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Le bureau exécutif de l'AVOMM

"L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu'on a fait de nous." Jean-Paul Sartre

"L'Association d'aides aux veuves et aux orphelins de mauritanie (AVOMM) qui nous rassemble, a été créée le 25/12/95 à PARIS par d'ex-militaires mauritaniens ayant fui la terreur, l'oppression, la barbarie du colonel Mawiya o/ sid'ahmed Taya ......
Ces rescapés des geôles de ould Taya, et de l'arbitraire, décidèrent, pour ne jamais oublier ce qui leur est arrivé, pour garder aussi la mémoire des centaines de martyrs, de venir en aide aux veuves, aux orphelins mais aussi d'engager le combat contre l'impunité décrétée par le pouvoir de Mauritanie."
E-mail : avommavomm@yahoo.fr

Bureau exécutif

*Ousmane SARR, président
*Demba Niang, secrétaire général
*Secrétaire général Adjt; Demba Fall
*Alousseyni SY, Chargé des relations extérieures
*Mme Rougui Dia, trésorière
*Chargé de l’organisation Mariame Diop
*adjoint Ngolo Diarra
*Mme Mireille Hamelin, chargée de la communication
*Chargé de mission Bathily Amadou Birama
Conseillers:
*Kane Harouna
*Hamdou Rabby SY










AVOMM

Le dernier fondateur : Mamoudou Samba Boly BA (1920-2012) /Boubacar DIAGANA, Ciré BA & Abderrahmane NGAÏDÉ


Le dernier fondateur : Mamoudou  Samba Boly BA (1920-2012) /Boubacar DIAGANA, Ciré BA & Abderrahmane NGAÏDÉ
Le dernier fondateur s’en est allé. Longtemps opposant, il fera partie de l’équipe des fondateurs puis sera une victime collatérale des événements de 1966, avant de se retirer de la vie politique. Nous avons eu le privilège de le côtoyer, de travailler avec lui en coulisse et de recueillir ses confidences pour nos recherches et sa biographie. Mais au fond, que sait-on de cet homme qui fut grand témoin de l’histoire de notre pays ?

Né en réalité le 8 janvier 1920, Mamoudou Samba Boly Ba a effectué sa scolarité à l’école élémentaire de Kaédi avant de rejoindre l’école supérieure Blanchot à Saint-Louis pour des études secondaires puis l’École Normale des Instituteurs de Sébikotane au Sénégal.

Il n’eut guère le temps d’exercer cette fonction, car il fut aussitôt enrôlé dans l’armée coloniale avec son ami de toujours le Professeur Assane Seck (Ministre à plusieurs reprises sous le régime socialiste) jusqu’en 1946. Une amitié qui remonte à leur scolarité à l’école Blanchot. L’homme s’est donc forgé dans le vrai sens du terme et son itinéraire présageait un avenir politique significatif pour son pays d’origine.

À la fin de la grande guerre, il rejoint Dakar, siège du gouvernement de l’Afrique de l’Ouest, entre dans l’administration coloniale en qualité de cadre au cabinet du Haut Commissaire, puis à la Mairie de Dakar, avant d’être affecté à la direction des Finances à Saint-Louis. Cette affectation prend l’allure d’une « sanction » que seule l’analyse historique nous permettra de démêler. Elle mérite d’être étudiée pour mieux comprendre les enjeux et les fondements des décisions que l’homme allait prendre par la suite. En attendant déclinons quelques éléments d’appréciation de son engagement politique.

Opposant, il choisira sa vraie patrie : 1948-1957

Son retour coïncide avec un moment où se joue le destin du futur territoire la Mauritanie : l’élection en 1946 à l’Assemblée nationale française du futur représentant de la Mauritanie. Il intègre dans cette perspective une association d’anciens élèves des écoles coloniales, sortants pour la plupart de William Ponty, tous originaires de la vallée, deux rives confondues pour « créer un climat familial ». C’est le point de départ de son engagement politique qui le situera d’entrée dans l’opposition.

