Nouakchott, Mauritanie (PANA) - Le président mauritanien, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, a reçu en audience jeudi au palais de la République, le chef de l’opposition, Ahmed Ould Daddah (par ailleurs président du Rassemblement des forces démocratiques) a appris la PANA de sources officielles.
La solution du passif humanitaire (retour de dizaines de milliers de réfugiés mauritaniens vivant au Sénégal et au Mali depuis 18 ans et l’exécution extra-judiciaire de plusieurs centaines de soldats noirs en 1990, 1991)-deux dossiers hérités du régime de Maaouya Ould Sid’Ahmed Taya (renversé début août 2005 par un coup d’Etat militaire)- ont été notamment abordées au cours de cette audience qui a duré plusieurs heures.
Ahmed Ould Daddah s'est réuni avec les principaux leaders de la mouvance de l'opposition aprés l'entrevue avec Ould Cheikh Abdallahi.
Les autorités mauritaniennes ont entamé depuis quelques jours de larges consultations pour recueillir les avis et propositions de plusieurs segments de la Nation, pour trouver un règlement consensuel à cette épineuse question.
Dans un discours à la Nation prononcé le 29 juin dernier, rappelle-t- on, le président de la République a reconnu la responsabilité de l’Etat et s’est engagé à "réparer le préjudice".
La solution du passif humanitaire (retour de dizaines de milliers de réfugiés mauritaniens vivant au Sénégal et au Mali depuis 18 ans et l’exécution extra-judiciaire de plusieurs centaines de soldats noirs en 1990, 1991)-deux dossiers hérités du régime de Maaouya Ould Sid’Ahmed Taya (renversé début août 2005 par un coup d’Etat militaire)- ont été notamment abordées au cours de cette audience qui a duré plusieurs heures.
Ahmed Ould Daddah s'est réuni avec les principaux leaders de la mouvance de l'opposition aprés l'entrevue avec Ould Cheikh Abdallahi.
Les autorités mauritaniennes ont entamé depuis quelques jours de larges consultations pour recueillir les avis et propositions de plusieurs segments de la Nation, pour trouver un règlement consensuel à cette épineuse question.
Dans un discours à la Nation prononcé le 29 juin dernier, rappelle-t- on, le président de la République a reconnu la responsabilité de l’Etat et s’est engagé à "réparer le préjudice".