APA- Nouakchott (Mauritanie) Dix huit partis politiques mauritaniens appartenant à la majorité présidentielle ont dénoncé les violences qui porté atteinte aux locaux et symboles de l’Etat dans les régions de l’Est et à Nouakchott ces derniers jours par des manifestants en colère suite à la montée des prix des produits de première nécessité, a constaté l’APA samedi soir dans la capitale.
Intervenant au cours d’un point de presse conjoint, M. El Khalil Ould Tayib, vice président de l’ Alliance progressiste populaire (APP) a exprimé dimanche son regret pour la violence et la destruction des biens de l’Etat.
L’APP, formation politique du président de l’Assemblée nationale qui avait victorieusement soutenu au second tour de la présidentielle le Chef de l’Etat Ould Abdallahi, précisé que les différents leadrs dela majorité allaient demander au gouvernement de prendre des mesures urgentes pour juguler la situation.
M. Ould Tayib a aussi défendu le gouvernement en réaffirmant qu’elle a « hérité une situation difficile et pour la surmonter il lui faut du temps ».
En réponse à un constat de la presse indiquant que les zones où de fortes agitations avaient eu lieu sont habituellement et traditionnellement le fief électoral des partis de la majorité, M. Ould Tayib a précisé qu’il s’agit d’un problème de cherté de la vie et que ces zones là parce qu’elles sont les plus éloignées ont plus subit les conséquences de cette hausse des prix.
Lui succédant, M. Yahya Ould Ahmed El Waghef, coordinateur des partis de la majorité présidentielle a nié que la Mauritanie traverse une crise économique sans précédant et pour lui, la situation actuelle est le fruit de facteurs exogènes.
Les partis de l’opposition, accusés indirectement par le ministre de l’intérieur dans sa première déclaration, d’encadrer et d’orienter les manifestations de ces derniers jours, n’ont pas encore réagi.
Dimanche à Nouakchott les voitures de police anti-émeutes sont partout visibles et toujours stationnées dans les grands marchés.
La population attend avec anxiété les mesures annoncées par le gouvernement et reprises plusieurs fois par les organes de la presse publique.
Intervenant au cours d’un point de presse conjoint, M. El Khalil Ould Tayib, vice président de l’ Alliance progressiste populaire (APP) a exprimé dimanche son regret pour la violence et la destruction des biens de l’Etat.
L’APP, formation politique du président de l’Assemblée nationale qui avait victorieusement soutenu au second tour de la présidentielle le Chef de l’Etat Ould Abdallahi, précisé que les différents leadrs dela majorité allaient demander au gouvernement de prendre des mesures urgentes pour juguler la situation.
M. Ould Tayib a aussi défendu le gouvernement en réaffirmant qu’elle a « hérité une situation difficile et pour la surmonter il lui faut du temps ».
En réponse à un constat de la presse indiquant que les zones où de fortes agitations avaient eu lieu sont habituellement et traditionnellement le fief électoral des partis de la majorité, M. Ould Tayib a précisé qu’il s’agit d’un problème de cherté de la vie et que ces zones là parce qu’elles sont les plus éloignées ont plus subit les conséquences de cette hausse des prix.
Lui succédant, M. Yahya Ould Ahmed El Waghef, coordinateur des partis de la majorité présidentielle a nié que la Mauritanie traverse une crise économique sans précédant et pour lui, la situation actuelle est le fruit de facteurs exogènes.
Les partis de l’opposition, accusés indirectement par le ministre de l’intérieur dans sa première déclaration, d’encadrer et d’orienter les manifestations de ces derniers jours, n’ont pas encore réagi.
Dimanche à Nouakchott les voitures de police anti-émeutes sont partout visibles et toujours stationnées dans les grands marchés.
La population attend avec anxiété les mesures annoncées par le gouvernement et reprises plusieurs fois par les organes de la presse publique.