : méfiez-vous des contrefacteurs !
Kassataya
Source: KASSATAYA