En effet, membre de l’Union Générale des Originaires de la Vallée du Fleuve (UGOVAF), il contribuera avec d’autres à faire évoluer à partir de 1947 cette organisation vers la défense des intérêts de la communauté noire en territoire de Mauritanie. C’est ainsi que lors du renouvellement de ses instances en 1948, se dégageront deux tendances, dont une incarnée par les « futurs mauritaniens » qui finiront par la quitter pour créer l’Entente Mauritanienne. C’est en compagnie de Samba Gandéga, avec qui il vient de quitter l’UGOVAF, qu’il rejoindra un groupe de Mauritaniens (NDiawar Sarr, Diéri Sidibé, Dey Ould Sidi Baba…) pour fonder en 1950 l’Entente Mauritanienne, présidée par Horma Ould Babana. Ce parti, qui n’avait pas les faveurs de l’administration coloniale, participera aux élections législatives de juin 1951 et janvier 1956 contre l’Union Progressiste Mauritanienne (UPM) de Sidi El Mokhtar NDiaye puis de Mokhtar Ould Daddah qui en prendra les commandes avec la bénédiction de la puissance coloniale. L’Entente perdra, bien sûr, ces élections.

Après sa défaite de janvier 1956, Horma Ould Babana s’en va de l’Entente, rejoint le Maroc et s’aligne sur les positions du parti marocain de l’Istiqlal puis officielles du Maroc qui avait des visées territoriales sur la Mauritanie. Mamoudou Samba Boly Ba pour sa part, quitte l’Entente et fonde le Bloc Démocratique du Gorgol (BDG) à Kaédi en 1956.

Ce petit parti, sensible aux idées fédéralistes de Senghor, serait-il un des ancêtres de la mouvance négro–africaine actuelle ? Toujours est-il que, son fondateur ne sera que toléré dans la mouvance gouvernementale.

Expérience gouvernementale et parlementaire : 1959-1966

Fort de ses expériences successives à l’UGOVAF et à l’Entente puis de son ancrage au BDG, c’est en poids lourd qu’il arrive au Congrès d’Aleg, tenu du 2 au 5 mai 1958. Mokhtar Ould Daddah l’a bien compris, qui l’invita au dépassement des clivages pour la mise en place d’un regroupement des forces politiques au sein du Parti du Regroupement Mauritanien (PRM). Le PRM deviendra le Parti du Peuple Mauritanien (PPM – parti unique) qui dirigera notre pays jusqu’au coup d’État militaire du 10 juillet 1978.

À l’issue de ce congrès, la Mauritanie s’est dotée d’une Constitution dite du 22 mars 1959 et d’un deuxième gouvernement (de dix membres) dans lequel il fera son entrée pur occuper le portefeuille de l’Urbanisme et l’Habitat aux côtés d’Amadou Diadié Samba Diom Ba, seul Noir membre du premier Conseil de Gouvernement (qui en comptait cinq) et qui l’a parrainé : La cooptation et l’entrée de Dey Ould Sidi Baba, transfuge lui aussi de l’Entente Mauritanienne, dans le Conseil de Gouvernement furent ainsi compensées. Dey Ould Sidi Baba finit malgré tout par rejoindre Horma ould Babana au Maroc. Il deviendra Président de l’Assemblée Nationale Chérifienne.

Le 29 septembre 1961, avec la mise en place du troisième gouvernement (onze membres) qui a vu l’entrée du Docteur Bocar Alpha Ba comme Ministre de la Santé, Mamoudou Samba Boly est nommé Ministre des Finances. Il deviendra plus tard Président de l’Assemblée Nationale.

Parenthèse brutale d’une carrière politique : 1966

La création du PRM n’a pas dissipé pour autant les revendications des Noirs. Celles-ci passeront même de la représentativité proportionnelle à la remise en cause de la cohabitation.

Ainsi, en 1963, des dizaines de cadres Noirs, déçus de la suite réservée aux résolutions du Congrès d’Aleg et regroupés au sein de l’Union Générale des Originaires de la Mauritanie du Sud (UGOMS) expriment ceci, dans un document remis à Mokhtar Ould Daddah, Chef de l’Etat : « Nous ressortissants de la Mauritanie noire, adjurons le Congrès, le Parlement et le Chef de l’Etat de réviser immédiatement les structures de l’Etat, dans un sens Fédéral pour répondre à la volonté du pays ».

