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L'assassinat de l'ancienne première ministre pakistanaise et principale figure de l'opposition, Benazir Bhutto, est un «acte répugnant de terreur» a déclaré jeudi le premier ministre canadien Stephen Harper.
«Nous condamnons cette attaque avec la plus grande fermeté. Il s'agit d'un acte répugnant de terreur», a dit M. Harper à la presse sur le tarmac de l'aéroport international de Calgary, avant de prendre un vol vers Ottawa avec sa famille.
«Nous espérons que le gouvernement du Pakistan agira afin de traduire en justice les coupables. Ceci ne doit pas compromettre le retour d'une démocratie entière au Pakistan», a ajouté le premier ministre, précisant être en faveur du maintien des élections législatives prévues le 8 janvier prochain.
Le ministre des Affaires étrangères, Maxime Bernier, a qualifié l'attentat contre Benazir Bhutto de «particulièrement haineux». «Les visées anti-démocratiques de ses auteurs sont on ne peut plus évidentes», a-t-il souligné.
La classe politique canadienne a dans l'ensemble condamné cet attentat qui a fait aussi au moins 20 morts.
«Cet attentat compromet les progrès faits au Pakistan, au moment où le pays devrait aller dans le sens de l'ouverture et de la démocratie», a déclaré dans un communiqué le chef libéral Stéphane Dion, qui a exhorté les Pakistanais «à honorer la mémoire de Mme Bhutto et à exprimer leur chagrin de manière pacifique, de manière à ne pas aggraver le conflit».
Le Canada compte plus de 130 000 citoyens nés au Pakistan selon des chiffres officiels.
Source: cyberpresse
(M)
«Nous condamnons cette attaque avec la plus grande fermeté. Il s'agit d'un acte répugnant de terreur», a dit M. Harper à la presse sur le tarmac de l'aéroport international de Calgary, avant de prendre un vol vers Ottawa avec sa famille.
«Nous espérons que le gouvernement du Pakistan agira afin de traduire en justice les coupables. Ceci ne doit pas compromettre le retour d'une démocratie entière au Pakistan», a ajouté le premier ministre, précisant être en faveur du maintien des élections législatives prévues le 8 janvier prochain.
Le ministre des Affaires étrangères, Maxime Bernier, a qualifié l'attentat contre Benazir Bhutto de «particulièrement haineux». «Les visées anti-démocratiques de ses auteurs sont on ne peut plus évidentes», a-t-il souligné.
La classe politique canadienne a dans l'ensemble condamné cet attentat qui a fait aussi au moins 20 morts.
«Cet attentat compromet les progrès faits au Pakistan, au moment où le pays devrait aller dans le sens de l'ouverture et de la démocratie», a déclaré dans un communiqué le chef libéral Stéphane Dion, qui a exhorté les Pakistanais «à honorer la mémoire de Mme Bhutto et à exprimer leur chagrin de manière pacifique, de manière à ne pas aggraver le conflit».
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Source: cyberpresse
(M)
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