Nouakchott, 25 mars (AMI) - Le Colonel ELy Ould Mohamed vall, président du Conseil Militaire pour la Justice et la Démocratie, Chef de l'Etat a indiqué dimanche à Nouakchott que la Mauritanie entamera, à partir de lundi, l'ère de la constitutionnalité et de la légalité.
Le chef de l'Etat a ajouté qu'il n y aura plus besoin d'une nouvelle étape de transition ni du recours à un coup d'Etat militaire, précisant que les institutions constitutionnelles élues seront investies le 19 Avril prochain.
Il a aussi dit, au cours d'une conférence de presse après avoir accompli son devoir électoral, que la période de transition s'est déroulée conformément au consensus et à la concertation et que le peuple mauritanien a été l'arbitre depuis le début jusqu'à la fin, soulignant que l'armée est une institution constitutionnelle dont le rôle et les prérogatives sont définis dans la constitution et qu'elle ne peut exercer aucune tutelle sur le président de la République qui est le commandant suprême des forces armées. "Celles-ci obéissent aux instructions du président de la République", a-t-il précisé.
Le chef de l'Etat a ajouté que le peuple mauritanien qui possède la conscience politique requise et le plus grand niveau d'engagement politique, "sait que les choses se sont déroulées sans aucune pression sur les électeurs et il est en définitive le seul à se prononcer sur cette question", se félicitant du déroulement de la période de transition "conformément aux objectifs fixés et parfois même au-delà de ces objectifs".
Il a également fait part de sa satisfaction d'avoir "mené le pays avec succès à la dernière étape du processus électoral engagé au lendemain du 3 Août 2005", recommandant au futur président d'être celui de tous les Mauritaniens.
Le président du CMJD a indiqué que la Mauritanie doit être fière de ce qui a été réalisé durant la période de transition, ajoutant que tous les objectifs politiques et économiques ont été réalisés par tous les Mauritaniens.
"L'avenir de la Mauritanie est radieux", a ajouté le président, précisant qu'un "Etat de droit est entrain de se construire sur une nouvelle voie".
"Ce qui importe n'est pas le nom du nouveau candidat, mais plutôt cette majorité qui sera dégagée demain pour l'un des candidats qui doit dès lors être le président de toute la Mauritanie", a-t-il dit en substance.
Le président du CMJD, Chef de l'Etat, a indiqué qu'il ne se prononcera pas sur l'un des candidats avant la proclamation définitive des résultats, mettant l'accent sur l'intérêt pour le pays de tourner la page des coups d'Etat et des agissements qui les entraînent, ajoutant que les autorités ont oeuvré à consacrer la rupture avec les changements par les coups de force.
Le colonel Ely Ould Mohamed vall a indiqué qu'il quitte le pouvoir avec le même état d'esprit avec lequel il était arrivé, ajoutant qu'il est venu pour un objectif et qu'il quitte après sa réalisation.
"Les membres du Cmjd, en tant qu'officiers, regagneront leurs casernes à la fin de la période de transition pour servir le pays", ajoute le Chef de l'Etat.
Il a enfin souligné que le futur président sera soumis aux dispositions constitutionnelles existantes qui permettent d'empêcher le chef de l'Etat d'agir contrairement à la volonté du peuple.
AMI
Le chef de l'Etat a ajouté qu'il n y aura plus besoin d'une nouvelle étape de transition ni du recours à un coup d'Etat militaire, précisant que les institutions constitutionnelles élues seront investies le 19 Avril prochain.
Il a aussi dit, au cours d'une conférence de presse après avoir accompli son devoir électoral, que la période de transition s'est déroulée conformément au consensus et à la concertation et que le peuple mauritanien a été l'arbitre depuis le début jusqu'à la fin, soulignant que l'armée est une institution constitutionnelle dont le rôle et les prérogatives sont définis dans la constitution et qu'elle ne peut exercer aucune tutelle sur le président de la République qui est le commandant suprême des forces armées. "Celles-ci obéissent aux instructions du président de la République", a-t-il précisé.
Le chef de l'Etat a ajouté que le peuple mauritanien qui possède la conscience politique requise et le plus grand niveau d'engagement politique, "sait que les choses se sont déroulées sans aucune pression sur les électeurs et il est en définitive le seul à se prononcer sur cette question", se félicitant du déroulement de la période de transition "conformément aux objectifs fixés et parfois même au-delà de ces objectifs".
Il a également fait part de sa satisfaction d'avoir "mené le pays avec succès à la dernière étape du processus électoral engagé au lendemain du 3 Août 2005", recommandant au futur président d'être celui de tous les Mauritaniens.
Le président du CMJD a indiqué que la Mauritanie doit être fière de ce qui a été réalisé durant la période de transition, ajoutant que tous les objectifs politiques et économiques ont été réalisés par tous les Mauritaniens.
"L'avenir de la Mauritanie est radieux", a ajouté le président, précisant qu'un "Etat de droit est entrain de se construire sur une nouvelle voie".
"Ce qui importe n'est pas le nom du nouveau candidat, mais plutôt cette majorité qui sera dégagée demain pour l'un des candidats qui doit dès lors être le président de toute la Mauritanie", a-t-il dit en substance.
Le président du CMJD, Chef de l'Etat, a indiqué qu'il ne se prononcera pas sur l'un des candidats avant la proclamation définitive des résultats, mettant l'accent sur l'intérêt pour le pays de tourner la page des coups d'Etat et des agissements qui les entraînent, ajoutant que les autorités ont oeuvré à consacrer la rupture avec les changements par les coups de force.
Le colonel Ely Ould Mohamed vall a indiqué qu'il quitte le pouvoir avec le même état d'esprit avec lequel il était arrivé, ajoutant qu'il est venu pour un objectif et qu'il quitte après sa réalisation.
"Les membres du Cmjd, en tant qu'officiers, regagneront leurs casernes à la fin de la période de transition pour servir le pays", ajoute le Chef de l'Etat.
Il a enfin souligné que le futur président sera soumis aux dispositions constitutionnelles existantes qui permettent d'empêcher le chef de l'Etat d'agir contrairement à la volonté du peuple.
AMI