Le Groupe de pilotage pour les objectifs de développement du millénaire (OMD) lancé vendredi dernier par l’ONU, à News York, aux Etats unis, en collaboration avec les Commissions européenne et de l’Union africaine, la Banque mondiale (BM), la Banque africaine de développement (BAD) et la Banque islamique de développement (BID) , a relevé « trois défis fondamentaux pour atteindre ses buts », a appris samedi APA de source onusienne.
Les signataires de la Déclaration conjointe ont décliné les termes du nouveau mécanisme.
Pour eux, le il s’agit de « trouver de nouveaux mécanismes », de rendre l’aide au développement plus « prévisible », et de « renforcer l’action conjointement ».
Les signataires sont entre autres, le secrétaire général de l’ONU et président du nouveau mécanisme, Ban Ki-moon, le président du Groupe des Nations Unies pour le développement, Kemal Derviş, les présidents des Commissions de l’Union africaine, Alpha Oumar Konaré, et européenne, José Manuel Barroso, le président de la BM, Robert Zoellick, le directeur général du Fonds monétaire international (FMI), Rodrigo de Rato y Figaredo, les présidents de la BAD, Donald Kaberuka, de la BID, Ahmad Mohamed Ali Al-Madani,
Il faut « trouver des mécanismes efficaces permettant de donner suite aux engagements pris dans les domaines de la santé, de l’enseignement, de l’agriculture et de la sécurité alimentaire, des infrastructures et des systèmes de statistique », soutiennent-ils.
Pour arriver à cette fin, « nos organisations collaboreront à l’examen des mécanismes de mise en œuvre internationaux et apporteront leur appui aux gouvernements pour ce qui est des investissements à faire pour réaliser les OMD. Nous verrons comment ces mécanismes peuvent être renforcés s’ils se montrent insuffisants, et où il y a besoin d’en ajouter de nouveaux », indique la déclaration de Nez York.
Le deuxième défi consiste à « rendre l’aide publique au développement plus prévisible, dans l’esprit de la Déclaration de Paris sur l’efficacité de l’aide au développement.
« Nos organisations rendront l’assistance qu’elles fournissent elles-mêmes plus prévisible. Nous collaborerons aussi avec d’autres donateurs afin d’aider à établir des calendriers par pays pour la montée en puissance de l’aide publique au développement afin qu’elle se hisse au niveau des engagements pris, de manière que les gouvernements africains puissent établir des plans bien conçus concernant les investissements nécessaires pour la réalisation des OMD », soulignent-t-ils.
Quant au troisième défi, il préconise le « renforcement de l’action que nous menons conjointement au niveau du pays pour promouvoir les OMD. En commençant par un petit groupe de pays africains, nous lancerons nos organisations dans des activités de forte collaboration visant à aider les gouvernements à élaborer et mettre en œuvre des stratégies suffisamment ambitieuses pour que les OMD soient atteints ».
« En lançant le Groupe de pilotage pour la réalisation des OMD en Afrique, nous réaffirmons notre engagement de n’épargner aucun effort dans la poursuite de ces objectifs. Nous mobiliserons à cent pour cent les appuis que peuvent offrir nos institutions dans un esprit de coopération et de partenariat ».
Le groupe se réunira à New York le 20 septembre 2007 afin de lancer ses activités sur le terrain.
Les OMD prévoient de réduire au moins de moitié, d’ici à 2015, la pauvreté dans le monde particulièrement dans les pays en développement.
Source: APA
(M)
Les signataires de la Déclaration conjointe ont décliné les termes du nouveau mécanisme.
Pour eux, le il s’agit de « trouver de nouveaux mécanismes », de rendre l’aide au développement plus « prévisible », et de « renforcer l’action conjointement ».
Les signataires sont entre autres, le secrétaire général de l’ONU et président du nouveau mécanisme, Ban Ki-moon, le président du Groupe des Nations Unies pour le développement, Kemal Derviş, les présidents des Commissions de l’Union africaine, Alpha Oumar Konaré, et européenne, José Manuel Barroso, le président de la BM, Robert Zoellick, le directeur général du Fonds monétaire international (FMI), Rodrigo de Rato y Figaredo, les présidents de la BAD, Donald Kaberuka, de la BID, Ahmad Mohamed Ali Al-Madani,
Il faut « trouver des mécanismes efficaces permettant de donner suite aux engagements pris dans les domaines de la santé, de l’enseignement, de l’agriculture et de la sécurité alimentaire, des infrastructures et des systèmes de statistique », soutiennent-ils.
Pour arriver à cette fin, « nos organisations collaboreront à l’examen des mécanismes de mise en œuvre internationaux et apporteront leur appui aux gouvernements pour ce qui est des investissements à faire pour réaliser les OMD. Nous verrons comment ces mécanismes peuvent être renforcés s’ils se montrent insuffisants, et où il y a besoin d’en ajouter de nouveaux », indique la déclaration de Nez York.
Le deuxième défi consiste à « rendre l’aide publique au développement plus prévisible, dans l’esprit de la Déclaration de Paris sur l’efficacité de l’aide au développement.
« Nos organisations rendront l’assistance qu’elles fournissent elles-mêmes plus prévisible. Nous collaborerons aussi avec d’autres donateurs afin d’aider à établir des calendriers par pays pour la montée en puissance de l’aide publique au développement afin qu’elle se hisse au niveau des engagements pris, de manière que les gouvernements africains puissent établir des plans bien conçus concernant les investissements nécessaires pour la réalisation des OMD », soulignent-t-ils.
Quant au troisième défi, il préconise le « renforcement de l’action que nous menons conjointement au niveau du pays pour promouvoir les OMD. En commençant par un petit groupe de pays africains, nous lancerons nos organisations dans des activités de forte collaboration visant à aider les gouvernements à élaborer et mettre en œuvre des stratégies suffisamment ambitieuses pour que les OMD soient atteints ».
« En lançant le Groupe de pilotage pour la réalisation des OMD en Afrique, nous réaffirmons notre engagement de n’épargner aucun effort dans la poursuite de ces objectifs. Nous mobiliserons à cent pour cent les appuis que peuvent offrir nos institutions dans un esprit de coopération et de partenariat ».
Le groupe se réunira à New York le 20 septembre 2007 afin de lancer ses activités sur le terrain.
Les OMD prévoient de réduire au moins de moitié, d’ici à 2015, la pauvreté dans le monde particulièrement dans les pays en développement.
Source: APA
(M)