Le sommet extraordinaire de la Communauté des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) sur le Mali, prévu le 10 novembre à Abuja (Nigeria), aura finalement lieu le 11 novembre et sera précédé, le 10 novembre au lieu du 8 novembre, de la réunion du Conseil de Médiation et de Sécurité, a appris la PANA.
Le sommet devrait prendre une décision définitive sur le Mali, au moment où les puissances internationales et les autorités du pays sont sur le point de parvenir à un consensus sur les détails relatifs à la manière de reprendre le nord du pays des mains des rebelles et islamistes qui en ont pris le contrôle en avril dernier.
Les officiels de la CEDEAO, de l'Union africaine, des Nations unies, de l'UE et d'autres partenaires se sont réunis la semaine dernière à Bamako, la capitale malienne, dans le cadre des efforts déployés pour conclure les détails de l'opération menée par la CEDEAO pour chasser les rebelles et leurs alliés islamistes du Nord du Mali.
La crise au Mali fait suite au coup d'Etat militaire du 22 mars qui avait renversé le président Amani Toumani Touré démocratiquement élu et permis aux rebelles touaregs et à leurs alliés islamistes de prendre le contrôle de cette partie du pays, forçant plus de 300.000 personnes à fuir vers les pays voisins.
Source: PANA
Le sommet devrait prendre une décision définitive sur le Mali, au moment où les puissances internationales et les autorités du pays sont sur le point de parvenir à un consensus sur les détails relatifs à la manière de reprendre le nord du pays des mains des rebelles et islamistes qui en ont pris le contrôle en avril dernier.
Les officiels de la CEDEAO, de l'Union africaine, des Nations unies, de l'UE et d'autres partenaires se sont réunis la semaine dernière à Bamako, la capitale malienne, dans le cadre des efforts déployés pour conclure les détails de l'opération menée par la CEDEAO pour chasser les rebelles et leurs alliés islamistes du Nord du Mali.
La crise au Mali fait suite au coup d'Etat militaire du 22 mars qui avait renversé le président Amani Toumani Touré démocratiquement élu et permis aux rebelles touaregs et à leurs alliés islamistes de prendre le contrôle de cette partie du pays, forçant plus de 300.000 personnes à fuir vers les pays voisins.
Source: PANA