Dans le sillage de l’UGOMS, en février 1966, 19 cadres noirs (dont ses proches par la parenté) rédigent et publient le Manifeste dit des 19 dans lequel, ils dénoncent comme l’UGOMS la place réservée à leur communauté, tirent la sonnette d’alarme et demandent une meilleure répartition des pouvoirs. La sortie de ce Manifeste provoqua une guerre civile.

Mamoudou Samba Boly Ba prit sur lui l’initiative d’aller voir Mokhtar Ould Daddah pour lui demander que les inquiétudes exprimées par les jeunes cadres puissent être entendues et prises en charge. Mais, Mokhtar Ould Daddah, qui le soupçonnait d’être en intelligence avec certains auteurs de ce Manifeste et qui n’a rien oublié à la fois de son passé d’opposant et de son penchant pour la création d’un État Fédéral, le démit de sa fonction de Président de l’Assemblée Nationale et le muta à Chinguetti comme Chef de Subdivision, sous les ordres de quelqu’un qu’il est amené à former.

Un communiqué laconique du Bureau Politique National (BPN) du parti unique, à l’issue de sa réunion du 21 février 1966, tente de maquiller cette éviction en ces termes : « le BNP constate la démission en blanc de Ba Mamoudou Samba Boly qui, n’étant plus Député, cesse d’être Président de l’Assemblée Nationale ». Quelques semaines plus tard, il sera mis fin à la fonction ministérielle (Développement) d’Elimane Kane. C’est la fin d’une carrière politique et le début d’une autre : les affaires. Mais la politique n’était jamais loin pour ce symbole respecté.

Avec son benjamin Bocar Alpha Ba, il a repris avec succès les établissements Lacombe et a créé la Société Mauritanienne du Bâtiment (Somabat) offrant ainsi des emplois à des dizaines de personnes. La gestion très sociale de ces entreprises a permis à de nombreuses familles de vivre dignement et à des jeunes d’avoir un métier.

Mythe et mérite

Le nom et l’image de Mamoudou Samba Boly Ba restent associés à la fondation de la Mauritanie et au Congrès d’Aleg. L’opinion publique Fuutanke, noire de façon générale traumatisée et qui avait besoin de fabriquer des héros historiques ou de trouver un bouc émissaire, parle de lui comme l’homme qui a refusé d’assumer la fonction de Président de la République qui lui était tout naturellement accessible, ouverte, donc comme responsable de la « souffrance de sa communauté ». En réalité, il n’en est rien.

Il est indispensable d’interroger l’histoire pour mieux saisir toutes les subtilités qui alimentent cette mise à l’écart et les supputations qui en découlent. Les enjeux et les intrigues, qu’elles alimentent pour les positionnements dans une Mauritanie encore fragile, en sont pour quelque chose. En tout cas ce qui est sûr c’est que Mamoudou Samboly Ba ne peut être soupçonné de manque de patriotisme car quand le bruit de la défection de Horma Ould Babana commença à circuler, il n’hésita pas à dire à son désormais ex-camarade qu’il leur était impossible de continuer à le soutenir si son option pour rejoindre le Maroc au détriment de l’indépendance de la Mauritanie s’avère. Il est d’ailleurs aberrant de continuer à penser à cette éventualité dans la mesure où déjà dans les années 1950 quand Mamoudou Samboly Ba rencontre Mokhtar Ould Daddah, sur la demande de ce dernier, à Saint-Louis, le destin du «père de la nation» était déjà scellé. Dans son témoignage d’autres éléments permettront d’apprécier à sa juste valeur ce qui s’est passé au moment de sa mise à l’écart. De toute façon, l’administration coloniale avait choisi son homme, Mokhtar ould Daddah, et le pouvoir devait échoir à ce dernier comme si c’était naturel.

