Réunis au Vatican, les cardinaux ont voté vendredi sur la date de début du conclave. Dès mardi le 12 mars, les 115 cardinaux électeurs s'enfermeront dans la chapelle Sixtine pour élire le nouveau pape, a annoncé le service de presse du Vatican.
Les cardinaux participent depuis quelques jours à des rencontres pour discuter des problèmes de l'Église et déterminer qui, parmi eux, serait le plus apte à les résoudre. Les 115 cardinaux électeurs sont maintenant tous présents à Rome, le dernier étant arrivé jeudi.
Selon certains médias, deux clans auraient commencé à se former, opposant les défenseurs du système actuel aux partisans d'une réforme profonde de la Curie. Angelo Scola, archevêque de Milan, ferait figure de favori des réformateurs, appuyé par un grand nombre de cardinaux étrangers, selon le journal Reppublica. L'autre camp, surnommé « parti romain » serait composé en majorité de cardinaux Italiens.
« Il faut révolutionner la Curie », a déclaré le cardinal allemand Walter Kasper, souhaitant un gouvernement pontifical plus transparent et plus « horizontal ».
D'ailleurs, des cardinaux n'ont pas tardé à demander des informations dès leur arrivée à Rome sur le rapport secret remis au pape à la suite du scandale VatiLeaks et qui porterait sur des affaires de corruption, de mauvaise gestion et de rivalités au sein du Vatican.
Avant de quitter officiellement ses fonctions, le pape Benoît XVI a changé les règles entourant la tenue du conclave, éliminant la période de 15 jours qui assure traditionnellement la transition entre deux pontificats.
Source: la presse
Les cardinaux participent depuis quelques jours à des rencontres pour discuter des problèmes de l'Église et déterminer qui, parmi eux, serait le plus apte à les résoudre. Les 115 cardinaux électeurs sont maintenant tous présents à Rome, le dernier étant arrivé jeudi.
Selon certains médias, deux clans auraient commencé à se former, opposant les défenseurs du système actuel aux partisans d'une réforme profonde de la Curie. Angelo Scola, archevêque de Milan, ferait figure de favori des réformateurs, appuyé par un grand nombre de cardinaux étrangers, selon le journal Reppublica. L'autre camp, surnommé « parti romain » serait composé en majorité de cardinaux Italiens.
« Il faut révolutionner la Curie », a déclaré le cardinal allemand Walter Kasper, souhaitant un gouvernement pontifical plus transparent et plus « horizontal ».
D'ailleurs, des cardinaux n'ont pas tardé à demander des informations dès leur arrivée à Rome sur le rapport secret remis au pape à la suite du scandale VatiLeaks et qui porterait sur des affaires de corruption, de mauvaise gestion et de rivalités au sein du Vatican.
Avant de quitter officiellement ses fonctions, le pape Benoît XVI a changé les règles entourant la tenue du conclave, éliminant la période de 15 jours qui assure traditionnellement la transition entre deux pontificats.
Source: la presse