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Le bureau exécutif de l'AVOMM

"L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu'on a fait de nous." Jean-Paul Sartre

"L'Association d'aides aux veuves et aux orphelins de mauritanie (AVOMM) qui nous rassemble, a été créée le 25/12/95 à PARIS par d'ex-militaires mauritaniens ayant fui la terreur, l'oppression, la barbarie du colonel Mawiya o/ sid'ahmed Taya ......
Ces rescapés des geôles de ould Taya, et de l'arbitraire, décidèrent, pour ne jamais oublier ce qui leur est arrivé, pour garder aussi la mémoire des centaines de martyrs, de venir en aide aux veuves, aux orphelins mais aussi d'engager le combat contre l'impunité décrétée par le pouvoir de Mauritanie."
E-mail : avommavomm@yahoo.fr

Bureau exécutif

*Ousmane SARR, président
*Demba Niang, secrétaire général
*Secrétaire général Adjt; Demba Fall
*Alousseyni SY, Chargé des relations extérieures
*Mme Rougui Dia, trésorière
*Chargé de l’organisation Mariame Diop
*adjoint Ngolo Diarra
*Mme Mireille Hamelin, chargée de la communication
*Chargé de mission Bathily Amadou Birama
Conseillers:
*Kane Harouna
*Hamdou Rabby SY










AVOMM

Le Rwandais Léon Mugesera a été extradé par le Canada en janvier 2012, lui qui vivait au pays depuis 1993. Son procès s'ouvre à Kigali


Le Rwandais Léon Mugesera a été extradé par le Canada en janvier 2012, lui qui vivait au pays depuis 1993. Son procès s'ouvre à Kigali
L'audience au fond du procès pour «incitation au génocide» de l'ex-homme politique rwandais Léon Mugesera, extradé du Canada, s'est ouvert jeudi à Kigali, après de nombreux reports liés à des questions de procédure soulevées par l'accusé et en dépit d'une nouvelle requête de sa part.

À l'ouverture de l'audience, M. Mugesera a demandé un nouveau report, annonçant interjeter appel d'une décision de la Cour, le 11 janvier, qui avait rejeté sa demande de remplacer des deux juges du tribunal et réclamant également plus de temps pour préparer son procès.

Sa demande a été rejetée, la Cour estimant que M. Mugesera pourrait faire appel à la fin du procès tant sur le fond que sur la forme.

Le procès au fond a commencé jeudi par l'écoute de l'enregistrement du discours violemment anti-tutsi prononcé en 1992 par M. Mugesera pendant un rassemblement du parti du président hutu de l'époque Juvénal Habyarimana dont il était membre, et qui lui vaut d'être dans le box des accusés.

L'accusation s'est ensuite livrée à une analyse de ce discours qui, selon elle, a été un élément déclencheur du génocide de 1994, au cours duquel environ 800 000 personnes ont péri selon l'ONU, essentiellement au sein de la minorité tutsi.

M. Mugesera est accusé d'y avoir qualifié les Tutsis de «cafards» et d'avoir encouragé les Hutus à les tuer.

Depuis qu'il a été extradé en janvier dernier du Canada, où il vivait depuis 1993 avec son épouse et ses enfants, M. Mugesera a comparu à plusieurs reprises lors d'audiences au cours desquelles il a chaque fois demandé et obtenu, pour divers motifs, des délais supplémentaires pour être jugé.

Réclamé par le Rwanda depuis 1995, M. Mugesera avait déjà multiplié au cours des années les recours judiciaires au Canada, mais n'avait finalement pu empêcher son extradition en janvier 2012.

L'audience devait se poursuivre vendredi.

Source: AFP
Vendredi 18 Janvier 2013 - 16:47
Vendredi 18 Janvier 2013 - 16:51
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