La longévité de Mamoudou Samba Boly et son silence ont fini par créer un mythe. Dès 1985, nous avions engagé un travail d’approche, poursuivi sous une autre forme une fois en exil. L’un des coauteurs de ce témoignage, Abderrahmane Ngaïdé « Bassel », sur la demande pressante de notre Professeur Abdoulaye Bathily, avait entrepris des entretiens avec l’homme en juin 2008. Des circonstances particulières ont stoppé ces entretiens et d’autres en retardent la production. Notre grand témoin rompra le silence une nouvelle fois en 2010, lors de la célébration du cinquantenaire de l’indépendance nationale. Cette «confession» consignée sera publiée très prochainement dans un cadre scientifique. Il prend sur lui l’engagement ferme de réaliser ce début de travail historique que la génération d’historiens d’aujourd’hui doit entreprendre de manière impérative. L’objectif est de réaliser un livre d’entretiens avec le premier président de l’Assemblée Nationale mauritanienne.

Cet inlassable combattant, lutta de toutes ses forces pour empêcher la déportation en 1989 de nombreuses familles. Il a permis la restitution des biens confisqués de plusieurs autres. Ces évènements l’ont meurtri au point qu’il n’a pas hésité la même année, à sillonner avec d’autres, dont feux Aboubakry Kalidou Ba et Baba Gallé Wone la sous-région ouest africaine pour tenter de mettre fin à ce qui représentait à ses yeux une véritable catastrophe. Ils eurent la sagesse de nous y associer, ainsi que certains de nos camarades en exil forcé. C’est donc un des derniers témoins de la construction de notre pays, au parcours atypique qui disparait. Sa mémoire - comme celles de tous les fondateurs - mérite d’être partagée, sauvegardée. Il importe pour cela que la jeunesse s’intéresse à ceux encore vivants qui peuvent témoigner sur le parcours d’hommes qui, par leur position et leur courage, ont vécu sous l’ombre de l’anonymat. Mamoudou Samboly Ba fait partie de ces hommes. Il est parti après avoir traversé presque un siècle, emportant avec lui des souvenirs inestimables. Aujourd’hui, les enregistrements en possession d’Abderrahmane Ngaïdé seront exploités, dans les limites qu’exige la déontologie du chercheur, pour commémorer ce patriote que l’histoire mauritanienne doit célébrer.

Sur un plan symbolique, il serait presque exigé du patron de la Communauté Urbaine de Nouakchott, associé aux autorités centrales, de lui consacrer une artère à son nom, à l’instar de son alter égo Mokhtar Ould Daddah. Ce serait un hommage bien mérité pour un grand patriote, membre fondateur de la nation mauritanienne.

Réhabiliter toutes les figures historiques nationales, serait non seulement reconnaître leur mérite, mais inscrire dans notre mémoire collective le souvenir d’hommes et de femmes qui ont participé à la proclamation de notre souveraineté nationale à un moment crucial de notre histoire.

Que son âme repose en paix dans cette terre qui l’a vu naître et pour laquelle il s’est tant dépensé. Amine.

Boubacar DIAGANA, Ciré BA & Abderrahmane NGAÏDÉ
Jeudi 12 Janvier 2012 - 14:03
Jeudi 12 Janvier 2012 - 15:42
INFOS AVOMM
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1.Posté par Amadou le 12/01/2012 16:55
Excellent hommage bien rédigé et bien documenté. On apprend sur l'homme et on sait que les vrais patriotes sont du Sud, au moins personne de la vallée n'a soutenu une quelconque disparition de la mauritanie. Felicitations les gars

2.Posté par Harouna le 12/01/2012 18:52
Ce témoignage est exceptionnel et bien fait par nos trois historiens, on y apprend presque tout, c'est bien agencé et tres professionel. Les trois ont fait leur metier et ils l'ont bien fait. J'avais parcouru les autres hommages, j'étais resté sur ma faim, là je suis rassassié.
J'en tire une conclusion, nul n'est prophète en son pays, en conséquence honorons de leur vivant nos acteurs politiques qui n'ont pas été trempés dans les massacres, les déportations...
qu'il repose en paix.

3.Posté par sidi lamine kane le 12/01/2012 19:45
Merci et Bravo à ciré Ba et à ses compagnons de lutte, toute mon admiration devant la qualité et la pertinence de votre travail exeptionnel et remarquable. Chapeau bas pour cette force qui se dégage sur chacun de vos articles. Sachez que vous êtes notre fiérté, nous Mauritaniens épris et assoiffés de justice.

