Depuis la chute de Ould Sidi Mohamed Taya, la problématique du retour des mauritaniens vivants à l'étranger est posée. De temps en temps on entend ça et là des voix exhorter les intellectuels ou cadre de revenir pour participer à l'oeuvre de rédemption nationale.
Ce qu'on ne dit pas souvent, c'est que les départs n'ont pas été les mêmes. Il ya ceux qui sont partis pour des raisons touristiques ou commerciales et ceux qui ont été forcés de partir.Je parle des maures blancs qui ont toutes les possiblités de revenir et trouver facilement des postes et un cadre de vie honnorable.Tel n'est pas le cas pour les autres composantes du pays.Elles n'ont pas ces facilités et leur retour cause d'énormes dégats à leurs familles car ce sont elles qui les prennent en charge: l'eau, l'éléctricité, santé, scolarité, mouton de tabaski...
Grosso modo, les seuls espoirs des familles négro'africaines aujourd'hui, ce sont leurs fils installés quelque part en France, aux Etas-unis, en Espagne...Elles n'ont rien, elles tout perdu.Le système raciste a tout emporté.On n'a rendu pauvre volontairement tout ceux auraient dit être aujourd'hui de grands hommes affaires: je cite à ce titre BA Alassane dit Balas, Coundio de Nouadhibou, Adama Koudoul, Malal Raky, Abdoulaye Sarr et Oumar Seck... Que restent -ils des négro-afrcicains riche en Mauritanie?
Donc je demande à toutes les victimes du racisme économique de ne pas se presser.Prennez le temps de construire des maisons, aider vos familles, n'oublier pas vos frères et Soeurs. Toutes nos seours sont devenues des mbidanes à T.Zeina.Noubliez pas d'investir en Mauritanie; c'est votre pays.Formez- vous, faites des thèses, des master professionels. Comment se fait-il que sur les 20 premiers hommes d'affaires dans notre pays, on y voit ni hartani, ni pulaaur, ni Sonninkè encore moins de wolof.
Je demande aux Flams de faire attention à Sidi.Il Cherche juste à créer une compétition entre vous et le MNR. Ne vous pressez pas, rien n'a encore changé.
Raky Naasara
Nouakhott
Ce qu'on ne dit pas souvent, c'est que les départs n'ont pas été les mêmes. Il ya ceux qui sont partis pour des raisons touristiques ou commerciales et ceux qui ont été forcés de partir.Je parle des maures blancs qui ont toutes les possiblités de revenir et trouver facilement des postes et un cadre de vie honnorable.Tel n'est pas le cas pour les autres composantes du pays.Elles n'ont pas ces facilités et leur retour cause d'énormes dégats à leurs familles car ce sont elles qui les prennent en charge: l'eau, l'éléctricité, santé, scolarité, mouton de tabaski...
Grosso modo, les seuls espoirs des familles négro'africaines aujourd'hui, ce sont leurs fils installés quelque part en France, aux Etas-unis, en Espagne...Elles n'ont rien, elles tout perdu.Le système raciste a tout emporté.On n'a rendu pauvre volontairement tout ceux auraient dit être aujourd'hui de grands hommes affaires: je cite à ce titre BA Alassane dit Balas, Coundio de Nouadhibou, Adama Koudoul, Malal Raky, Abdoulaye Sarr et Oumar Seck... Que restent -ils des négro-afrcicains riche en Mauritanie?
Donc je demande à toutes les victimes du racisme économique de ne pas se presser.Prennez le temps de construire des maisons, aider vos familles, n'oublier pas vos frères et Soeurs. Toutes nos seours sont devenues des mbidanes à T.Zeina.Noubliez pas d'investir en Mauritanie; c'est votre pays.Formez- vous, faites des thèses, des master professionels. Comment se fait-il que sur les 20 premiers hommes d'affaires dans notre pays, on y voit ni hartani, ni pulaaur, ni Sonninkè encore moins de wolof.
Je demande aux Flams de faire attention à Sidi.Il Cherche juste à créer une compétition entre vous et le MNR. Ne vous pressez pas, rien n'a encore changé.
Raky Naasara
Nouakhott