YO ALLAH WOON BALLO

4.Posté par Ndiaye le 12/01/2012 20:01
Je m'incline devant notre disparu et que Dieu l'accueille dans son paradis.
Félicitations pour les auteurs pour ce brillant exposé bien riche, qui donne de l'espoir aux jeunes comme moi. Nous ne savons pas notre histoire maintenant c'est fait. Merci le site de avomm qui nous informe.
Pouvez vous nous donner la liste des signataires de l'union generale des originaires de la mauritanie du sud? Je ne connaissais pas avant, yo alla yurmumo yafomo.

5.Posté par Bathily yaghouba le 13/01/2012 05:12
D'abord, une pensée à toute la famille Ba du FOUTA, aux enfants de notre cher père de la nation; toutes nos condoléances, qu'il repose en paix (Ba pullo pérédjo), vous êtes partis avec honneur et fifelité ! Repose en paix, amen !!!
Quant au temoignage, Grand-frères: Ciré, Boubacar et Abderahmane, la denière fois je vous ai lu, j'ai tiré mon chapeau, cette fois-ci, je vous l'offre de tout coeur, vous êtes une équipe choc, avisée, avertie, pertinante et compétante, votre travail de recherches historiques est un document à archiver pour le pays et ses enfants ! Je vous dis tout simplement vous faites notre bonheur et honneur. Ce temoignage montre combien de fois que la lutte pour notre liberté, ne date pas d'aujourd'hui, que des pioniers existaient, et exixtent toujours, qu'il y a eu des travailleurs de l'ombre, HOMMAGE à notre père, oncle BA Mamadou Sambaly et à ses compagnons. Profitant de cette belle tribune, je lance un appel à tous nos mouvements de la lutte pour la justice et la paix en Mauritanie, aux noms de nos pionniers, de nos martyrs, de nos déportés, de nos réfugiés et à ceux qui sont les plus chers pour nous: Nos enfants De L'UNION; d' étouffer nos querelles intestines, de pardonner, les uns des autres, de revenir à L'ESSENTIEL de notre combat, de notre lutte: qui est uniquement la justice en MAURITANIE... BONNE ET HEUREUSE ANNEE A TOUS.... Baba coumba !

6.Posté par Moussa Mbaré Ba le 13/01/2012 11:09
Texte trés enrichissant et plein d'enseignements. Merci aux grands

7.Posté par bader le 13/01/2012 12:55
Hommage retentissant et plein de vérité , c'est ce qu'il faut en Mauritanie car les vrais patriotes sont entrain de disparaître dans l'oubli total. Votre hommage plein d'enseignement sur l'histoire politique de la Mie moderne est en même tps une gifle à la soldatesque qui a pris le pays en otage en détruisant tout ce que les pères fondateurs avaient batti.

8.Posté par Madina Touré le 16/01/2012 11:38
Rien à dire, sinon vous remercier pour tout ce travail que vous faites pour la Mauritanie, l'Afrique et le monde. Bon vent pour l'avenir.

9.Posté par Le Prince de la Guérison le 20/03/2017 15:11
Le Prince de la Guérison

Bonjour, on m'appelle Dr. ATAWEWE, je suis un Maître Spirituel (Babalawo) résident au Bénin. J’ai de nombreuses années d’expérience et je suis spécialiste des travaux occultes, compétent et sérieux. Je suis serviteur d'un Grand Marabout Vodoun qui est prêt à répondre à vos besoins. Il est à la mesure de vous guérir de toutes les maladies suivantes: Hémoroïde, Epilepsie, Hépatite, Infection, Tension (Hyper-Hypo), Faiblesse Sexuelle, Diabète, Stérilité, Fibrome, Kyste, Myome, Rhumatisme, Sinusite, Problèmes d'Enfants, Maux de Tête, Maux de Ventre, Règle Douloureuse, Ulcère, Hernie, Drépanos, Lenuresie, Aide Mémoire et vous aurez la paix du cœur définitivement.
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Que l'année 2017 soit une année de témoignage inoubliable dans votre vie

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